Les anges battent la campagne de Sophie Jomain

:star: Les anges battent la campagne de Sophie Jomain

Broché: 290 pages
Editeur : Rebelle Éditions
Date de parution: 4 novembre 2015
Prix éditeur: 18€
Langue : Français
ISBN-10: 2365381790
ISBN-13: 978-2365381796
Disponible sur liseuse: Oui

Son résumé:

La plupart des gens ont une famille bien comme il faut. Moi, non. Mon fils a des super pouvoirs, ma tante est un vampire, et mon père est gardé prisonnier en enfer. Si j’avais eu le caractère de ma mère, je serais restée bien tranquille chez moi, mais manque de bol, je suis le portrait craché de mon géniteur. C’est pourquoi je vais aller le chercher au sous-sol, serrer la pince à Satan et lui faire faux bond dans la foulée. Avec un peu de chance, je m’en sortirai indemne. Enfin… presque.

Mon avis:

En toute franchise, quand j’ai débuté le tome 1 cet été, je m’attendais à abandonner ma lecture assez rapidement. En effet, ce genre de roman fantastico- romantico- humoristique m’ennuie vite. Mais voilà, une semaine après avoir commencé le premier volet des aventures rocambolesques de Felicity Atcock, j’avais terminé les quatre tomes déjà parus. 

Comment dire… Felicity, c’est une bouffée de légèreté qui fait un bien fou ! Avec un prénom pareil, c’est presque obligé. Pourtant, la vie de cette vendeuse de chocolats est loin d’être une sinécure. Dans le petite monde de Felicity, il a des anges pas vraiment sages, des démons, des loups-garous, des vampires, des fées et toute une panoplie de créatures surnaturelles perverses. Certes, le contexte n’est pas révolutionnaire, mais la galerie de personnages vaut vraiment le détour.

Commençons par l’héroïne et narratrice. Felicity est le genre de personnage que j’affectionne tout particulièrement. Jeune femme indépendante, libérée aux répliques piquantes,  elle bascule tout à fait dans un monde surnaturel après une nuit torride avec un « entre-deux de mes deux », aussi appelé Stan, un ange qui a renié Dieu, mais bien décidé à ne pas aller pointer chez le concurrent pour ne pas perdre son libre-arbitre. Bien entendu, Stanislas est le genre d’énergumène qu’on adore détester.Le bad boy par excellence, arrogant et sexy en diable ( ou presque). Dans le sillage de Felicity, il a un autre ange, Terrence, plus « clean » , le gentil (mais avec sa dose de perversité aussi) et quelques vampires aussi…

Alors, évidemment, il s’agit d’un scénario déjà vu, mais on s’en fiche parce que tout ce petit monde est plein d’humour, de situations saugrenues et la plume de Sophie Jomain est délicieusement additive. 

J’avais adoré me plonger dans l’univers de Felicity Atcock tout au long des quatre premiers tomes et j’étais impatiente de lire le cinquième. Et là, c’est le drame… Le drame parce que, là,  il va me falloir attendre très longtemps pour connaître la suite ! En auteure démoniaque, Sophie Jomain nous offre un cliffhanger insoutenable qui m’a fait la maudire ( en tout amitié) pendant toute la soirée.

Dans ce cinquième tome, Felicity est bien décidée à aller braver Satan pour récupérer son père dans les limbes. Flanquée d’un Stan en grande forme, la voilà partie pour un nouveau périple des plus périlleux qui ne sera pas sans conséquences.

En plus de son histoire tumultueuse qui prend forme avec Stan,  Felicity endosse ici un rôle très touchant de maman d’un chérubin surprenant. Après avoir visité le monde des fées, ce sont les Enfers que notre héroïne à la langue bien pendue découvre. Satan et sa clique ne manquent pas non plus de mordant et ne vont pas épargner mon petit couple fétiche. J’ai dévoré ce tome comme tous les autres, ravie de retrouver ces personnages haut en couleur comme on retrouve de vieux amis. C’est à mon sens le point fort de cette saga. Ça et un aspect très sexy (jamais vulgaire) et léger présent tout au long du texte. 

Ce 5ème opus a été à la hauteur de mes attentes: toujours drôle et enlevé, mais avec en plus une touche dramatique finale qui relance de manière inattendue la saga.  Que cela va être dur d’attendre le 6ème!

Acheter ce roman sur Amazon

:star: Les anges battent la campagne de Sophie Jomain

Broché: 290 pages
Editeur : Rebelle Éditions
Date de parution: 4 novembre 2015
Prix éditeur: 18€
Langue : Français
ISBN-10: 2365381790
ISBN-13: 978-2365381796
Disponible sur liseuse: Oui

Son résumé:

La plupart des gens ont une famille bien comme il faut. Moi, non. Mon fils a des super pouvoirs, ma tante est un vampire, et mon père est gardé prisonnier en enfer. Si j’avais eu le caractère de ma mère, je serais restée bien tranquille chez moi, mais manque de bol, je suis le portrait craché de mon géniteur. C’est pourquoi je vais aller le chercher au sous-sol, serrer la pince à Satan et lui faire faux bond dans la foulée. Avec un peu de chance, je m’en sortirai indemne. Enfin… presque.

Mon avis:

En toute franchise, quand j’ai débuté le tome 1 cet été, je m’attendais à abandonner ma lecture assez rapidement. En effet, ce genre de roman fantastico- romantico- humoristique m’ennuie vite. Mais voilà, une semaine après avoir commencé le premier volet des aventures rocambolesques de Felicity Atcock, j’avais terminé les quatre tomes déjà parus. 

Comment dire… Felicity, c’est une bouffée de légèreté qui fait un bien fou ! Avec un prénom pareil, c’est presque obligé. Pourtant, la vie de cette vendeuse de chocolats est loin d’être une sinécure. Dans le petite monde de Felicity, il a des anges pas vraiment sages, des démons, des loups-garous, des vampires, des fées et toute une panoplie de créatures surnaturelles perverses. Certes, le contexte n’est pas révolutionnaire, mais la galerie de personnages vaut vraiment le détour.

Commençons par l’héroïne et narratrice. Felicity est le genre de personnage que j’affectionne tout particulièrement. Jeune femme indépendante, libérée aux répliques piquantes,  elle bascule tout à fait dans un monde surnaturel après une nuit torride avec un « entre-deux de mes deux », aussi appelé Stan, un ange qui a renié Dieu, mais bien décidé à ne pas aller pointer chez le concurrent pour ne pas perdre son libre-arbitre. Bien entendu, Stanislas est le genre d’énergumène qu’on adore détester.Le bad boy par excellence, arrogant et sexy en diable ( ou presque). Dans le sillage de Felicity, il a un autre ange, Terrence, plus « clean » , le gentil (mais avec sa dose de perversité aussi) et quelques vampires aussi…

Alors, évidemment, il s’agit d’un scénario déjà vu, mais on s’en fiche parce que tout ce petit monde est plein d’humour, de situations saugrenues et la plume de Sophie Jomain est délicieusement additive. 

J’avais adoré me plonger dans l’univers de Felicity Atcock tout au long des quatre premiers tomes et j’étais impatiente de lire le cinquième. Et là, c’est le drame… Le drame parce que, là,  il va me falloir attendre très longtemps pour connaître la suite ! En auteure démoniaque, Sophie Jomain nous offre un cliffhanger insoutenable qui m’a fait la maudire ( en tout amitié) pendant toute la soirée.

Dans ce cinquième tome, Felicity est bien décidée à aller braver Satan pour récupérer son père dans les limbes. Flanquée d’un Stan en grande forme, la voilà partie pour un nouveau périple des plus périlleux qui ne sera pas sans conséquences.

En plus de son histoire tumultueuse qui prend forme avec Stan,  Felicity endosse ici un rôle très touchant de maman d’un chérubin surprenant. Après avoir visité le monde des fées, ce sont les Enfers que notre héroïne à la langue bien pendue découvre. Satan et sa clique ne manquent pas non plus de mordant et ne vont pas épargner mon petit couple fétiche. J’ai dévoré ce tome comme tous les autres, ravie de retrouver ces personnages haut en couleur comme on retrouve de vieux amis. C’est à mon sens le point fort de cette saga. Ça et un aspect très sexy (jamais vulgaire) et léger présent tout au long du texte. 

Ce 5ème opus a été à la hauteur de mes attentes: toujours drôle et enlevé, mais avec en plus une touche dramatique finale qui relance de manière inattendue la saga.  Que cela va être dur d’attendre le 6ème!

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