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France

Par Basicinstinct82

Pour peu et mieux, que l’on se saisisse, des soubresauts, de la politique Française, en ses périodes de turbulences épisodiques, ne laissant aucun indicateur de performance, ni signaux politiques confortables, notamment en ses grandes lignes, soient, celles, qui contribuent, à autant disjoindre qu’à laisser éclore, la trame des divergences et tergiversations, des différentes tendances politiques, sans omission faite de l’interlude, qui les institue en interaction permanente, on finit par se persuader, que les impératifs sociaux et économiques, ornant le sillage de la pensée politique, au point de renvoyer au calandre Grecque, les prévisions dûment concoctées à des fins de luisance des perspectives de relance économique, sur fond de baisse substantielle du déficit public, censées résulter de la mise en oeuvre d’une panoplie de mesures, aussi bien incitatives à l’investissement, que contribuant à rehausser le pouvoir d’achat des ménages, par le biais, successivement, pour les premières, de baisser certains impôts pour alléger le coût du travail, doublés de crédits d’impôts destinés aux entreprises pour renforcer leur compétitivité, quand la seconde, s’imagine à l’appoint de la revalorisation du SMIC, certaines allocations familiales, l’élévation du plafond de l’IS, les emplois jeunes, j’en passe, lequel déficit public d’ailleurs, culmine et caracole, bien au delà du seuil fixé par la commission Européenne, plombent le débat politique local, ressassent les relents contestataires d’injonctions difficiles à balayer d’un revers de mains, par extension, à les circonscrire, aux fins d’une objection pouvant canaliser la baisse de popularité du président, dans les sondages d’opinion, ainsi que minorer les effets, de la revue en baisse des prévisions de croissance.

En effet, ces tas de mesures déployées pour contenir les dépenses publiques, stopper l’hémorragie financière des comptes publics, tout en se voulant à l’affluence de la création d’emploi optimale, nous permettent non seulement, de faire un petit détour, au creux de la théorie keynésienne de la relance, en ses tentacules, la plaçant à la confluence d’un mélange des genres, à savoir théoriques et doctrinales, dans le but de tenir compte, des critiques émises à propos des dites théories et doctrines, tout en mettant à profit leurs avancées et perspectives avérées, pour donner un coup de pouce à l’économie en période de crise, mais aussi et surtout, font refluer, les préceptes du keynésianisme, car si l’ajustement par les prix, fut une donnée fondamentale, chez les néoclassiques, chez Keynes, on assiste à l’émergence du circuit économique en tablant sur une approche macroéconomique de la croissance suffisamment étouffée, à savoir, par exemple, la situation de demande effective, qui signifie une hausse de la demande d’investissements correspondant à une hausse de la demande en consommation des ménages, autour desquelles, l’interventionnisme pour lui, permet de corriger les déséquilibres permanents, quand la régulation permet de surseoir le sous-emploi, en sachant que pour lui,  le résultat global au niveau d’une économie nationale ou mondiale, ne peut être expliqué par la théorie microéconomique.

à suivre….



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