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Robocroc, un amour de crocodile…

Par Cbth @CBTHblog

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Vous le savez depuis Sharknado 2, un de mes plaisirs, c’est de me caler devant un bon nanar et de savourer la grandeur de ce style, la perfection des histoires, la série Z dans toute sa splendeur! Et je commence à en avoir vu un paquet, croyez-moi! Avec une nette préférence pour tout ce qui tourne autour des requins, mais cette fois, je change de style. Cette fois, je fais dans le crocodile…

L’histoire (oui, y a une histoire!): Un vaisseau spatial s’écrase dans Adventure Land, un parc aquatique de renommée mondiale où se trouvent des crocodiles. Suivant ses instructions préprogrammées, cette nouvelle génération de nanotechnologie trouve un hôte sous la forme d’un crocodile : Stella…

Alors je pars toujours très enthousiaste sur ce genre de film. En même temps, comment pourrait-il en être autrement? UN CROCODILE ROBOT! À quasiment chaque scène, on se dit « Non, non, c’est pas vrai! Ils ont pas osé?! » Et bien si, ils ont osé. Le réalisateur, Arthur Sinclair, n’a peur de rien. Ni des effets spéciaux vilains (en même temps, c’est presqu’une obligation du style), ni des personnages « légèrement » caricaturaux, ni de la très célèbre « taille variable » (comment ça un crocodile géant ne peut nager en profondeur dans 10cm d’eau? MAIS SI!).

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Le petit plus de Robocroc, celui qui fera chavirer les jeunes trentenaires dans mon style, c’est la présence au générique de Corin Nemec. Souvent, dans ce genre de production, on a droit à une star TV sur le retour, qui tente tant bien que mal de vivre de son art; dans Sharknado, ce sera Ian Ziering, par exemple, de Beverly Hills 90210). Ici, c’est donc PARKER LEWIS NE PERD JAMAIS. Et Parker Lewis, c’est mon dieu. Surtout que Corin Nemec, il s’y connaît en nanar. Avant le croco, il a tâté du requin dans l’excellentissime Sand Shark. Il est trop fort, j’vous dis.

Euh... Monsieur Lewis, pourquoi t'as un gun?

Euh… Monsieur Lewis, pourquoi t’as un gun?

Donc voilà, Robocroc n’a vraiment aucune de raison de rougir face à ses potes les requins. Seul petit bémol, c’est peut-être un peu longuet par moment et la « science » en prend un coup. Mais franchement, sortez-moi la bière et les pizzas, calez-vous devant et arrêtez de penser. Non, vraiment, parce que si vous réfléchissez, Robocroc va vous retourner le cerveau, et ce serait dommage… Bonne séance!


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