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Retour sur « Musiques Cosmiques » à l’Opéra Berlioz – Montpellier

Publié le 10 novembre 2015 par Idherault.tv @ebola34
Retour sur « Musiques Cosmiques » à l’Opéra Berlioz – Montpellier Retour sur " Musiques cosmiques "- concert à l'Opéra Berlioz/Le Corum à Montpellier le dimanche 8 novembre 2015

Dimanche 14h30, nombreux sont les spectateurs qui se pressent à l'entrée du Corum pour un triple événement.

Le premier c'est la rentrée du nouveau chef principal de l'OONM (Opéra Orcheste National de Montpellier) Michael Schonwandt, le deuxième c'est un partenariat nouveau-né avec le Planétarium Galilée et enfin le troisième c'est la présence des " Planètes " à ce programme, œuvre très (trop) connue mais finalement peu jouée en concert !

La salle Berlioz se remplit, l'orchestre s'installe. Moment suspendu où tout est à venir mais où tout est déjà là !

Retour sur « Musiques Cosmiques » à l’Opéra Berlioz – Montpellier

Étonnement face à un programme qui fait parler. " La Mer, Debussy, c'est subtil, poétique, " Les Planètes " une grosse machine bruyante et clinquante comme un space opéra hollywoodien ! "

Et puis le chef Schonwandt, salué par de francs applaudissements, monte au pupitre. Silence. Les premières notes de la Mer planent sur un public recueilli. Quelques bruits de pas résonnent, au fond, mon voisin fronce le sourcil et tourne la tête, réprobateur, vers ces bruits incongrus. La Mer déferle, fluidité de l'orchestre coulant sous une direction inspirée. Une troisième esquisse enlevée et une pensée pour Valéry et sa " Mer toujours recommencée ", ici enfin... retrouvée.

La Mer s'est tue, la salle se vide...entracte !

Et voilà le moment attendu, la confrontation " fatale " entre l'image et le son, entre la surface close de la scène et l'immensité des espaces infinis. Cela débute par, surréaliste, Michael Schonwandt en ombre chinoise sur fond de Planère Rouge. Cela marche, c'est irréel, beau et crédible. Alors nous ne privons plus et les planètes défilent, sublimées par la musique, un orchestre de cosmonautes au milieu d'un champ d'astéroïdes. Jupiter est vraiment d'une majestueuse gaieté et, avec Neptune chant de l'infini et chœur céleste, le concert s'achève sur un tonnerre d'applaudissements.

Des rappels, encore des rappels, un somptueux bis, offert avec délicatesse par un chef au français chaleureux : la farandole de l'Arlésienne de Bizet. Bien vu, bien choisi, après les grandeurs de l'Univers retour à notre terre de (presque) Provence.

Retour sur « Musiques Cosmiques » à l’Opéra Berlioz – Montpellier

La foule se lève, s'écoule.
"Je n'aime pas " La Mer " mais, cette fois-ci, je dis Bravo ! " La dame est enthousiaste et veut, à tout prix, faire part de sa découverte à ses amis, aux premiers rangs.
"Je suis heureux, ce chef a déjà redonné une unité à notre orchestre ". " On sent la convivialité, la chaleur humaine. Il a su les valoriser, les mettre en avant... Cela nous promet une année de grandes et belles œuvres ! " " Schonwandt et Kawka, deux chefs si différents et en même temps si complémentaires... un tandem gagnant ".

Ces commentaires glanés valent toutes les conclusions et, lorsque je me retrouve, place de la Comédie, face à un groupe de musiciens de rue, plutôt bruyants... je n'en crois pas mes oreilles.

Il est dur de retrouver la " dure " réalité musicale et les planètes, là-haut, ont retrouvé leurs places.

Les œuvres

- C. Debussy (1862-1918)
La Mer, trois esquisses symphoniques pour orchestre, CD 111
De l'aube à midi sur la mer
Jeu des vagues
Dialogue du vent et de la mer

" Créée le 15 octobre 1905 à Paris - Concerts Lamoureux, sous la direction de Camille Chevillard - La Mer est souvent considérée comme l'une des plus belles et des plus originales parmi les œuvres symphoniques françaises contemporaines.
Dédiée à son ami et éditeur, Jacques Durand, les titres de l'œuvre et des différents mouvements pourraient avoir été inspirés par une nouvelle de Camille Mauclair. du vent
Ecrites entre 1903 et 1905 à partir de l'observation aiguë de la Manche, depuis les jeux de luminosité des rayons du soleil à la surface de l'eau jusqu'au déferlement des vagues sur les navires ballottés par les coups tumultueux, les trois esquisses ont quelque chose d'un kaléidoscope musical. Elles réservent à l'amateur averti des découvertes toujours renouvelées tout en distillant aux mélomanes une séduction puissante ! "

- G. Holst (1874-1934)
Les Planètes opus 32
Mars, celui qui apporte la guerre
Vénus, celle qui apporte la paix
Mercure, le messager ailé
Jupiter, celui qui apporte la gaieté
Saturne, celui qui apporte la vieillesse
Uranus, le magicien
Neptune, le mystique

" Pour fuir l'air brumeux de la Tamise, qui gênait sa respiration, Holst s'installa avec femme et enfant à Thaxted, petite ville de l'Essex, à quarante kilomètres au nord de la capitale. Mais c'est sur l'île de Majorque, au printemps 1913, que Clifford Bax, frère du compositeur Arnold Bax, l'initia à l'astrologie qui allait devenir, selon Holst lui-même, " un vice familier ". C'est donc par ce biais que Holst décida en 1914 de la composition de sa suite orchestrale Les Planètes (d'où l'ordre inhabituel des sept mouvements et l'absence de la Terre). Ainsi, l'œuvre dépeint davantage la vie de l'homme, sa bouillonnante jeunesse au passage silencieux dans l'au-delà, à travers les soubresauts de ses humeurs. Le premier intitulé de la partition était Seven Orchestral Pieces, sans doute d'après les Cinq pièces pour orchestre opus 18 de Schönberg entendues par Holst peu auparavant, mais c'est le livre The Art of Synthesis d'Alan Leo, père de l'astrologie moderne, qui lui donna l'idée des titres et sous-titres définitifs. "

" Michael Schønwandt assure à partir de septembre et jusqu'en juin 2018, la fonction de chef principal de l'Opéra Orchestre national Montpellier.
Il a été Directeur musical de l'Opéra Royal de Copenhague et de l'Orchestre Royal du Danemark (2000-2011), et a également occupé les postes de Directeur musical du Berliner Sinfonie-Orchester (1992-98), chef principal du Netherland Radio Chamber Philharmonic Orchestra (2010-2013), premier chef invité de La Monnaie à Bruxelles (1984-87), premier chef invité de l'Orchestre National de la Radio Danoise (1987-2000), premier chef invité de l'Orchestre de la Beethovenhalle à Bonn, ainsi que Chef Principal Invité de l'Orchestre Royal des Flandres.
Né à Copenhague en 1953, Michael Schønwandt étudie le piano, la théorie et la composition avant de s'orienter vers la direction d'orchestre. Il poursuit ensuite ses études à Londres à la Royal Academy of Music. En 1979, il est engagé comme Chef Permanent du Royal Danish Opera à Copenhague, ce qui lui permet pendant plusieurs années de couvrir un vaste répertoire de Mozart à Penderecki.
Outre sa collaboration étroite avec l'Opéra Royal de Copenhague, il dirige de nombreuses productions au Covent Garden de Londres, à La Monnaie à Bruxelles, à l'Opéra de Vienne, à l'Opéra de Paris, ainsi qu'à Nice, Stuttgart, Cologne, Madrid, Tel Aviv : Alceste, Don Giovanni, Les Noces de Figaro, L'Enlèvement au Sérail , Idomeneo, Fidelio, Salomé, Elektra, Macbeth, Otello, Turandot, Jenufa, Le Vaisseau Fantôme, Parsifal, Tannhauser, Queen of Spades, Pelléas et Mélisande, Les Troyens, Maskarade de Nielsen. Il obtient un grand succès au Festival de Bayreuth avec les Maîtres Chanteurs.
Michael Schønwandt consacre une grande partie de sa carrière au répertoire symphonique. Il dirige l'Orchestre Philharmonique de Vienne, l'Orchestre Philharmonique de Berlin, l'Orchestre Symphonique de Vienne, le Vienna Radio Symphony Orchestra, l'Israel Philharmonic, le Philharmonia Orchestra, le London Philharmonic Orchestra, le London Symphony (dont une intégrale des concertos de Beethoven avec Alfred Brendel), le BBC Symphony Orchestra, l'Orchestre de la Suisse romande, l'Orchestre National de France, le Philharmonique de Radio France, les Orchestres de Bordeaux, Lyon, Nice, Toulouse, Monte-Carlo ainsi que les Orchestres de Bamberg, Bonn, Düsseldorf, Munich Radio Bavaroise, l'Orchestra Sinfonica Giuseppe Verdi di Milano, l'Orchestre Philharmonique de Helsinki, la Monnaie de Bruxelles, Budapest, Stockholm, Oslo, Rome, Graz et Zurich.
Il enregistre régulièrement avec le Royal Danish Radio Symphony Orchestra. Parmi les derniers enregistrements on peut citer : Salomé de Richard Strauss chez Chandos, l'intégrale des symphonies de Niels Gade et de Weyse, l'intégrale des symphonies de Nielsen, ainsi qu'en première mondiale le concerto pour violon n°3 de Henze et l'opéra The Handmaid's Tale de Poul Ruder. Il a aussi gravé avec l'Orchestre Philharmonique de Nice Pelléas et Mélisande de Schoenberg et de Sibelius. Sortie 2008 : The Ring et Maskarade avec l'Opéra Royal de Copenhague.
Ses récents engagements comprennent La Petite Renarde rusée, Lulu et Cosi fan tutte à l'Opéra National de Paris, Elektra à l'Opéra national de Montpellier, Die Frau ohne Schatten à Copenhage, Wozzeck à Stuttgart mais également des concerts aux Pays-Bas avec le Radio Kamer Filharmonie, le Concertbouw, l'Orchestre symphonique de la Radio Danoise, l'Orchestre de l'Hamburgische Staatsoper, le Staatsorchester de Stuttgart, SWR Sinfonieorchester Baden-Baden und Freiburg, l'Orchestre symphonique de Bâle, l'Orchestre Symphonique de Séville du Real et le Mozarteum Orchester Salzburg.
Il vient de diriger tout récemment, Ariane à Naxos de Richard Strauss à l'Opéra national de Paris dans la mise en scène de Laurent Pelly ; Saul and David de Carl Nielsen à Copenhague / Royal Danish Theatre. Il dirigera Falstaff de Verdi à Londres au Royal Opera House en juillet 2015. "

L'Orchestre national Montpellier Languedoc-Roussillon

" En plus de trente ans de carrière, l'Orchestre national Montpellier Languedoc-Roussillon a connu un essor spectaculaire, qui en fait aujourd'hui l'une des formations les plus dynamiques du paysage musical français. Contrairement à la plupart des orchestres de région créés sous le ministère d'André Malraux par Marcel Landowski, l'Orchestre de Montpellier n'est pas né d'une structure préexistante. Lorsqu'en 1979, Georges Frêche, maire de Montpellier, fonde l'orchestre, il s'agit de relever un défi : initier le mouvement nouveau d'une véritable politique artistique et musicale à Montpellier.
La création de l'Orchestre a représenté un formidable espoir de renaissance. Très vite, le tout nouveau Conseil Régional et le Conseil Général de l'Hérault ont pris conscience de sa nécessaire existence. Sous l'impulsion de son fondateur, l'Orchestre s'est développé et a adapté son répertoire à ses effectifs croissants : entre les trente musiciens de la formation initiale et ses quatre-vingt-quatorze musiciens aujourd'hui, l'orchestre a pu progressivement assumer avec bonheur l'ensemble du répertoire symphonique du XVIIIe siècle à l'époque contemporaine.
Ce développement força l'admiration et grâce à la reconnaissance de l'Etat en 1985, il devient Orchestre de Région. C'est en 1990 que René Koering, alors directeur du Festival de Radio France et Montpellier, prend la direction générale de l'Orchestre Philharmonique de Montpellier. Se développe alors à Montpellier une structure originale et particulièrement dynamique : René Koering, responsable de la programmation artistique et de la gestion de la formation, dote parallèlement l'orchestre d'un directeur musical. Les apparitions de l'orchestre vont connaître dès lors un retentissement nouveau, et asseoir sa réputation à l'échelle régionale, nationale, et aujourd'hui internationale.
En 1989, l'orchestre Philharmonique de Montpellier s'installe au Corum inauguré en novembre. Il y trouve l'année suivante une salle de répétition, la salle Beracasa, un lieu de concert prestigieux, l'Opéra Berlioz, et une salle parfaitement adaptée à la musique de chambre, la salle Pasteur. Une installation remarquable que bien des orchestres peuvent envier à Montpellier. En 1992, René Koering fait appel à Gianfranco Masini pour assurer la direction musicale : la disparition brutale du maestro italien l'année suivante met fin à une précieuse collaboration, dont la création d'œuvres de Busoni et du Christophe Colomb de Franchetti laisse la trace dans la mémoire de l'Orchestre. De 1994 à 2007, Friedemann Layer prend la tête de l'Orchestre, participant activement au dynamisme et à la grande qualité des saisons musicales. En 1999, l'orchestre de Montpellier devient Orchestre national.. De septembre 2009 à juin 2012, Lawrence Foster a été directeur musical désigné. Un nouveau directeur musical devrait être nommé en 2015
Attentif à ne jamais négliger les grandes œuvres du répertoire, l'Orchestre national Montpellier Languedoc-Roussillon mène toutefois une véritable politique de création et de sensibilisation à la musique du XXe siècle. Des compositeurs tels que Maderna, Adams, Cage, Pärt, Penderecki, Korngold, Henze, Ligeti, Dusapin ou Xenakis font partie désormais de la vie musicale montpelliéraine. Par ailleurs, depuis 2000, l'Orchestre accueille des compositeurs contemporains en résidence : Jean-Louis Agobet (2000-2001), Jean-Jacques Di Tucci (2002), Marco Antonio Pérez-Ramirez (2002- 2006), Richard Dubugnon (2006-2008), Philippe Schoeller en 2008.
Le prestige de l'Orchestre national Montpellier Languedoc-Roussillon, qui en fait aujourd'hui l'un des meilleurs de l'hexagone, se laisse mesurer aux grands noms qu'il ne cesse de rencontrer. Des chefs tels que Ivan Fischer, Marek Janowski, Armin Jordan, Emmanuel Krivine, Antonio Pappano, Nello Santi, Pinchas Steinberg, Jerzy Semkov, Riccardo Muti...; des solistes comme Pierre Amoyal, Augustin Dumay, François-René Duchâble, Evgeni Kissin, Radu Lupu, Nikita Magaloff, Maria Joao Pires, Mistilav Rostropovitch, David Fray... ; des chanteurs tels que, Montserrat Caballe, Jennifer Larmore, Rockwell Blake, Béatrice Uria-Monzon, Pauletta de Vaughn, Gary Lakes, Katia Ricciarelli, Giuseppe di Stefano, Chris Merritt, Hildegard Behrens, Margaret Marshall, Karen Huffstodt, José van Dam, Thomas Moser, Leonie Rysanek, Viorica Cortez, Nathalie Stutzmann, Jean-Philippe Lafont, Juan Diego Florez, Daniela Barcelona, Nora Gubisch, Roberto Alagna, sont autant de preuve de confiance et de haute exigence artistique. Et de fait, l'Orchestre depuis quelques années développe une carrière internationale, invité au cours des saisons musicales de Milan, Barcelone, Athènes, Beyrouth, Budapest, Bratislava ou Prague. Outre sa participation active au Festival de Radio France et Montpellier, l'Orchestre se produit dans de nombreux festivals français. Régulièrement invité sur les grandes scènes parisiennes, il s'est produit à la salle Pleyel, en septembre 2008, dans une version concert d'Aida, sous la baguette d'Alain Altinoglu. Il donne 3 représentations de Die Zauberflöte en octobre 2009, sur la scène du Châtelet, et en 2011 Aida au Stade de France.
Depuis 1999, l'Orchestre national Montpellier Languedoc-Roussillon a soin de graver son histoire, grâce à une discographie proposant plus d'une quarantaine d'enregistrements publics, lors de la saison ou à l'occasion du Festival de Radio France et Montpellier. Ainsi, il a pu créer sa propre ligne de disques en coproduction avec Actes Sud, et travailler en partenariat avec les Editions Naïve.
En janvier 2012, dirigé par Riccardo Muti, il a soulevé l'enthousiasme du public montpelliérain avec le Requiem de Verdi.
Depuis décembre 2013, Valérie Chevalier en est la directrice générale. "

Le Chœur de l'Opéra national Montpellier Languedoc-Roussillon

" L'histoire du Chœur de l'Opéra national Montpellier Languedoc-Roussillon commence en 1982. C'est en 1994 que Noëlle Gény en prend la direction.
Loin de se spécialiser dans un genre, ses 32 chanteurs abordent un large répertoire composé de grands chœurs d'opéras, d'opérettes, de comédies musicales, de mélodies françaises, italiennes, allemandes et slaves, ainsi que de musique sacrée et de musique contemporaine.
En juin 2004, il est invité au " Festival des Régions " du Châtelet pour Hàry Jànos et Antigona de Traetta.
Il participe 2007, à la production nantaise de Jenufa de Janáček, à laquelle la critique attribue le prix de la meilleure production de l'année.
En plus des quatre grands concerts dirigés chaque saison par Noëlle Gény, le chœur se rend très régulièrement en région et prend également une part active dans la programmation des spectacles destinés au public scolaire.
Régulièrement invité au Théâtre des Champs-Elysées, au Théâtre du Châtelet, à la Salle Pleyel, au Festival Musica de Strasbourg ou encore aux Chorégies d'Orange, le Chœur de l'Opéra national de Montpellier est aussi accueilli par toutes les scènes lyriques françaises.
Le chœur a ainsi travailler avec de nombreux chefs, tels Gianfanco Masini, qui a sans conteste marqué l'histoire de l'Opéra national Montpellier Languedoc-Roussillon, Friedemann Layer, Lawrence Foster, Alain Altinoglu, Jean-Yves Ossonce, Marco Guidarini, Emmanuel Joel-Hornak, Enrique Mazzola, Marko Letonja, Emmanuel Krivine, Hervé Niquet, Christophe Rousset ... ainsi que les grands chefs russe Evgeny Svetlanov et italien Riccardo Muti.
Aux Chorégies d'Orange 2009, le chœur participe aux productions de Cavaleria rusticana et I Pagliacci avec Roberto Alagna sous la direction de Georges Prêtre.
En septembre 2008, le chœur participe à la production de Aida à Montpellier, puis à Paris, salle Pleyel et en septembre 2009 à Die Zauberflöte donnée au Théâtre du Châtelet, puis à l'Opéra national Montpellier Languedoc-Roussillon.
Le chœur travaille régulièrement avec des metteurs en scène de renommée internationale : Nicolas Joel (actuellement Directeur de l'Opéra de Paris), Jean Claude Auvray, Petrika Ionesco, Giancarlo del Monaco, Daniel Mesguisch, René Koering, Davide Livermore, Jean-Paul Scarpitta, Jérôme Savary, Jean-Louis Martinoti, Alfredo Arias...
Le Chœur de l'Opéra national Montpellier Languedoc Roussillon apparaît entre autres dans les enregistrements des Huguenots de Meyerbeer, de Roméo et Juliette et Perelà de Pascal Dusapin, de Goya de Jean Prodomidès, de Gogol de Michaël Levinas par Radio France, de Marion Delorme de Ponchielli, de Cyrano de Bergerac d'Alfano, de Hàry Jànos de Janáček, de Salomé de Mariotte et de Jeanne d'Arc au bûcher de Honegger, récompensée aux Victoires de la Musique 2008, et tout dernièrement dans Thérèse de Jules Massenet dans la collection " Opéra français " du Palazzetto Bru Zane en partenariat avec le Festival de Radio France et Montpellier Languedoc-Roussillon. "

Quelques clichés pris lors du concert :

Lien

http://www.opera-orchestre-montpellier.fr/

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