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[Test] Zelda : Triforce Heroes

Par Rhumyxcube @PressselectFR

Salut à tous !
Aujourd’hui, je vais vous faire part de ma dernière acquisition : le jeu sur Nintendo 3DS, le bien nommé Zelda : Triforce Heroes

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L’histoire

L’histoire se déroule dans le royaume d’Estoffe.
Un royaume où la mode tient une place prépondérante.
Tellement d’ailleurs qu’il en devient inconcevable qu’un habitant se déplace avec un costume qui ne possède aucun style.
La beauté incarnée, c’est la princesse Mousseline ( et non, point de princesse Zelda ), qui hélas a subie la malédiction d’une vilaine sorcière.
Elle se retrouve vétue d’un espèce de collant marron bien moche qu’elle ne peux retirer ( une malédiction, je vous le dit ! ).
Sa beauté réduit à néant, la voici donc condamnée à rester enfermée dans sa chambre pour le restant de ses jours ( sinon, c’est la honte assurée ).
Forcément, son père, le roi Frisette, est effondré, et recherche donc le héros qui sauvera sa fille de cette malédiction.

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Le héros en question est décrit dans cette légende : il aura des oreilles pointues, de grosses rouflaquettes, et une coiffure avec une raie au milieu ( quand je vous dit que la mode tient un rôle énorme dans ce royaume ! )
Ainsi débute l’histoire, où vous arrivez dans votre tenue de paysan qui fait une incroyable sensation ( un détour par la boutique sera forcément obligatoire ).

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Le jeu

Le jeu se décompose en 2 parties : une partie solo et une partie en trio.
La partie solo, c’est l’évolution de votre personnage au sein du royaume, où vous aurez accès à une boutique de fringues ( logique ), à un marchand ambulant qui vous vend à des prix exorbitants des produits indispensables à votre quête ( d’ailleurs, vu les prix, ça doit être un pote à Tingle ), ainsi qu’à des quêtes annexes auprès des habitants du royaume.
Mais c’est surtout sur la partie de la boutique de fringue sur laquelle je vais m’attarder.
Forcément, qui dit costume, dit nouveau look pour le personnage ( plus ou moins de bon goût d’ailleurs ), mais aussi nouvelles compétences.

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Par exemple, les premiers costumes que l’on peux débloquer facilement sont le costume Kokiri, qui permettra de tirer 3 flèches au lieu d’une avec l’arc, ou encore la robe de Zelda qui permet de trouver plus facilement des coeurs… Bien pratique, je vous l’assure.
Concernant la trame habituelle du jeu, il faudra l’oublier.
Exit les phases de recherches dans un monde ouvert, ici les niveaux se succèdent tel un jeu de plateforme.
Cela rappellent d’ailleurs très fortement le jeu Zelda : Four Swords sorti à l’époque sur Gamecube, puis réédité sur GBA.
Point d’aventure donc, juste une succession de niveau.
C’est un peu dommage, mais n’entache pas au plaisir de jouer.
Comme son frère ainé donc, le jeu se joue à plusieurs… ou pas.
En effet, dans la salle menant au différents mondes, vous choisirez soit de faire la partie en solo ( accompagné de pantins ), soit de jouer à 3.
3 possibilités vont donc s’offrir à vous, soit jouer en ligne avec des amis, soit jouer ensemble, chacun possédant sa cartouche du jeu, ou alors, par le biais du mode téléchargement de la console.

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Dans le dernier cas, le joueur possédant le jeu crée la partie, et 2 autres consoles rejoignent donc celui ci.
Dès le premier monde, la coopération sera mise de rigueur avec l’application du Totem : les joueurs peuvent se porter pour accéder des plateformes plus ou moins hautes, et ainsi activer des interrupteurs permettant l’ouverture de la porte ( entre autres ).
La référence donc à son ainé Zelda : Four Swords est donc omni présente, et l’expérience acquise par Nintendo sur ce jeu montre sa force sur ce nouvel opus.

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Malheureusement il persistera un problème MAJEUR, un problème provoquant des crises de nerfs incessants, un problème qui entache un jeu qui ne devrait pas l’être : le jeu RAME. ( ou LAG pour les puristes ).
La communication entre le jeu et les consoles passant en mode téléchargement ( ou en ligne ) est execrable ( je me suis même dit que c’était un problème lié au wifi de ma box… mais en fait non… ), si bien que pendant le jeu, régulièrement, et même en pleine action, le jeu se met à lagguer, voir même à freezer.
Autrement dit, ce n’est pas acceptable, surtout pour un jeu de cet envergure.
Autant on peux accepter l’absence de scénario ( clairement ), autant on peux accepter partiellement l’absence de monde ouvert, autant on ne peux pas accepter de se retrouver bridé sur la jouabilité.

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En conclusion

Zelda : Triforce Heroes reste un jeu fun, sympathique et agréable à jouer dans le royaume.
Graphiquement propre, il possède en plus une mécanique de jeu relativement bien huilée pour proposer une bonne expérience de jeu.
Malheureusement, les problèmes de lags et de déconnexion ( que ce soit online ou en local ) entache ce jeu, qui ne permettra malheureusement pas de le garder ancré dans les annales.
Pour ma part, c’est un jeu fini à la va vite, et qui ne fera pas briller la triforce pour l’éternité.

Allez, je vous souhaite un bon jeu à tous, et n’oubliez pas : que le plaisir de jouer perdure face à l’adversité

😉


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