Certains esprits chagrins vous disent que l’aspect psy n’est qu’un effet post traumatique de l’acouphène. Il n’en est rien.
Le stress prépare le terrain du futur acouphène mais aussi le trop plein émotionnel, les pensées négatives, les tendances dépressives. Ce stress a pour conséquence une métabolisation : un stress oxydatif qui fragilise les cellules, qui entraîne des inflammations chroniques. C’est pour cela que certaines personnes auront facilement un traumatisme sonore à la sortie d’un concert et d’autres pas. Nous ne sommes pas tous logés à la même enseigne!
Philippe Barraqué, créateur des méthodes Stop Acouphènes et Neurostimulation Anti Acouphènes
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