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Le storytelling n'est pas tout

Publié le 05 mars 2015 par Dangelsteph
trésor storytelling

A force d’en parler, on a l’impression que le storytelling est le Graal. Ce serait la solution suprême, capable de résoudre tout et même n’importe quoi.

Ce n’est pas complètement exagéré. Le storytelling peut faire beaucoup, y compris faire gagner de l’argent à ceux qui ne le pratique pas :). 

Mais autant il n’a pas vocation à remplacer toutes les techniques existantes, autant son efficacité est d’autant plus forte qu’il est combiné à d’autres méthodes, autonomes mais aux effets associés particulièrement importants.

L’e-marketing et la vidéo :

Quand on pense storytelling, est-ce forcément de prose de parole dont il s’agit ? Non, pas (plus) aujourd’hui en tout cas. Comme pour toute communication, le storytelling doit se poster là où se trouve son public, c’est à dire online. L’important, ici, est de combiner les forces du storytelling et les techniques qui permettent de vendre sur le web  : la vente sous toutes ses formes, le seul objectif qui en vaille vraiment la peine (oubliez tout objectif d’information -il y a déjà une overdose, ou d’adhésion -l’entreprise a besoin d’action, pas d’approbation).

Je place également dans ce paragraphe la technique de la vidéo, car elle s’assemble très bien avec l’e-marketing. Une vidéo bien faite qui raconte une histoire (du storytelling, donc) est une arme presque fatale.

Les lois de l’attraction :

Le web ? OK. Mais la maîtrise d’une technique n’est pas suffisante. Encore faut-il aussi que le contenu soit attrayant. Le storytelling y contribue, mais le succès est complet si on ajoute encore d’autres outils permettant de se rendre plus attractif et de donner plus de relief à sa communication.

Mémoriser pour être mémorable :

Très bien : vous avez de la technique, et vous êtes attractif. Est-ce suffisant ? Toujours pas. Quand on dit storytelling, on parle de contenu, mais pas seulement : l’histoire est aussi à interpréter, et quel que soit le média utilisé. Et la clé commune à toutes les interprétations d’histoires est… la mémoire. Il faut être capable d’interpréter l’histoire comme si elle venait du coeur (et c’est encore mieux si elle vient vraiment du coeur, mais ce n’est pas toujours possible), et pour cela, il est nécessaire de lavoir très bien en tête. Cela se travaille.

Voici donc trois compétences complémentaires au storytelling, en ce sens qu’elles permettent d’en tirer le meilleur parti. Il y en a d’autres, et nous reviendrons dessus dans un prochain article.


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