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Mes p’tits bonheur

Publié le 01 avril 2014 par Alittlepieceof @Alittle_piece

Mes p’tits bonheurCes articles où je vous parle certaines des petites choses qui se passent dans ma vie me semblent toujours un peu trop narcissiques. Mais force est de constater que ce sont ceux qui sont le plus lus, le plus relayés… J’ai un peu de mal à en comprendre la raison mais si cela me touche beaucoup et vous plait, alors tant mieux, continuons :)

Gourmandises

Le genre d’assiette que j’adore  : Cake épeautre olives basilic, salade de mâche avocat graines de courges gomasio et betterave râpée au vinaigre de noix.
D’autant que le cake était très réussi. Le genre de cake fond de tiroir qui s’avère être une sacré bonne surprise.
J’ai utilisé de la farine d’épeautre et comme je n’avais plus de levure, j’ai mélangé un peu de levain de petit épeautre (dont je vous parlais ici) et de bicarbonate de soude. Le résultat était aérien ! A refaire !

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Simple et efficace : un reste de pâte, des poireaux poêlés et des olives marinés.

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Des olives, des olives, encore des olives. Cette fois-ci associée à de la semoule. Une semoule que je fais cuire avec un filet d’huile d’olive et beaucoup d’épices. Ici : curry, cumin, gingembre et paprika.

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Une adorable mère noël m’a envoyé les petits hippopotames Barü que l’on voit partout sur la blogosphère depuis plusieurs mois. Ils sont vraiment délicieux. Dommage qu’il n’y ai que 3 hippos par paquet.

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Des potes, une terrasse au soleil, un burger… le combo parfait !

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L’un des avantages d’être inscrit à une AMAP c’est d’avoir des légumes frais chaque semaine, l’inconvénient, c’est que parfois les légumes ne sont pas top. C’est le jeu ! Et justement en ce moment, nous sommes dans une période un peu morne au niveau du maraîchage, la fin de l’hiver et le début du printemps. Du coup, certains légumes périssent très vite. Ce fût le cas la semaine dernière avec la mâche et le cresson qu’il nous a fallu manger très vite. J’ai donc choisi de préparer le cresson de manière un peu différente, en l’associant à une sauce tomate. La recette : une botte de cresson ciselé, une boite de tomates concassées (en conserve), 2 gousses d’ail, sel, poivre, épices. Servie avec des pâtes et du parmesan, un délice !

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Pourrie Gâtée

J’ai été terriblement gâtée ces derniers jours.

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Un colis digne du Père Noël

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Une assiette de chocolats

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Des petits souvenirs de Rome offerts par des amis

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Mon parfum

Vroum vroum

Je ne suis pas du tout attaché aux modèles de voiture. A vrai dire je n’y connais rien et pour moi avoir une voiture est avant tout une nécessité plus qu’un quelconque plaisir. Le principal pour moi étant qu’elle m’emmène d’un point A à un point B et surtout qu’elle ne me cause pas de soucis (si elle pouvait s’autogérer d’ailleurs ça m’arrangerait).
Mais tout de même, je ne suis pas mécontente d’avoir changer de voiture depuis quelques jours. Ma vieille clio roulait encore très bien mais il était temps de la laisser finir sa vie entre d’autres mains que les miennes. Il était temps aussi pour moi de changer pour quelque chose de plus « routier » histoire de pouvoir parcourir les routes de France et de Navarre quand l’envie se fera sentir

:)

Bref, tout ça pour dire que j’ai une nouvelle voiture (oui, je sais, on s’en fout) et que je suis super contente
:)

Le coffre de celle-ci est tellement grand que je peux dormir dedans
:D

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Sport

Bon, je crois qu’on peut le dire. J’ai repris le footing ! J’attendais que cela fasse 4 semaines consécutives pour me persuader que oui, la motivation est (un peu) revenue !
Il faut dire que l’anémie dont j’ai souffert cet hiver m’a vraiment mise à plat.
Cela semble être passé et le retour des beaux jours, ça y’a pas à dire ça change tout ! Parce que sortir courir sous la pluie ou quand il fait froid vraiment j’ai du mal.
Et puis surtout, j’y vais en sortant du boulot, direct. Pas le temps de me poser, pas le temps de me démotiver ou de faire autre chose, je rentre je me change et c’est parti ! Et franchement il n’y a rien de mieux après une journée de boulot ! Décompression maximum !
Le seul hic c’est que du coup je cours seule et ça c’est dur, très dur. Du coup je cours moins longtemps, moins vite mais peu importe, je cours et cela me fait le plus grand bien (6 mois sans courir, je peux vous dire que ça se voit sur mes cuissots !)

Lecture

J’ai toujours aimé Sempé. Je l’ai découvert petite, dans la bibliothèque de ma maman.
Je trouve qu’il porte un regard très juste sur le monde et ses dessins sont magnifiques, tout en douceur. J’aimerais énormément avor une de ses œuvres encadrée dans mon salon. En attendant, j’avais surtout envie d’agrandir ma collection d’oeuvres signées du dessinateur. Je me suis donc offert ces 3 là, dénichés d’occasion chez Gibert.

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Expo/balade

Le week-end dernier malgré que nous bossions, nous avons tout de même trouvé le temps de profiter de la météo clémente de ce début de printemps. Impossible de rester enfermée une fois mars terminé !

Nous nous sommes rendus à l’Abbaye de Royaumont, un classique. Idéale à visiter en ce début de printemps car l’endroit n’est pas encore pris d’assaut par les touristes. Nous avons même assisté à une séance de photos de mariage sur les lieux.

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Puis direction l’abbaye de Maubuisson pour découvrir l’exposition « Mille terres, Mille vies » de l’artiste japonais Kôichi Kurita dont je vous parlais ici.
Depuis les années 1990, Kôichi Kurita parcourt le Japon pour y collecter des échantillons de terre. La première poignée de terre fut celle de son jardin à Yamanashi (Japon) où il est né en 1962. Depuis, l’artiste est engagé dans une démarche unique et remarquable : faire de sa vie un voyage et constituer une Bibliothèque de terres. Il a déjà arpenté 3 218 des 3 233 villages et villes qui constituent l’archipel nippon pour y faire près de 35 000 prélèvements de terres. Cette démarche est au cœur de son travail et constitue son mode de vie et de pensée. Sa conscience du monde le conduit à laisser sa pensée s’accomplir dans cette matière naturelle, fragile, disparate – à l’image des hommes – et à mener une réflexion sur le temps et l’éphémère. Aujourd’hui, il réalise de nombreuses résidences qui lui permettent d’aller à la découverte de différents types de sols aux chromatismes inattendus et variés. Depuis 2004, il a entrepris de mener cette démarche sur le territoire français. La Bibliothèque de terres de France (actuellement conservée à la Maison de la Culture du Japon à Paris) contient des terres des régions Centre, Poitou-Charentes et d’Ile-de-France. Cette bibliothèque s’est enrichie grâce à sa dernière résidence à l’abbaye de Maubuisson. À cette occasion, il a pu sillonner les régions septentrionales : Normandie, Picardie, Nord, Champagne-Ardenne…
Kôichi Kurita procède toujours sur le même mode opératoire : sur une carte, il détermine la zone géographique où il va réaliser ses collectes. Il sillonne ensuite les routes, accompagné de sa femme qui l’assiste depuis toujours. Ensemble, ils recherchent un champ, une parcelle où une poignée de terre, une seule, jamais deux, sera prélevée. Chaque fragment de terre est alors méthodiquement répertorié, inventorié, séché, épuré des résidus organiques, concassé, parfois tamisé. Matière première de ses œuvres, la terre est multiple, bigarrée à l’image de notre monde, mais jamais échelonnée. De cette diversité naissent des assemblages de couleurs aux géométries variables.
Kôichi Kurita donne à voir la grande diversité et la richesse chromatique des terres qui n’est pas sans rappeler la variété des individus sur notre planète. Kôichi Kurita est un voyageur, un explorateur, un obsessionnel, un sage, un cœur pur, qui nous ouvre les yeux, qui nous offre l’occasion de regarder autrement notre terre et les vies qui l’habitent et l’animent (cf. titre « mille terres mille vies »).
À l’abbaye de Maubuisson, dans l’ancien bâtiment conventuel, Kôichi Kurita a choisi de présenter quatre installations – qui dans leur présentation et leur mise en scène – rappellent les grands principes de vie japonais que sont la simplicité, la sérénité, l’harmonie et l’équilibre. Objet de contemplation, tant au sens esthétique que spirituel, l’œuvre de Kôichi Kurita est une invitation toujours renouvelée à la méditation et à la perception de la beauté.
A voir, c’est superbe !

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