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L’insigne du boiteux de Thierry Berlanda

Par Artemissia Gold @SongeD1NuitDete

Chronique par LittlepadfoodLittlepadfoot

  :star:  L ‘insigne du boiteux de Thierry Berlanda

L'insigne du boiteux de Thierry BerlandaNombre de pages :  275 pages
Editeur :  La Bourdonnaye
Date de sortie :  21 janvier 2016
Collection :  Intrigues
Langue :  Français
ISBN-10:  2824211342
ISBN-13:  978-2824211343
Prix Editeur :  16€
Disponible sur Liseuse : OUI

Son résumé :

Un assassin, qui se fait appeler le Prince, exécute des mères de famille sous les yeux horrifiés de leurs fils âgés de 7 ans. Opérant à l’arme blanche avec une rare sauvagerie, le meurtrier taille ses victimes en lanières. Telle est la punition qu’il inflige. Mais qui punit-il ? Et de quoi ? Pour répondre à ces deux questions fondamentales, le commandant Falier s’adjoint les services du professeur Bareuil, spécialiste des crimes rituels,  » retraité  » de la Sorbonne, et de Jeanne Lumet, qui fut sa plus brillante élève. Or la jeune femme est mère d’un petit garçon de 7 ans. Détail qui n’échappera sans doute pas au Prince…

Mon avis :

Cela faisait un moment que ce thriller à la plume française me tentait et finalement, je ressors de ma lecture mitigée bien que mon avis soit bien plus positif que négatif.

J’ai trouvé que l’intrigue était bien mise en place et surtout qu’elle se déroulait bien tout au long du livre. Mais certaines facettes de cette histoire ne m’ont pas toujours parues intéressantes. Je n’ai pas du tout été accrochée par cette lecture, j’ai aimé, je l’ai trouvée intéressante, mais elle n’a pas du tout été haletante ou digne d’un page-turner. Je n’ai pas trouvé qu’il y ait beaucoup de suspens et la fin n’apporte pas de grosse révélation ou de surprise. J’ai l’impression d’être un peu passée à côté du récit, malheureusement.

En ce qui concerne les personnages, j’ai été un peu blasée par l’héroïne Jeanne Lumet, son compagnon, Paul et son professeur, Bareuil. Ils ne m’ont fait ni chaud ni froid et pour les deux premiers, j’ai trouvé qu’ils étaient un peu trop crédules. Mention par contre pour l’humour du personnage de Bareuil. Mais celui que j’ai adoré, c’est le commandant Falier ! C’est le type de policier roublard, vulgaire, absolument drôle avec toujours ses vieilles méthodes, bien qu’il soit proche de la retraite. C’est le personnage que j’ai trouvé le plus intéressant.

En ce qui concerne le fameux Prince, c’est par contre un des meurtriers les plus barrés que j’ai pu rencontrer dans un roman. Un rituel qui fait frémir, un être possédé, un passé trouble : tous les éléments pour faire de lui un assassin terrifiant. J’ai trouvé l’histoire et la psychologie du meurtrier très intéressante.

Pour finir, je veux évoquer le point fort de ce roman, l’écriture de Thierry Berlanda. C’est ce qui m’a marquée dès les premières pages, c’est un style d’écriture qui sort de l’ordinaire. C’est presque difficile de s’y adapter, mais j’ai vraiment aimé son écriture, avec des phrases courtes et saccadées, qui reflète l’univers sombre du roman. Bien sûr, l’écriture reste très fluide et surtout efficace !

Malgré que cette lecture soit en demi-teinte pour ma part, pour le style de l’auteur et pour le commandant Falier, je lirais avec plaisir La fureur du Prince, qui est la suite de ce roman et dont le résumé me tente encore plus que le premier tome.

Bon

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Chronique par LittlepadfoodLittlepadfoot

  :star:  L ‘insigne du boiteux de Thierry Berlanda

L'insigne du boiteux de Thierry BerlandaNombre de pages :  275 pages
Editeur :  La Bourdonnaye
Date de sortie :  21 janvier 2016
Collection :  Intrigues
Langue :  Français
ISBN-10:  2824211342
ISBN-13:  978-2824211343
Prix Editeur :  16€
Disponible sur Liseuse : OUI

Son résumé :

Un assassin, qui se fait appeler le Prince, exécute des mères de famille sous les yeux horrifiés de leurs fils âgés de 7 ans. Opérant à l’arme blanche avec une rare sauvagerie, le meurtrier taille ses victimes en lanières. Telle est la punition qu’il inflige. Mais qui punit-il ? Et de quoi ? Pour répondre à ces deux questions fondamentales, le commandant Falier s’adjoint les services du professeur Bareuil, spécialiste des crimes rituels,  » retraité  » de la Sorbonne, et de Jeanne Lumet, qui fut sa plus brillante élève. Or la jeune femme est mère d’un petit garçon de 7 ans. Détail qui n’échappera sans doute pas au Prince…

Mon avis :

Cela faisait un moment que ce thriller à la plume française me tentait et finalement, je ressors de ma lecture mitigée bien que mon avis soit bien plus positif que négatif.

J’ai trouvé que l’intrigue était bien mise en place et surtout qu’elle se déroulait bien tout au long du livre. Mais certaines facettes de cette histoire ne m’ont pas toujours parues intéressantes. Je n’ai pas du tout été accrochée par cette lecture, j’ai aimé, je l’ai trouvée intéressante, mais elle n’a pas du tout été haletante ou digne d’un page-turner. Je n’ai pas trouvé qu’il y ait beaucoup de suspens et la fin n’apporte pas de grosse révélation ou de surprise. J’ai l’impression d’être un peu passée à côté du récit, malheureusement.

En ce qui concerne les personnages, j’ai été un peu blasée par l’héroïne Jeanne Lumet, son compagnon, Paul et son professeur, Bareuil. Ils ne m’ont fait ni chaud ni froid et pour les deux premiers, j’ai trouvé qu’ils étaient un peu trop crédules. Mention par contre pour l’humour du personnage de Bareuil. Mais celui que j’ai adoré, c’est le commandant Falier ! C’est le type de policier roublard, vulgaire, absolument drôle avec toujours ses vieilles méthodes, bien qu’il soit proche de la retraite. C’est le personnage que j’ai trouvé le plus intéressant.

En ce qui concerne le fameux Prince, c’est par contre un des meurtriers les plus barrés que j’ai pu rencontrer dans un roman. Un rituel qui fait frémir, un être possédé, un passé trouble : tous les éléments pour faire de lui un assassin terrifiant. J’ai trouvé l’histoire et la psychologie du meurtrier très intéressante.

Pour finir, je veux évoquer le point fort de ce roman, l’écriture de Thierry Berlanda. C’est ce qui m’a marquée dès les premières pages, c’est un style d’écriture qui sort de l’ordinaire. C’est presque difficile de s’y adapter, mais j’ai vraiment aimé son écriture, avec des phrases courtes et saccadées, qui reflète l’univers sombre du roman. Bien sûr, l’écriture reste très fluide et surtout efficace !

Malgré que cette lecture soit en demi-teinte pour ma part, pour le style de l’auteur et pour le commandant Falier, je lirais avec plaisir La fureur du Prince, qui est la suite de ce roman et dont le résumé me tente encore plus que le premier tome.


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