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Alex Highton-Nobody Knows Anything-2014 (en français)

Publié le 01 décembre 2014 par Numfar
Alex Highton-Nobody Knows Anything-2014 (en français)

Le voici, le voilà, il est là, dans mes mains (toutes les trois), le nouvel album d'Alex Highton, et en plus il me l'a dédicacé, c'est sympa...

Merci Alex.

Au fait, c'est qui Glyn?

Ce nouvel album démarre sur des chapeaux de roue avec un sublime "You don't own this life", l'un de mes titres préférés, avec une mélodie d'une beauté incroyable.

Le suivant est surprenant: "It falls together" est une bonne surprise avec ses arrangements et ses harmonies vocales d'une beauté à couper le souffle.

Simplement étonnant.

"Panic" est une autre mélodie remarquable et garde le momentum gagné sur les deux premiers titres.

Mais c'est au moment où vous pensez être bien installés dans l'univers rustique et confortable d'Alex, que des synthés venus d'ailleurs vous emmènent sur une autre planète.

Je vous l'avais dit, surprenant.

"Sunlight burns your skin" est un autre trésor d'Alex. La raison pour laquelle on aime cet artiste incroyable est sa capacité à pondre des mélodies qui vous transportent l'âme et s'incrustent sous votre épiderme.

C'est là tout son talent, des mélodies incroyablement belles servies par une voix sublime.

Le seul petit "hic" c'est le surplus de SUPERBES BALLADES acoustiques qui suivent et à mon avis, et ce n'est que mon avis, ralentissent le flux de l'album.

"She had this sister", "Kills" en duo avec Nancy Wallace, "The evil that men do" (non pas la reprise d'Iron Maiden) et plus loin "I only asked you to try" méritent largement de figurer sur ce disque par leur beauté, mais gênent peut-être le rythme de l'ensemble.

Mais ce n'est que mon avis...

La fin de l'album est un pur chef d'oeuvre: le funky "Fear", le dépressif "Somebody must know something" qui est peut-être le meilleur titre de l'album, l'instrumental Floydien "Nobody knows anything", le génial "Mephisto", un autre sommet de l'album, pour finir avec "It's" qui termine l'album sur une note nostalgique.

Pour résumer, après le bucolique "Wooditton Wives Club", chef d'oeuvre intemporel, voici le surprenant et génialissime "Nobody Knows Anything", où Alex Highton s'impose comme un petit maître de la pop britannique, dans la lignée d'un Paul Mccartney. Ray Davies ou d'un Jeff Lynne, en emmenant son public là où il ne s'y attend pas.

Merci Alex!

© Glyn "Pascal" Schlaefli

Urba City

1 décembre 2014

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