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The Battle of the Five Armies (Cinéma)

Publié le 11 décembre 2014 par Bigreblog

Oyez oyez gente population qui se serait demandé si j’avais survécu. J’ai survécu. Mais j’ignore comment. Sérieusement, à la fin du générique, mon maquillage avait tellement coulé qu’on aurait cru que je cosplayais un Gremlins et pas une Elfe…

Bon, whatever. Une ère se termine, une autre commencera peut-être bientôt. Rien qu’à écrire ces mots je recommence à pleurer. CESSE DONC!

Mais comme je l’ai dit hier soir à mes coupines de jeu, The Hobbit ne sera PAS terminé tant que la version longue ne sera pas sortie… Ca me laisse environ un an avant de vraiment décéder.

Alors voilà, parce que je me sens d’humeur magnanime, et parce que je suis encore dans le déni total, cette review sera sans spoilers. Vous avez bien lu. Sans aucun petit spoiler de merde. Avec amour et délectation…et aussi…beaucoup de larmes.

The Battle of the Five Armies démarre là où The Desolation of Smaug nous avait laissés: Smaug le dragon attaque Laketown, Bard est prisonnier de sa cage, et les Nains d’Erebor assiste à la chute de la ville du Lac. Pendant ce temps, Gandalf est toujours prisonnier de Sauron à Dol Guldur…

Je ne saurais pas vraiment comment vous traduire l’émotion qui m’a prise pendant le visionnage de ce film. J’étais totalement prise dedans, un truc de fou, et à tel point que j’ai donc pleuré toutes les larmes de mon corps au moment du dénouement. Dénouement qui, finalement, m’a presque semblé fade tellement ce qui a précédé était…explosif…et totalement tragique.

Mais s’il faut bien rendre à César ce qui lui appartient, je ne peux pas faire autrement que j’envoyer une gerbe de roses à Richard Armitage.

Oui, vous avez bien lu.

Thorin Oakenshield est le réel « héros » de ce film-ci. Bilbo et Gandalf sont volontairement mis de côté (comme ils le sont dans le livre finalement) pour laisser le Roi sous la Montagne au premier plan. Un premier plan qui vous fout les boules quelque chose de puissant! Je vous jure, je n’ai plus autant pleuré depuis le dernier Harry Potter, et c’était même pas pour la même raison.

Donc, j’annonce que Richard doit ABSOLUMENT recevoir un prix quelconque pour son interprétation tantôt inquiétante, tantôt touchante, tantôt carrément terrifiante, et tantôt attachante, de ce roi paumé qui succombe à un mal bien humain finalement.

J’ai craqué.

Aux côtés de Thorin, les personnages les plus mis en avant sont ceux des généraux des factions qui l’entourent: Thranduil, roi des Elfes, Bard, chef honoraire des Hommes, et Azog, l’ennemi juré des Nains.

Thranduil, arrêtons-nous sur lui deux secondes (oh oui, sur lui, rrrrrr…). Lee Pace fait un travail de malade sur ce gars, vraiment. Thranduil nous est apparu tel une statue de glace dans les deux opus précédents, mais ici, son armure (physique et mentale d’ailleurs) se fracture et laisse entrevoir l’homme blessé par la vie. Ses scènes avec Legolas sont à vous fendre le coeur.

Un Thranduil qui s'oppose aussi ouvertement à Gandalf, un truc jamais vu auparavant...

Un Thranduil qui s’oppose aussi ouvertement à Gandalf, un truc jamais vu auparavant…

Bard n’est pas en reste. S’il n’a pas tué le plus d’Orques dans cette foutue bataille, j’y comprends rien. Il est trop badass, trop parfait, trop canon, trop j’arrête vous avez compris.

THE HOBBIT: THE BATTLE OF THE FIVE ARMIES

Je lancerai aussi une fleur exceptionnelle sur Legolas, puisque même si je HAIS le personnage d’habitude, ici, je l’ai carrément kiffé. Notez-le quelque part.

Mais voilà, il y a une scène qui m’a marquée jusqu’au tréfonds de moi-même, c’est le combat du Conseil Blanc, venu sauver Gandalf à Dol Guldur. Je ne spoile rien puisque c’est dans la bande annonce. Et si vous voulez encore des preuves que ma faction de coeur est la meilleure: Elrond et Galadriel fuck the world. Jus’ sayin’.

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Voilà voilà… Je ne sais pas, finalement, quoi ajouter tellement je suis secouée.

Ah si. Le personnage comic relief ici est donc Alfrid, le fameux conseiller du Maitre de Laketown. Il pourrait se reconvertir en bouffon du Roi Bard, celui-là. :p

Alors, bien sûr, il y a des erreurs, plus, peut-être, que dans les opus précédents. Bien sûr, certaines scènes sont carrément idiotes et trop what the fuck? pour être vraiment bienvenues, mais pour être honnête, la fin bute tellement tout que je pardonnerais presque tout.

Presque. Parce que Bilbo, à la fin, durant cette scène qui m’a fait pleurer, a fait un truc…impardonnable. Vous comprendrez.

Bref, les enfants, allez le voir. Une fois, deux fois, trois fois. Peu importe. Mais allez-y. Par pitié.

Note: 8,5/10 (scénario: 7/10 (peut-être la moins bonne note de toute la franchise)jeu: 9/10 (Richard, sérieux, tu tues tout)BO: 9/10 (que dire, que dire?)suite et conclusion: 9/10)

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Et bien sûr, je ne vous oublie pas, comme je vous l’avais promis: le cosplay de la mort! Full body, juste une oreille, et le fameux arc. ;)

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Même si vous ne voyez qu'une partie, voilà ce qui est écrit: Nalucien Taur'Quessir tuulo' Eryn Lasgalen (Natulcien (mon nom elfique), Elfe Sylvaine de Greewood); et Mellon en' Edanea, ar' Peredhili, ar' Naugrim (Amie des Hommes, des Hobbits, et des Nains).

Même si vous ne voyez qu’une partie, voilà ce qui est écrit: Nalucien Taur’Quessir tuulo’ Eryn Lasgalen (Natulcien (mon nom elfique), Elfe Sylvaine de Greewood); et Mellon en’ Edanea, ar’ Peredhili, ar’ Naugrim (Amie des Hommes, des Hobbits, et des Nains).



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