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64 cases avec Ingrid Bergman

Publié le 21 mai 2015 par Echecsinfos
64 cases avec Ingrid Bergman Elle aurait 100 ans, mais finalement elle restera éternelle. Et pas seulement parce que son visage illumine l'affiche du 68ème Festival de Cannes.
Ingrid Bergman est l'une des plus grandes stars du cinéma Américain (classée 4ème du Top 100). Mariée à 3 reprises, capable de jouer la comédie en 5 langues (Suédois, Anglais, Allemand, Italien et Français), elle a travaillé avec les plus grands acteurs et réalisateurs.
En 1942, le film Casablanca avec Humphrey Bogart marque le début de sa carrière internationale. Humphrey était sans doute le meilleur joueur d'échecs parmi les acteurs hollywoodiens. Il existe plusieurs plans le montrant devant l'échiquier.
En 1964, Ingrid Bergman tourne La Rancune (The Visit) avec Antony Quinn, joueur d'échecs devant l'éternel qui passait son temps à jouer aux échecs entre deux prises (il affronte Gregory Peck sur le tournage des Canons de Navaronne, ou Tom Fielding sur A Walk in the spring rain). 
Même patronyme. Autre prénom avec Ingmar.
Aucun lien de parenté connu. Et Ingmar officie de l'autre côté de la caméra.
Ingmar Bergman (1918-2007) a réalisé Cris et chuchotements, Sonate d'automne, . . . Récompensé par 3 Oscars, 1 Ours d'Or, et l'unique Palme des Palmes décernée par le Festival du film de Cannes (1997).
Sa carrière débute avec le Septième sceau (1957), inspiré d'une peinture d'Albertus Pictor La mort jouant aux échecs. Scénario peu banal. Un chevalier dispute une partie d'échecs contre la mort, le temps de trouver des réponses à des questions métaphysiques. Dieu existe-t-il ? La vie a-t-elle un sens ?
Bon, c'est pas tout ça. Pour les amateurs de beau jeu, voici une partie bien vivante avec Kasparov qui fait son cinéma face à Karpov.
64 cases avec Ingrid Bergman
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64 cases avec Ingrid Bergman

Kasparov vs Karpov - 1986



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