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The Abominable Bride (4×00)

Publié le 08 janvier 2016 par Bigreblog

Bonjour les gens!

Je ne voulais pas, à la base, venir vous embêter avec une review de l’épisode de l’année de Sherlock. Mais voilà, deux-trois mots gentils de Yoda et June, et je me suis écrasée… XD

Il faut dire que cet épisode était sérieusement magnifique en tous points, et que finalement, il méritait bien un article de trois pieds de long. ;)

Plein de spoilers dedans, évidemment! :P

Sherlock Holmes rencontre John Watson en 1885, et des années plus tard, les deux compères se retrouvent face à l’une de leurs enquêtes les plus fastidieuses: une mystérieuse mariée revient à la vie pour commettre des meurtres odieux…

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Mind palace revu et corrigé: BRILLIANT!

Cet épisode victorien a été attendu avec impatience par tous les fans de la série, et aussi par ceux qui n’accrochaient pas à l’esprit XXIe siècle créée par Moffat et Gatiss.

Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’on aura été servis au niveau des surprises, puisque je ne m’attendais ABSOLUMENT pas à ce que l’épisode soit en fait un rêve éveillé et sous hallus de ce bon vieux camé de Sherlie.

Rien que ÇA ça m’a mise jouasse. XD

Après le reste ça n’a été que du bonus. L’ambiance XIXe était parfaite pour les acteurs qui se sont visiblement amusés (surtout Una Stubbs et Rupert Graves qui roxent leurs costumes).

Mais le scénar m’a totalement cloué le bec. Le fait que le Moffster ait choisi comme enquête une affaire qui prend comme pilier la lutte des femmes pour leur indépendance, c’était du génie. Et que toutes les femmes de Sherlock s’y retrouvent, c’était parfait.

Même si mon plaisir perso ça a été de voir Molly habillée en mec, ce qui méritait une salve d’applaudissements à lui seul… XD

Après, Ben, Martin (et son HORRIBLE moustache) et Amanda sont toujours parfaits. Mark « Papa » aussi, même s’il a fallu que je me retienne de mourir de rire de voir Mycroft obèse. Ton subconscient te dirait-il que ton frère a un coeur grand comme ça, Sherlie? :P

MAIS si je devais être honnête avec moi-même, et je le suis souvent, je devrais quand même avouer que j’ai hurlé tel un goret (un FOUTU goret) quand la voix mélodieuse puis la face de psychopathe de Moriarty est venue hanter Sherlie. Oui, parce qu’Andrew Scott c’est mon chéri, et j’ai frappé dans les mains comme une gamine devant un Disney pendant toutes ses scènes.

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Messieurs les responsables des BAFTAs, vous me voyez venir? *wink wink*

Et sinon, de quoi on parle? De l’humour qui renifle magnifiquement l’écriture de Mark Gatiss? L’intrigue qui renifle les influences Whovian de Moffat? Ou alors peut-être tout simplement le fait que, contrairement à ce qu’on croit, cet épisode est une suite? :D

Vous voyez mes smileys, imaginez mon visage… Je n’ai pas arrêté de sourire comme une quiche depuis que j’ai vu l’épisode… XD

VIVEMENT 2017 ET Y A PAS INTERET A Y AVOIR LE MOINDRE DELAI, MOFFSTER!!! :)



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