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Science sans conscience = science de l’inconscience

Publié le 11 juin 2008 par Paul
Science sans conscience = science de l’inconscience

Dimanche je rentre chez moi (on peut rentrer chez les autres ?) de notre week-end azuréen et là déjà j’affronte promptement une facture de plus de 1000€ (les putes péripatéticiennes ça coûte un max hein) Science sans conscience = science de l’inconscience Bon j’lui montre qui est le maître et elle comprend vite qu’elle ne pourra lutter devant pareille détermination (je fais le chèque). La soirée commence, je traite les photos et débute l’écriture du précédent article avant de rejoindre ce doux lit que j’aime tant Science sans conscience = science de l’inconscience Le lendemain (avant-hier) je publie l’article dès ma sortie du lit, je file sous la douche et quand je reviens j’me retrouve devant deux nouvelles factures à payer d’un montant assez astronomique Science sans conscience = science de l’inconscience Bon je fais les chèques (notez la grande habitude) et là ça m’avait déjà pas mal irrité la cloison gastrique cependant la soirée n’avait pas encore commencé…

Donc je me lance âme déchue à corps perdu dans un de ces grands scripts machiavéliques dont moi seul ai le secret. Au bout de quelques heures, tard dans la nuit : coup de blues

Science sans conscience = science de l’inconscience

Je sors ma saucisse nucléaire (je parle donc de ma voiture) du garage pour lui dégourdir un peu les roulements dans les règles de l’art. Je grimpe un col (moi j’suis le seul gars qui grimpe en voiture LOL) et la mécanique commence à être en température. On balance un bon gros MP3 bien velu pour se mettre dans l’ambiance, deuxième col roulé, troisième col de l’utérus et là ça commençait déjà à envoyer la semoule fort. Bon tout est relatif…

Science sans conscience = science de l’inconscience

J’arrive comme un rageux (mode wisigoth) vers Combe-laval (mon taux de testostérone qui crève le plafond) avec la ferme intention de faire bouffer du tarmac à mes deux gommards bien brûlants. Et là je tombe sur un brouillard de malade. Par Toutatis, j’y vois que dalle mais GAZZZZZZZZZZzzzzzz !

Science sans conscience = science de l’inconscience

Derniers virolos bien chiadés, épingles de psychopathes avec grosses contraintes, je tape comme un goret dans mon système de frein. Résultat : Tout le système prend feu, ça fume énorme, les disques sont rouges (mode fusion). Bref je sors quand même prendre quelques photos (mon 40D ne m’abandonne jamais lui)…

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Je rentre chez moi à toute virezingue avec mon restant de frein et autant vous dire que le frein-moteur n’a pas toujours été utilisé à bon escient… comme le frein à main d’ailleurs

Science sans conscience = science de l’inconscience

I’m back dans les bacs chez moi et au dodo. Là j’vais pour faire le plein de carburant (du carburant nucléaire donc, évidemment) et là, d’un coup d’un seul, la pompe s’arrête à 88,50€

Science sans conscience = science de l’inconscience
Non parce que maintenant ça coûte peut être une oreille de faire son plein mais en plus, même si tu veux bah… tu peux pas
Science sans conscience = science de l’inconscience

Science sans conscience = science de l’inconscience

Enfin je repars le réservoir à moitié vide (ou à moitié plein) et je laisse une journée ma voiture chez Pigeot histoire qu’ils réparent mon système de freinage bien mal en point suite au traitement assez peu orthodoxe que lui a infligé mon insolente conduite.

Moralité : euh… aimez-vous les uns, les autres. Euh… mwoué… Il vaut mieux taper dans Non en fait, rien !


Je ne publie pas de vidéo aujourd’hui car je préfère présenter aux MacUsers l’excellent logiciel Adium (qui est un logiciel de messagerie instantanée multi-protocoles). Vilay propose quant à lui un excellent classement des villes reconnues pour leur qualité de vie (réalisé par Mercer Management Consulting). Et terminons par la subtile remarque que notre ami Jean-Sébastien a publié sur Twitter…

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