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La rebelle de Santa Maria de Helen Dickson

Par Artemissia Gold @SongeD1NuitDete

Chronique réalisée par RoseRose

:star: La rebelle de Santa Maria, Helen Dickson


La Rebelle de Santa Maria d'Helen DicksonNombre de pages :
 320 pages
Éditeur : Harlequin
Date de sortie : 1er août 2015
Collection : Les Historiques
Langue : Français
ISBN-10 : 2280331012
ISBN-13 : 9782280331012
Prix Éditeur : 6,95 €
Disponible sur Liseuse : Oui

Son résumé :

Santa Maria, XIXe siècle
Shona enrage. Depuis la mort de son père, elle est oppressée par une belle-sœur autoritaire qui n’a de cesse de brider sa liberté. Elle ne peut ni monter à cheval, ni se déplacer à sa guise, et encore moins choisir son futur époux… Son exaspération est à son comble. Alors, le jour où la Perle de l’Océan accoste à Santa Maria avec à son bord le charismatique Zack Fitzgerald, qui la dévore des yeux, une idée germe dans son esprit : épouser le séduisant capitaine pour retourner dans sa chère ville de Londres. Là, elle pourra enfin vivre à sa guise. Il ne lui reste plus qu’à convaincre Zack Fitzgerald, le farouche célibataire, du bien-fondé de cet arrangement.

Le plan était simple : épouser un capitaine pour s’affranchir de sa famille.
Le seul détail : qu’il accepte.

Mon avis :

Si vous aussi vous aviez une belle-sœur aussi pénible que celle de Shona, vous aimeriez fuir très loin ! Mais reprenons du début…

Shona et son frère Antony McKenzie sont orphelins. Ce dernier est marié avec Carmelita, une horrible mégère qui n’a de cesse de brimer sa belle-sœur, pour qu’elle prenne davantage au sérieux leur situation. Il faut dire que les McKenzie possèdent l’île de Santa Maria, et doivent donc tenir un certain standing, ce dont Shona, avec ses cheveux détachés et ses chevaux sur lesquels elle monte à califourchon, ne tient pas forcément compte. Quant au capitaine Zachariah Fitzgerald, il ne veut pas s’attarder sur l’île, et prévoit de n’y passer que deux petites semaines, le temps de réparer les dommages subis par son bateau lors d’une tempête. Mais Shona a quelques idées en tête qui pourraient bien le faire changer de plan…

Shona est une jeune femme intéressante. En conflit avec sa famille, elle n’hésite pas à choquer en montant à califourchon, en montrant ses mollets, en ne rougissant pas dès qu’un homme l’aborde, notamment lorsqu’il s’agit du capitaine Zack. Elle aime jouer pourtant de son statut et prend plaisir à ne pas suivre les conventions. Elle est vraiment ce qu’on peut appeler une rebelle, selon les codes en cours en 1800.

Zack, lui, semble d’un premier abord être le bad boy de base, celui qui aime provoquer, avec un petit sourire en coin et ses mauvaises manières. Un retournement de situation nous le fera considérer autrement, mais il conserve quand même un vernis superficiel qui fait un peu tiquer. J’ai été un peu déçue car en lisant le résumé, je pensais qu’il était un pirate (c’était juste dans ma tête hein, ce n’est dit nulle part…), ce qui n’est pas du tout le cas, et l’a ramené à un profil de marchand nettement moins aguicheur.

Dans un autre registre, on en a un peu assez des rappels du type :

C’était toujours la même chose. Carmelita ne cessait de lui dicter ce qu’elle était censée faire et ne perdait jamais une occasion de lui rappeler à quel point elle représentait une lourde charge pour Antony.

Il y en a à peu près toutes les trois pages, au cas où on n’aurait pas bien compris.

C’est pour moi donc un avis un peu mitigé.

Bon

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Chronique réalisée par RoseRose

:star: La rebelle de Santa Maria, Helen Dickson


La Rebelle de Santa Maria d'Helen DicksonNombre de pages :
 320 pages
Éditeur : Harlequin
Date de sortie : 1er août 2015
Collection : Les Historiques
Langue : Français
ISBN-10 : 2280331012
ISBN-13 : 9782280331012
Prix Éditeur : 6,95 €
Disponible sur Liseuse : Oui

Son résumé :

Santa Maria, XIXe siècle
Shona enrage. Depuis la mort de son père, elle est oppressée par une belle-sœur autoritaire qui n’a de cesse de brider sa liberté. Elle ne peut ni monter à cheval, ni se déplacer à sa guise, et encore moins choisir son futur époux… Son exaspération est à son comble. Alors, le jour où la Perle de l’Océan accoste à Santa Maria avec à son bord le charismatique Zack Fitzgerald, qui la dévore des yeux, une idée germe dans son esprit : épouser le séduisant capitaine pour retourner dans sa chère ville de Londres. Là, elle pourra enfin vivre à sa guise. Il ne lui reste plus qu’à convaincre Zack Fitzgerald, le farouche célibataire, du bien-fondé de cet arrangement.

Le plan était simple : épouser un capitaine pour s’affranchir de sa famille.
Le seul détail : qu’il accepte.

Mon avis :

Si vous aussi vous aviez une belle-sœur aussi pénible que celle de Shona, vous aimeriez fuir très loin ! Mais reprenons du début…

Shona et son frère Antony McKenzie sont orphelins. Ce dernier est marié avec Carmelita, une horrible mégère qui n’a de cesse de brimer sa belle-sœur, pour qu’elle prenne davantage au sérieux leur situation. Il faut dire que les McKenzie possèdent l’île de Santa Maria, et doivent donc tenir un certain standing, ce dont Shona, avec ses cheveux détachés et ses chevaux sur lesquels elle monte à califourchon, ne tient pas forcément compte. Quant au capitaine Zachariah Fitzgerald, il ne veut pas s’attarder sur l’île, et prévoit de n’y passer que deux petites semaines, le temps de réparer les dommages subis par son bateau lors d’une tempête. Mais Shona a quelques idées en tête qui pourraient bien le faire changer de plan…

Shona est une jeune femme intéressante. En conflit avec sa famille, elle n’hésite pas à choquer en montant à califourchon, en montrant ses mollets, en ne rougissant pas dès qu’un homme l’aborde, notamment lorsqu’il s’agit du capitaine Zack. Elle aime jouer pourtant de son statut et prend plaisir à ne pas suivre les conventions. Elle est vraiment ce qu’on peut appeler une rebelle, selon les codes en cours en 1800.

Zack, lui, semble d’un premier abord être le bad boy de base, celui qui aime provoquer, avec un petit sourire en coin et ses mauvaises manières. Un retournement de situation nous le fera considérer autrement, mais il conserve quand même un vernis superficiel qui fait un peu tiquer. J’ai été un peu déçue car en lisant le résumé, je pensais qu’il était un pirate (c’était juste dans ma tête hein, ce n’est dit nulle part…), ce qui n’est pas du tout le cas, et l’a ramené à un profil de marchand nettement moins aguicheur.

Dans un autre registre, on en a un peu assez des rappels du type :

C’était toujours la même chose. Carmelita ne cessait de lui dicter ce qu’elle était censée faire et ne perdait jamais une occasion de lui rappeler à quel point elle représentait une lourde charge pour Antony.

Il y en a à peu près toutes les trois pages, au cas où on n’aurait pas bien compris.

C’est pour moi donc un avis un peu mitigé.


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