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Bilan Euro athlé : Billaud dégradée

Publié le 19 août 2014 par Levestiaire @levestiaire_net

On ne fait que passer, alors rien sur la nouvelle escroquerie barcelonnaise. Elle coûte moins cher qu’Ibra pour le moment mais ça va changer. Alors ça valait le coup de se taper la tronche à Diniz au premier plan au dessus des sourcils de Julian Bugier ?

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En passant accidentellement par la boîte mail du Vestiaire notre rédacteur en chef est tombé sur une série de messages nous demandant où est passée notre arrogance à l’heure où Martinot-Lagarde s’est encore planté dans les grandes et les petites largeurs, où Montel a encore mis sa coiffure et son hétérosexualité en jeu pour sauver la probité du mec le plus intelligent depuis Tamgho, le champion du monde pas le mec qui tabasse ses camarades filles pour en faire un mauvais rap. Du coup il va peut-être un peu fermer sa gueule maintenant. Qui ?

Vous nous demandez aussi pourquoi ne pas avoir défoncé Lemaitre, ou à la rigueur coupé le bout de sa langue en trop puisqu’il son duvet par en lambeau comme sa carrière et son accélération magnifique. A croire qu’il utilise son coup de rein à autre chose. Patrick ? En réalité, cela reviendrait surtout à célébrer les athlètes qui ne se dopent pas, et cela ne peut pas être notre politique. Vive Mahiédine Mekhissi donc ! Vive Cindy Billaud qui est parvenu à frôler Monique Ewanje Epée partout sauf dans une minable finale européenne. On est aussi tombé sur le lien vers un vieil article où notre spécialiste athlé de l’époque expliquait que Myriam Soumaré était une vraie championne.

Pour les mêmes raison que Christine Arron elle n’aura pas l’occasion de le montrer ailleurs que contre Dafne Shippers dont les 22″03 sur 200m pourrait bien lui offrir prochainement le même appareil dentaire que les Jamaïcaines. C’est pas si dégueulasse, avant ce sont les Américaines qui le portaient. On plaisante, c’est une heptathlonienne et elle n’a gagné que 80 centièmes entre ses 21 et ses 22 ans. Un mot sur Bosse peut-être ? Finaliste. Au final d’ailleurs, les seuls qui devaient gagner, pour ceux qui n’y connaissent rien bien-sûr, les deux invités du dernier Stade2 d’avant championnat donc, ont fini quatrième et huitième. Bascou passerait presque pour un génie, mais il y avait Lavillénie, le craneur pas son petit frère nul.

Pendant ce temps là vous auriez pu nous demander comment on avait deviné il y a 6 ans que le genou, dos, poignet de Nadal ne deviendrait jamais le plus grand malgré son potentiel qui l’y envoyait tout droit.

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