Film : The Babadook (2014)

L’avis De Ric01a : ♥♥♥♥♥

Comme on pourrait dire à Marseille : Oh putain con, je me suis caguer !

The Babadook réanime en moi la flamme de l’horreur. Si le tout est esthétiquement froid, le film lui est réellement bien chargé en émotions forte et le prouve à maintes reprise efficacement. L’histoire dévoile une mère qui se retrouve seul avec son enfant et qui travaille comme assistante médicale dans un hospice. Son enfant est turbulent, ne cesse de crier et dispose de quelques prédispositions à la violence qui sont plus qu’inquiétante. Difficile d’élever ce garçon seul dans de tels conditions, surtout lorsque l’on apprend que le père est mort le jour de la naissance de l’enfant. Malgrès cette vie difficile, la mère tiens bon et se démène corps et âme pour subvenir au besoins de son fils. Alors qu’un soir elle met au lit l’enfant, elle tombe bizarrement sur un livre se nommant : Mister Babadook. Le livre est sombre, chargé de messages plus que douteux et morbide et accessoirement, il ne donne pas du tout mais pas du tout envie de dormir. C’est ainsi alors que le Babadook, entités démoniaque, va être invité à rentrer dans la maison familiale.

Donc… En bref, The Babadook, c’est le genre de film que l’on attend pas du tout. Lorsque je l’ai lancé, pendant la première minute je me suis dit : Pffffff encore un film avec jumpscare bidon à tout les coups et un scénario en carton… J’étais loin de m’imaginer qu’ après avoir dépassé 50 minutes je serais totalement terrorisé sur mon canapé (Chair de poule compris et totalement mis mal à l’aise). Comme je le disais plus haut, le film à une esthétique froide et surtout, il fait monter une pression pleinement palpable et une colère vive pendant plus d’une bonne heure (Je m’explique : La mère qui ne cesse de s’occuper d’un enfant aussi turbulent devient de plus en plus stressé et ne dors plus…Pour ma part, j’ai trouvé ça réellement palpable.) La fameuse scène ignoble dans le film ne fait pas sursauté, elle provoque une vrai terreur. Cette dernière dévoilant morceau par morceau l’entité démoniaque au grand jour, le moment ou celle-ci se montre pleinement fais froid dans le dos (D’ailleurs ça ressemble pas mal à l’image subliminal du film : L’exorciste, mouvements hachurés, comme si l’on animé de la patte à modeler.).

A voir dans le noir et sans personne, histoire d’avoir un bon stress permanent et peut-être avec de la chance : Finir complétement taré.

Ric01a