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Alan Parsons (Group #4)-The Time Machine-1999

Publié le 24 février 2015 par Numfar
Alan Parsons (Group #4)-The Time Machine-1999

Alan Parsons (Group #4):

Ian Bairnson: guitare

Stuart Elliott: batterie

Richard Cottle: claviers, saxo

Alan Parsons: claviers

John Giblin: basse

Robyn Smith: claviers

En septembre 1999, paraît le dernier album du groupe d'Alan Parsons: "The Time Machine", produit par Alan Parsons.

The time machine-1 (Stuart Elliott)

Temporalia (Alan Parsons)

Out of the blue (Ian Bairnson)

Call up (Ian Bairnson)

Ignorance is bliss (Ian Bairnson)

Rubber universe (Ian Bairnson)

The call of the wild (Ian Bairnson)

No future in the past (Stuart Elliott)

Press rewind (Stuart Elliott)

The very last time (Ian Bairnson)

Far ago and long away (Ian Bairnson)

The time machine-2 (Stuart Elliott)

Chanteurs:

Tony Hadley (Out of the blue)

Neil Lockwood (Call up, No future in the past)

Colin Blunstone (Ignorance is bliss)

Maire Brennan (The call of the wild)

Graham Dye (Press rewind)

Beverley Craven (The very last time)

Sur cet album thématique centré sur les voyages dans le temps, Bairnson et Elliott sont crédités comme "musiciens associés" ce qui laisse à penser qu'en plus d'avoir composé 99% de l'album, ils ont probablement enregistré tout l'album à eux deux plus quelques participations éparses de Giblin, Cottle et Parsons.


Alan Parsons qui n'a d'ailleurs jamais aussi peu composé pour un disque portant son nom.

Un petit mot sur les nouveaux chanteurs: Tony Hadley était le chanteur de Spandau Ballet dans les années 80, Maire Brennan, celle de Clannad et Beverly Craven est une grande chanteuse folk-pop des années 90.

La pochette, à la fois amusante (le Tardis, la Delorean etc...) et moche (un manque total de goût, vous ne trouvez pas?), ne fera pas vendre le disque qui sera le moins populaire des disques d'Alan Parsons des années 90.

Dommage qu'ils n'aient pas utilisés certains dessins de la pochette intérieure, beaucoup plus impressionants.

Musicalement, il est également très éloigné du rock progressif de "On air" et du rock FM de "Try Anything Once".

Une musique plus mid-tempo sans grand génie malheureusement.

Après "On Air", j'avais vraiment envie d'aimer ce disque, mais pour moi il tombe un peu à plat.

C'est la fin du groupe d'Alan Parsons qui se sépare dans la foulée.

En 2002, Bairnson et David Paton se retrouvent sous le nom de Pilot et réenregistrent l'album "Two's A Crowd" sous le nom "Blue Yonder".

Depuis la réédition de l'original en 2005, ce disque est devenu totalement obsolète et n'a jamais été réédité.

Je n'en parlerais donc pas.

Au printemps 2004, Alan Parsons se décide à enregistrer un véritable premier album solo.

En mai, avec un groupe d'accompagnateurs, il donne toute une série de concerts, dont un à Madrid en mai 2004, qui sortira 6 ans plus tard.

© Pascal Schlaefli

Urba City

24 Février 2015

Du même auteur:

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En préparation, l'histoire fictive d'un groupe de rock féminin des années 80:

The Blacksouls

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