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"La vie Q..."

Publié le 19 février 2015 par Philippejandrok

Aujourd’hui, je me suis rendu à la maison de la presse pour acheter "la Vie Q…", un quotidien de la région du Sud-ouest qui informe la population de ce qui s’y passe.

Deux jours auparavant, j’avais été interviewé dans un charmant café par le journaliste local sur « Pandora, une enquête sur la réalité médicale aujourd’hui », ouvrage dans lequel je pose nombre de questions et notamment, des questions sur le rôle d’une presse qui ne fait pas son travail d'information, comment, me direz-vous ?

Et bien, au cours de ces deux ans d’enquête, j’ai pu constater dans mes recherches que sur certains sujets par exemple, la presse faisait une impasse drastique sur les « Chemtrails », sur la communication des méthodes de soin naturelles sur Ebola, sur le « Gardasil » sujet tabou entre tous, sur le cancer, la chimiothérapie, l’autisme et son rapport aux vaccins, et sur nombre d’autres sujets que je traite.

J’ai pointé les anomalies, j’ai souligné, entre autres, le fait que nombre de journalistes faisaient de l’information bas de gamme pour justement ne pas informer le public et pour continuer à endormir la population.

Les informations sont à la disposition de tous, il suffit de chercher sur la toile, de faire un travail de documentation, de traduire des articles en anglais, tout est là et pourtant, les journalistes ne font pas ce travail, allez déjà trouver des journalistes qui parlent suffisamment l’anglais l’italien, l’espagnol, le russe… encore des barrières dans la communication du savoir et de l’information ; parlant plusieurs langues, j’ai cette chance de pouvoir lire, comprendre, traduire et retranscrire pour tous, car c’est un devoir humain que d’informer son prochain et je ne suis pas rémunéré pour faire ce travail, je le fais en tant qu'Antroposophe au service de mes frères humains.

Pourtant, les citoyens qui s’intéressent à tous ces sujets, font eux-mêmes ces recherches et divulguent des informations qui ne sortent jamais dans les organes de presse traditionnels, on trouve ces révélations sur des blogues français et américains, des personnes extrêmement sérieuses, des scientifiques, des retraités de l’US Air force, de la Navy, de la CIA, des journalistes courageux également, qui travaillent de manière indépendante, des médecins/chercheurs qui publient des recherches dont on ne parle pas pour ne pas perturber l’ordre établi, et pour, surtout ne pas éveiller les consciences.

Après cette interview qui s’est très bien déroulée, le journaliste m’a informé que l’article paraitrait ce jeudi, soit aujourd’hui.

Je me rends donc à la Maison de la Presse pour acheter ce « la Vie Q… » en me disant que je l’y trouverais bien et que cet article permettrait enfin d’informer la population sur la réalité médicale aujourd’hui.

Je feuillette le journal en question, acheté dernièrement par une célèbre banque rurale de notre belle démocratie comme toute la presse du Sud Ouest d’ailleurs, information que le journaliste ignorait, et je ne trouve pas l’article en question. Mince, me dis-je, pas l’article promis, pourtant, le journaliste aurait du avoir la courtoisie de me prévenir, ce qu’il n’a pas fait. Je prends mon téléphone et appelle le journaliste en question pour lui demander aimablement ce qu’il en est :

-   Ah, je ne crois pas qu’il sera publié… me répond-il.

-   Pourquoi donc ?

-   Parce que je suis tombé sur des liens qui critiquent les journalistes, et je ne vais pas publier un article qui critique les journalistes…

-   Mais enfin, je ne vois pas le rapport, c’est une enquête générale sur la médecine, le soin, la maladie et qui montre, à un certain point, que la presse ne fait pas son travail d’information envers le citoyen, cela tendrait à prouver, avec cette absence de parution, que cette presse fait le jeu d’un pouvoir qui contrôle justement l’information.

-   Ah vous voyez, avec vous on ne peut rien dire, dès que l’on n’est pas d’accord avec vous, vous ne l’acceptez pas, me dit-il.

-   Pardon ? Cela n'a rien à voir, j'accepte tout à fait votre point de vue, permettez-moi tout de même de ne pas être en accord avec celui-ci, vous n'avez pas la vérité infuse. Vous m’avez demandé le chapitre sur les Chemtrails, voulez-vous me dire qui en parle aujourd'hui ? Lorsque TFI en parle au journal météo, Évelyne Delia affirme que ce sont les cheminées des bateaux qui créent ces lignes de vapeur vue de l’espace, lorsque le docu "Métropolis" d’Arte en parle, les journalistes d’Arte tournent en dérision les personnes qui tentent de révéler la gravité du sujet…

-   Ah mais il y a des articles sur le sujet, me dit-il

-   Alors, pourquoi m’avoir demandé mon chapitre particulièrement, s’il y en a tant ?

-   Bon, écoutez, moi, petit journaliste je ne peux publier un tel article qui critique les journalistes.

-   Cette enquête, n’est pas un travail sur les journalistes, ni sur la presse, si vous le réduisez à cela, c’est vraiment dommage. En fait vous faites tout le contraire de ce que vous devriez faire, vous bloquez l’information au lieu de la diffuser, qu’est-ce que vous voulez que je pense de cela ? Vous cautionnez exactement les critiques faites dans ce livre sur les journalistes. Très bien, je ne vous en veux pas, bon appétit.

- De toute façon, demandez à " La D..." (un autre journal local), personne ne publiera cet article à cause de ça! 

Wouah! j'étais estomaqué, en France, dans le pays des libertés, il est interdit de remettre en question le journalisme, la presse, l'information, la médecine, le pouvoir ?

Diderot disait :

- "On avale à pleine gorgée le mensonge qui nous flatte et l'on boit goutte à goutte une vérité qui nous est amère"

À nouveau, nous constatons, que même en province, la presse pratique une forme d'auto-censure, ce qui est regrettable, et le prétexte de ne pas publier un article portant sur une enquête importante pour la santé du citoyen aujourd’hui, car c'est le sujet de Pandora, était justement pour ne pas remettre en question le rôle d’une presse locale, nationale qui utilise l’omission, l’ignorance, et la censure pour ne pas ouvrir les yeux du public.

Personnellement, je ne m’attendais pas à une telle mauvaise foi de cette presse qui se drape dans une fausse dignité pour continuer à se mentir à elle-même et à ses lecteurs, qui continuent à croire que ce qui est écrit et publié officiellement, est la vérité. Oui, c'est la vérité en ce qui concerne tous les sujets sans importance, car le vif du sujet est traité de manière partiale depuis de nombreuses années, c'est pourquoi cette presse divise les citoyens au lieu de les unir, c'est un merveilleux outils du pouvoir et des puissants, c'est pourquoi elle est acheté par les Banques aujourd'hui.

Je comprends pourquoi je ne lis plus cette presse nationale, et très peu régionale, le plus souvent sans intérêt, si ce ne sont que quelques rubriques pour informer de l’ouverture d’un site commercial, du concours de soupe, de l’orchestre local ou du « Twirling baton » (sans critique de cette discipline).

Le journaliste qui a mené l’interview s’est drapé dans sa dignité de journaliste offensé que l’on ait pu remettre en question le rôle d’une confrérie, d’un ordre, comme celui des médecins, des enseignants universitaires, des notaires… Pour cette vexation puérile, lui ou son rédacteur en chef, peu importe, bloquent l’information sous prétexte de défendre l’honneur des journalistes ?

J’ai posé la question :

-   Mais alors, il n’y a pas de liberté de la presse si vous vous empêchez de publier un article sous prétexte qu’il remettrait en question le rôle du journaliste aujourd’hui en France, et vous bloquez l'information principale qui est une enquête sur la réalité médicale ?

-   On ne peut pas parler avec vous ! fut la réponse du journaliste que j’osais déranger dans son repas.

Je dois avouer, après cette discussion, que j’éprouve une certaine colère, non pas personnelle, non pas du fait que l’on ne parle pas de moi, je n’ai pas de problème d’Ego, mais que cela confirme tout ce qui est dit dans cette enquête sur la dissimulation d’informations auprès du public, ce qui est bien plus grave, car sous prétexte de vexation personnelle, le journaliste - qui trouvait mon travail tout à fait passionnant lors de l'interview - ou son rédacteur en chef, censure une parution qui devait inévitablement intéresser le lecteur, qui se fiche de savoir si un journaliste fait ou pas son travail, mais qui désire davantage savoir s’il peut guérir son père ou sa mère d’un cancer du poumon en stade 4 dans les caraïbes, de la leucémie de son enfant, et de l’autisme ou d’une maladie neuro dégénérative, tous ces sujets pourtant traités dans Pandora, à force d’exemples, de témoignages de scientifiques chevronnés de renommée internationale, et tout cela, n'a rien à voir avec le journalisme.

Je parlais de conspiration d’état pour les Chemtrails, par exemple, cela se vérifie et se confirme, sans parler des maladies, des vaccins, bien sûr, Pandora est un ouvrage qui dérange à plus d’un titre, mais l’intelligence aurait été de publier un article pour prouver aux citoyens qu’il existe parfois, une certaine presse capable justement de publier ce qui la dérange comme marque de tolérance et de liberté d’expression dans le pays des droits de l'homme, à la place, nous avons une démonstration de l’égo journalistique de province qui ne veut pas être mêlé à ce qu’il y a de plus simple dans l’âme humaine, la Vérité.

Nous vivons une époque formidiable…


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