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DES BONS VŒUX DE HOLLANDE POUR l’ANNÉE 2015

Publié le 27 décembre 2015 par Philippejandrok

hollande,france,bons voeux,valls,république,députés,sénateurs,fin du monde2014, 365 jours que François Hollande voudrait certainement oublier. Une année compliquée pour le président français qui, dans quelques heures, prononcera les vœux à ses compatriotes. L'allocution doit durer une dizaine de minutes, dans un esprit que l'on annonce combatif. Le chef de l'État doit s'engager, car 2015 sera plus que jamais l'année de tous les dangers.”

Explications du député socialiste Razzye Hammadi : 

« La meilleure façon de rendre les choses catastrophiques, c’est de les annoncer comme telles et en même temps, il ne faut pas être dans la méthode Coué. Donc l’objectif n’est pas tant de limiter la casse que d’expliquer les choses. Quel est le programme de la droite ? Ce qu’elle a fait par le passé, mais en pire. Quel est le programme de l’extrême droite ? Le pire et en plus le retour au passé. Le fléau, les défis, les menaces sont importants pour la nation. C’est la droite et l’extrême droite et il y a une différence avec la gauche. » (http://www.rfi.fr/france/20141231-voeux-2015-francois-hollande-elysee-egalite-autorite-pouvoir-emploi-lettre-pere-noel-combat-congres-ps/)

« il y a une différence avec la gauche » prétend le député socialiste Razzye Hammadi, eh bien non seulement il n’y a aujourd’hui aucune différence avec la droite, mais encore moins avec l’extrême droite, la gauche, le PS de F. Hollande est devenu en un an, une gauche d’extrême droite de type chilien, grec ou portugais, sans les généraux, ou plus simplement, une gauche totalitaire.

En décembre 2015, aucun membre de ce gouvernement n’a souhaité un joyeux Noël aux Français, c’est bien la première fois que cela se produit depuis de très nombreuses années, il me semble même que cela ne s’est jamais produit auparavant. L’esprit combatif de F. Hollande a disparu pour laisser place à l’esprit le plus totalitaire qui soit au pays de la Liberté, de l’Égalité et de la Fraternité. 

Le manque de politesse et de courtoisie de la classe politique envers le peuple qui l’a élu, et qui n’est pas comme ce gouvernement nécessairement obtus, nécessairement isolé de la majorité des citoyens, car les citoyens sont confinés au rang de citoyens absents de toutes les décisions qui les concernent ; elle est belle la République de F. Hollande, elle est belle la république de la Gauche, de celle de C.M. Valls, hué, conspué dans la rue au cri de « Valls démission », celui qui refuse de consulter une liste de terroristes tendue par la Syrie et qui, un an plus tard, voit les mêmes terroristes dénoncés commettre des crimes à Paris en assassinant des jeunes Français au Bataclan le vendredi 13 novembre 2015. 

Où est la démission de l’incompétent responsable ? Nous l’attendons toujours, nous l’attendrons longtemps, car le totalitarisme affirme sa prédominance par rejet de sa responsabilité première. 

J’aurais personnellement honte d’appartenir à sa famille, comme j’aurais honte de porter le nom de Fabius, celui du président, celui de ses ministres, quelle vilénie, quelle ignominie d’être ainsi relié aux pires hommes et femmes de pouvoir de notre pays depuis Pétain, ils portent la honte de la France et notre sang sur les mains. Sa femme lui joue-t-elle du violon le soir au coucher pour apaiser son indignité, ou devrait-il se retrouver au violon pour payer ses crimes sacrés ?

Quand on touche au peuple, on touche au sacré, quand on détruit la nation, on touche au sacré, et ce gouvernement ne cesse de salir le sacré de la République française.

Les chefs de gouvernements des pays occidentaux fêtent Noël dans le monde entier, la reine d’Angleterre n’a pas failli cette année, malgré ses peurs les plus profondes,  « que nous célébrons actuellement notre « dernier Noël sur Terre » à cause de forces maléfiques, bien plus puissantes qu’elle, et qui envahissent l’Europe, chaque jour qui passe. » (http://www.nouvelordremondial.cc/2015/12/26/voeux-de-la-reine-pour-2015-appreciez-votre-toute-derniere-fete-de-noel/)

Mais en France, nous n’avons même plus ce guide moral, malgré ses angoisses, le peuple est repoussé comme s’il avait la peste par ses dirigeants qui abandonnent leurs responsabilités, comme les rats quittent le navire ? Où es-tu capitaine ? Qui tient le cap ? Notre vaisseau fonce droit sur les récifs et tu restes muet ?

J’ignore si ce sentiment que j’éprouve est de la honte ou du mépris, l’émotion est mêlée face à un tel gouvernement que je perçois comme un jardin laissé à l’abandon, peuplé d’un peu d’ortie, d’un peu de cigüe, l’ortie qui soigne, la cigüe qui tue, et la ronce qui pique. 

La République est une veille bâtisse dont la structure bois est pourrie ; à l’intérieur, le peuple symbolisé par le papier peint se décolle des murs tellement le discours baveux de nos politiques est humide et nauséabond. Ce peuple qui baisse les bras, lassé par tant de forfaiture, de mensonges, d’abus et de tricheries, alors « cette maison comme les hommes peut devenir cadavre. » (Les Travailleurs de la mer, V. Hugo)

Elle sent la charogne notre République, elle empuantit la France d’une odeur de vieille urine et de fiente de cafards, ces cancrelats qui nous gouvernent dans l‘humiliation constante des âmes, dans la destruction programmée des hommes ; ambassadeurs sataniques et diaboliques, fomenteurs d’attentats les plus abjects, détestables dragons noirs, violeurs d’enfants sacrificiels, voilà qui ils sont sous le visage lisse des illusions produites par le diable pour nous berner. Sorciers de papiers d’Arménie que l’on brule dans un cendrier pour éloigner le mauvais esprit, et pour brouiller la vision de la vérité ; maléfiques qui jouent avec les vies de nos enfants et qui empoisonnent la fontaine de notre vie.

Ils sont là et bien en place, les traitres fakirs qui remplacent les clous par nos têtes sur lesquels ils siègent avec fierté, ils nous chient dessus, et c’est dans la bouche grande ouverte et coprophage, que nous absorbons leurs excréments, purée de merde issue de ces trous du cul, tous bords politiques confondus, qui n’hésitent pas à tomber malades pour nous en foutre plein le gosier, eh oui, nous voilà, pauvres citoyens, avec le cul à la place de la gueule.

Ils se plaignent du chômage alors qu’ils le créent, ils poussent joyeusement à la ruine les entreprises de ce pays et culpabilisent les citoyens mis désormais sur la touche. Ils prennent le prétexte de leur désespoir pour les humilier davantage en les poussant à vivre comme des misérables, mais les misérables, les parasites ce sont eux, les politiques qui ne représentent plus la nation, mais qui font de leurs intérêts personnels, leur nation.

Maudits soient-ils, ces hommes et ces femmes déshumanisées ; maudit soit-il cet assassin de président et son premier, son fils putatif, l’odieux mini tyran qui crache ses fausses vérités comme un vieux singe dégueule de la merde, après avoir été vacciné par le virus Ebola, si cher à monsieur Microsoft et à sa femme, le couple de meurtriers richissimes qui assassinent avec le sourire et qui signe un contrat avec l’éducation nationale à la tête de laquelle, une autre incompétente siège avec le sourire. Notre président lui, commet ses crimes en prenant un air grave, de franche sévérité, sait-il combien il se rend ridicule, pathétique, imbécile, et cela, en nous croyant dupes de sa fourberie ?

- Tulipe, toi qui pousses sur le fumier, rappelle à ton fumier que son odeur l’entoure du début jusqu’à la fin de sa vie. Dis lui, Tulipe batave, que le peuple sait, et que son mensonge ne filtre plus à travers ses paroles venimeuses, traitre à son peuple, traitre à sa culture, traitre à sa nation, traitre à tout, dis-lui, Tulipe noire, que nous vomissons cet homme et son gouvernement et qu’ils sont indignes d’être français. Dis-lui également que sa vieille rombière aussi maléfique qu’incompétente, assassine les enfants de France avec ses décisions criminelles, et son compteur Linky, l’empoisonneur de fréquences, et elle qui, à défaut de recevoir les coups de hanches de sa tulipe à la tige molle, décide en toute connaissance des dangers, d’assumer le meurtre prémédité de la nation française tout entière, toujours avec le sourire de la médiocrité humaine et de l’intérêt financier. Faut-il être traitre ou assassin, ou simplement traitre et assassin pour appartenir à ce gouvernement ?

Je n’ai jamais appris à haïr et pourquoi le ferais-je à présent, mais si par hasard des citoyens remettaient en place la création de Monsieur Guillotin pour condamner les seigneurs, empoisonneurs de la nation, comme ceux qui ont été condamnés en 1789 par le peuple, ceux qui assassinent notre bon peuple actuellement, et bien, je crois que je prendrais tranquillement le thé en attendant que les têtes tombent dans le panier, et sans la moindre haine, je crois que je n’aurais pas le plus simple regret, même si je respecte la vie au plus haut point, comme personne. 

On tue bien les virus comme des ennemis mortels et pourquoi pas les vrais parasites de notre société, ceux qui se voilent à nos yeux, les faiseurs de guerres, les modificateurs de climats, les empoisonneurs par chemtrails, par OGM et nanotechnologies alimentaires pour contrôler le vivant, et ceux-ci se cachent sous les titres ronflants et officiels tout en siégeant sous prétexte de nous représenter, car, ce sont eux les parasites, pas ceux qu’ils désignent dans leur diatribe devant l’assemblée ou les caméras de télévision, ce sont eux qui, protégés par la fonction, votent des lois pour se protéger du peuple, ce sont eux qui ruinent la France pour les banques, ce sont eux qui ont vendu notre pays, les véritables criminels qui n’ont rien trouvé de mieux pour dissimuler leur forfaiture, que de désigner solennellement le peuple comme le plus grand responsable des maux de notre pays et de notre civilisation.

Le peuple n’est responsable que de deux choses, sa confiance en politique et sa lâcheté à clamer son droit et à le défendre.

Traitrise et splendeur des courtisans qui attendent comme les aristocrates leur pension, leurs émoluments, leur argent de poche, alors qu’à leurs pieds, des femmes dorment avec leurs enfants sur le trottoir, mais dans leur voiture de fonction, ces gouvernants n’empruntent jamais les rues populaires, élus par seulement 16% de la nation entière, 84% ne veulent pas d’eux, mais ils s’imposent, comment tolérer une telle insulte, un tel manque de respect de l’opinion des citoyens de notre pays ?

Je me souviens d’un homme, un prince qui, pour connaître le monde, décida de franchir le mur qui séparait son palais de celui-ci, il découvrit la misère et la pauvreté, il en fut ému, il continua son chemin et se défit de tous les attributs de la richesse pour devenir humain parmi les humains, et pour faire corps avec l’univers absolu ; cet homme était le prince Siddhârta, que chacun connaît sous le nom de Bouddha.

On ne pourra jamais espérer une telle grandeur de la part des cerbères policés qui occupent l’hémicycle, ils ne pensent qu’en terme d’argent et de mépris de l’humain, ils tendent la main vers le bas pour toucher leur commission secrète et de l’autre, lèvent le bras pour voter la loi qui va contre les intérêts citoyens, telle est leur mission, et si vous ne le saviez pas encore, voilà à quoi servent les élections.

Si demain, notre espèce venait à disparaître, le souvenir que nous laisserions de nous serait indigne de l’humanité à cause de ceux-là.

À présent, nous devrons souhaiter la nouvelle année, comme nous le faisons habituellement en offrant nos vœux les plus chers à tous, mais le fera-t-il ? Aura-t-il encore le culot d’humilier les Français ce François Batave ? 

Combien a-t-il touché de ses amis chameliers pour ainsi manquer de respect à la nation du pays qu’il gouverne ? 

Peu nous importe, la France est désormais à la recherche d’honneur et de fierté, mais pas dans ce panier de crabes cannibales, l’honneur se trouve ailleurs, dans ce peuple qui réfléchit à son avenir démocratique, dans cette nation qui se bat pour faire triompher la vérité, la religion pour tous, et pas une religion hétérogène plus qu’une autre, et qui veut permettre à chacun d’être un acteur agissant de la démocratie française, ce peuple qui veut mettre à genoux les banques avant qu’elles nous assassinent, c’est à ce peuple que je souhaite une merveilleuse année, pour les autres, les traitres et les vendus je leur souhaite également une excellente année, mais en enfer. 

Nous vivons une époque formi…diable !


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