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Ambiance Caribe à Borderouge, ce week-end

Publié le 22 mai 2014 par Marie-Noelle Imbart @MarieNoImbart
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La compagnie Origin all k’raib en prestation avec le groupe AFINCAO

Depuis les week-end derniers les Barrio loco battent leur plein. Cette année de nombreux rendez-vous gratuits et/ou à tarifs réduits sont proposées par le festival Rio Loco,  dans les quartiers de Toulouse. Ce samedi, c’est une « Journée Caribe »  pour les habitants du quartier Borderouge et amateurs de jazz, rumba, salsa et autres musiques caribéennes. En matinée un marché avec produits artisanaux et culinaires des Caraïbes. Le reste de la journée sera égayée par son lot spectacles de danses afro-caribéennes dès 18h avec l’association Cri’ola et autres démonstrations de danses Colombiennes, Vénézuéliennes, Cubaines, Guyanaises et Martiniquaises. Une belle occasion de découvrir les multiples danses et tenues traditionnelles qui sont portés, pour ces occasions de fête.

Au programme de cette journée Caribe.

Des artistes locaux comme LOCOSON et OKILAKUA, animeront cette première partie de soirée. Un ambiance caliente en perspective.

  • 19h: Shows de Danses (Tendance Caraïbe et Cri’ola)
  • 19h45 : LOCOSON, une voyage entre Jazz et salsa picanté
  • 20h45 : OKILAKUA  (Afro-cubain) Rumba
  • 22h00 : LA CHIVA GANTIVA (Colombie/Belgique)
  • 23h30 : Animation DJ CARAÏBE

Un cocktail afro-cumbia-rock explosif avec CHIVA GANTIVA

C’est avec Chiva Gantiva, que cette journée Caribe se terminera. L’histoire de La Chiva Gantiva, c’est l’histoire d’un mariage. Un mariage heureux entre les nationalités, les cultures, les sonorités et les genres. Trois étudiants colombiens immigrés se retrouvent afin d’unir les musiques qu’ils affectionnent (rock, afrobeat et funk) aux rythmes afro-colombiens traditionnels (cumbia, champeta, chirimia, mapalé, salsa…). Le groupe prend ensuite son envol avec l’arrivée de quatre autres musiciens étrangers. Maintenant devenus l’un des jeunes groupes les plus populaires de Colombie, leurs titres sont autant de bombes musicales lâchées au visage du monde.

brussels, sept 26th 2010, La chiva Gantiva. © Malika Demonceau All right reserved © Malika Demonceau

brussels, sept 26th 2010, La chiva Gantiva. © Malika Demonceau
All right reserved © Malika Demonceau

Fin 2011, le groupe sort son premier disque. Pelao est signé chez l’un des labels de musique indépendants les plus novateurs, Crammed Discs, et produit par l’anglais Richard Blair (ingé’ son pour Peter Gabriel, Totó la Momposina, Nusrat Fateh Ali Khan…). Ces 11 titres sont autant de bombes musicales lâchées au visage du monde. Les influences sont multiples (Lucho Bermudez, Fela Kuti, Irakere, James Brown, Rage Against The Machine…), les frontières stylistiques explosées dans une fusion totalement originale. L’énergie punk se marie à la chaleur latine, les cuivres surpuissants à l’élégance du jazz, l’esprit funk à la pulsation afro-beat. En parallèle, le joyeux « melting-potes » écume les salles de concert et les grands festivals pour bientôt se transformer en une machine de guerre scénique. Les médias sont enthousiasmés, le public conquis. La Chiva Gantiva fait plusieurs incursions très réussies en Grande-Bretagne (Festival River of Music durant les JO de Londres en 2012, WOMAD 2013…) ainsi qu’aux USA (New York, Miami, L.A…). Mais connaît surtout la consécration en son pays, devenant l’un des jeunes groupes les plus populaires de Colombie. En février dernier, le deuxième album Vivo continue de creuser le sillon d’une musique aventureuse. Et se révèle encore lors de prestations de plus en plus renversantes (Bénin 2014, WOMAD 2014…).

Infos pratiques
Carré de la Maourine Esplanade
Métro Borderouge
Entrée libre
La journée est organisée par le centre d’animation des Chamois 05 61 57 99 28

Barrio loco s’est aussi à Soupetard

Avec LA TORMENTA qui  sera en concert au CENTRE D’ANIMATION DE SOUPETARD, le même jour à 19h. Apéro à 19h suivi d’un repas colombien partagé (12€ réservation obligatoire au 05 61 58 35 54) ou sorti du panier. La musique colombienne de la cumbia se propage dans le grand sud-ouest grâce à l’enthousiasme du groupe La Tormenta, formé de sept musiciens officiant aux cuivres, aux percussions, à la basse et aux chants. Les premiers symptômes sont une irrésistible envie de danser, puis les corps s’agitent, se trémoussent, aux sons des cumbias, porros et merecumbes, il s’en suit un bien-être envahissant et communicatif, aucun remède n’est connu à ce jour.


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