Le Hollande bashing est à la mode et la presse dite "sérieuse" plus réceptive au nom de François Hollande qu'à celui de Nabilla, une façon de s'assurer des billets sur les sites d'info.
Dans Metro news, elle fait une analyse de la popularité de Hollande mais tacle aussi ses petits camarades.
"J'ai été clashé par plein de gens" se lamente Nabilla.
Alors elle tente de rendre coup pour coup, généralement en estimant qu'elle est supérieure à ses adversaires :
Plus de followers que François Hollande sur Twitter, plus de bruit qu'Ayem, plus d'audiences qu'Enora, trop bien pour le Mag et plus jeune que Patrick Sébastien... Nabilla est plus.
Le premier à se prendre un uppercut de Nabilla est François Hollande (au passage, Closer a certainement vendu plus sa Une avec la président que Nabilla n'a de followers), qui ne l'a pas clashée mais il lui permet d'exister.
"Faut reconnaître qu'il est un peu ennuyeux. Regardez Chirac. Tout le monde l'aimait, non ? Il est passé deux fois. Avec François Hollande, c'est la première fois que je vois des personnalités publiques se moquer autant du président. Même Sarko inspirait plus de respect. C'est triste." constate Nabilla dans sa grande sagesse mais avec des lacunes...
La seconde c'est Ayem, qu'elle surpasse.
"Le truc c'est que l'élève a dépassé le maître. Elle m'a appris le système, la presse (...) et puis il y a eu le buzz qui a créé des jalousies. J'ai appris que si on voulait garder des amis, il ne fallait pas essayer de les surpasser (...) Lorsque je voyais Ayem, il fallait lui donner l'impression qu'elle était au dessus de moi alors que je faisais plus de bruit qu'elle. Je l'ai perdu, tant pis. Il y en aura d'autres", explique celle qui se refuse à faire de l'humanitaire pour le moment : "faire semblant pour l'image, ça ne m'intéresse pas. Je vais pas aller aider les enfants d'Afrique du jour au lendemain".
La troisième, c'est Enora Malagré, dont elle ne se remet d'un échec d'audience.
"Moi je suis venue seule avec ma petite famille" minimise Nabilla qui oublie le renfort d'affichage dans le métro parisien, les innombrables interviews, articles et effets d'annonces qui ont précédé la diffusion de son reality show.
Le quatrième est "Le Mag d'NRJ12" pour lequel, elle ne voudrait pas travailler, une question de "challenge personnel". Mais qu'elle "pourrait avoir en claquant des doigts".
Le cinquième est Patrick Sébastien en réponse au fait qu'il a dit "la télé réalité est une branche de la prostitution".
La jeune femme n'hésite pas à distiller la rumeur : "Je ne vais pas en boîte faire des trucs comme lui. On le connait..."
A savoir :
Nabilla ne veut pas appeler "son public", "ses fans" (comme elle l'a fait dans une interview au même moment pour téléstar) mais "sa clientèle".
Thomas Vergara a toujours, le projet d'ouvrir un restaurant comme après Secret Story 6.
Il faut encore retenir que Nabilla aimerait faire de la télé ou de la radio (pour représenter le langage "jeune" chez Hanouna) ou un film avec la réalisatrice de LOL, mais en second rôle parce qu'il faut bien apprendre....
Bref, Nabilla aimerait "vivre de sa passion", dont on a du mal à déterminer l'objet, finalement.
Interview complète ici, clique
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