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Diplomatie

Par Basicinstinct82

Du point de vue, aussi bien, diplomatique que géostratégique ou encore, la géopolitique, relative à des tentations hégémoniques, la culture du va t’en-guerre, révèle peu à peu, ses limites, pourfend les perspectives de stabilité géo-régionale, tout en consacrant la culture du compromis, comme une dimension irréductible du rapprochement des peuples, de l’esquisse d’une transposition factuelle de la diplomatie en une nouvelle forme de conquête des marchés, ainsi que les vertus de la dynamique des relations commerciales, quoi que l’impératif que constitue aujourd’hui, la lutte contre  le terrorisme, le radicalisme religieux, y compris, les groupes supposés islamiques, forment, les préoccupations et déterminations essentielles des nations occidentales, lesquelles, semblent de tout temps, déterminées à ne céder, sous aucun prétexte, aux effets, de la montée fulgurante du sentiment anti occidental, constatés dans certaines régions à forte culture islamique, exposées aux reflues constants de conflits tribaux, religieux et aux passés, ne militant aucunement, à une extension de l’influence de l’occident sur le monde, même si, à l’évidence, l’interprétation des deux positions antagoniques et inconciliables, poussent à une analyse conséquente et prudente, de l’interaction de deux visions du monde, condamnées et appelées de tout vœux, à s’imbriquer mais, malheureusement dont le seuil de divergence, se trouve revigoré à tel enseigne, que la culture d’un rapprochement des cultes, le brassage des cultures bien qu’entamée et la globalisation croissante du monde, au lieu de tirer les pays vers l’émergence effective de nations constituées, contribuent à aggraver, les divisions fratricides, causer les guerres tribales et inciter à des conflits politiques.

A cet effet, l’antagonisme des deux visions, découle assez subtilement, de la conception et l’apparition, des concepts du droit, de la politique, de la morale religieuse, et de la justice, car les occidents justifient leurs visions de la géopolitique, des processus de paix et de la diplomatie, en arguant les principes fondateurs des différentes organisations que l’humanité a en partage, lesquelles, sont d’ailleurs nées sous leur influence et leur parrainage, ainsi que par le biais de théories, dogmes et doctrines, qui n’ont d’origines et de préceptes, que la culture judéo-chrétienne, souvent violemment prise à partie, et indexée, comme le nœud de la divergence encrée entre les deux visions.

Par ailleurs, en  quoi, seraient-elles inconciliables?

La réponse à cette question, bien que biaisée et procède de la lecture du paragraphe précédent, revient toujours illustrer le niveau des réticences et de divergence, dénoté dans deux approches aux sources concourant à servir la même cause, à savoir, l’hégémonie, mais obérée par la difficulté que les radicalistes éprouvent à dissocier leur conception de la vie en communauté, autrement le pouvoir politique, l’état, la diplomatie, et autres aspects des relations inter-étatiques, des croyances religieuses, si bien que l’interprétation du seuil d’encrage des dogmes religieux, permet d’entrevoir le degré d’ouverture, de tolérance et de tolérance des courants de pensée, au même titre, que le caractère laïque des nations occidentales, quoi que, promouvant la séparation de l’église et de l’état, les idéologies politiques y compris, les tendances politiques, encastrent, les pratiques étatiques, dans le prolongement de la culture judéo-chrétienne.

Ainsi, pour revenir sur la position respective des USA et de la France, dans le conflit Syrien, il me semble évident que les USA, se soient inscrits dans la logique des engagements électoraux de son président B Obama, lequel après analyse des ressentiments de l’opinion Américaine, ainsi que du monde Arabe, relativement aux ingérences récurrentes des USA dans les affaires intérieures de certains états et à l’égard d’une diplomatie demeurée longtemps cantonnée, dans une logique de va-t-en-guerre, alors même que les données environnementales, conjoncturelles et diplomatiques, du monde subissaient de plein fouet, une profonde mutation à coups de positionnements et de repositionnements des états à l’échelle du monde, avec la fin de la guerre froide, celle pacifique et que les menaces nucléaires étaient contenue dans une proportion, minimaliste.

De ce fait, la présence Américaine dans différents théâtres de conflits, avait essoufflé, une diplomatie arrivée, à un seuil de remise en cause des valeurs et acquis, conformément, à un besoin de repositionnement diplomatique et la mobilisation des moyens et ressources, pour des objectifs et perspectives renouvelées à cet effet et remis sur sellettes, aux fins d’une nouvelle reconquête de zones d’influences, car au sortir des années 1990 et l’extinction croissante du dogme dictatorial, sur fond de régimes aux aboies, il ne sied que la perspective diplomatique sur fond de promotion économique et commerciale, qui s’offrait comme moyens d’action aux pays occidentaux, vue la vague de démocratisation croissante des régimes politiques partout ailleurs.

http://www.slate.fr/story/92029/etat-islamique-hollande-raison-obama

je reviendrai dessus

la France,    presta raffermissement des acquis résultant quel que fois, de leur prospérité économique, qu’ils s’efforcent à dissocier, de la conception de l’idéal religieux, quelque fois,  relations perçus



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