Florian Hardy était titulaire face au Danemark - Xavier Laîné FFHG
Il est toujours difficile d'entamer une compétition en concédant à l'adversaire un blanchissage et en prenant 6 buts. Mais perdre est également très positif et formateur.
Quand on regarde le déroulé du match, on constate qu'après un premier but pris à 5 contre 5 dans le premier tiers, les Bleus ont enregistré les 5 suivants sur des supériorités numériques danoises. Une indiscipline qui coûte certes cher, et qui traduit généralement un retard d'une équipe par rapport à l'autre ou un débordement non endigué dû à la vitesse de l'adversaire.
Reste que cela est prometteur puisqu'en dehors de ces pénalités, Florian Hardy et ses coéquipiers ont su protéger la cage des assauts danois à égalité.
Force est de constater que la France souffre aussi de l'absence de 8 joueurs cadres - les frères Da Costa, Pierre-Edouard Bellemare, Antoine Roussel, les frères Treille, Yohann Auvitu et Kevin Hecquefeuille -, permettant ainsi aux sélectionneurs de tester les jeunes, appelés à devenir les futurs cadres des Bleus, dans un contexte bien différent de celui de l'équipe de France A'.
La marche est haute entre les deux. Ces tournois sont faits pour travailler et progresser afin d'être prêts au moment où les véritables enjeux seront au rendez-vous.
FEUILLE DE MATCH DANEMARK-FRANCE
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