Qualité Street - La Beauté du Monde
Seul devant un tissu noir, un homme vêtu d’un costume bleu se présente, un peu mal à l’aise : il va nous faire des révélations sur la vie extraterrestre, parce qu’il n’y a aucune raison qu’il n’y ait que l’homme et autour de lui un décor universel. Et le voilà mélangeant sa vie privée (privée de beaucoup) et cet univers. Et le voilà porteur d’un message en provenance d’une autre galaxie pour les humains. C’est rocambolesque. Cet être insignifiant, du genre « no life », devient soudain le sauveur de l’hum… de la planète. Déguisé en vieille finistérienne, sans doute pour éviter la fin de la terre, il va prendre le contrôle d’une centrale nucléaire et menacer de tout faire sauter. Et puis en un éclair, tout redevient comme avant, l’humanité a perdu la mémoire, « ils ont dû plier l’espace-temps »… Et notre homme de se retrouver dans une yourte à manger des graines germées… On a ri, on a applaudi, et on aimerait bien, à ce moment-là, avec lui, « défendre l’amour de la beauté du monde ».