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Habeas Corpus

Par Lecoindaudrey @LeCoindAudrey
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V.O : -

Auteur : Victor Boissel
Editions : Auto-Edité
Genre : Contemporain
Nombre de pages : 341 pages
Date de parution : 2015 
Format : Numérique

La jeunesse et la beauté, deux richesses qui d’ordinaire ne font que se dissoudre dans le temps. Mais dans le monde où vit Edgaar Finker, la jeunesse et la beauté forment la monnaie avec laquelle on rémunère ceux qui accomplissent de grandes choses. Un monde idéal, à bien des égards, un monde sans pauvreté, ni crime, ni police, un monde où le bonheur du plus grand nombre est la préoccupation de chaque instant. Or un jour une main meurtrière frappe et une victime tombe. L’impensable est commis. Un meurtre. Il n’existe ni méthode ni institution pour l’élucider. Edgaar Finker, le fonctionnaire qui a découvert le corps, se voit chargé de l’enquête. Il s’engouffre alors dans un dédale d’aventures qui lui révèleront les entrailles de ce monde à la plastique irréprochable."

Certains d'entre vous connaissent Victoria, du blog Mon Coin Livresque et je m'entends superbement bien avec elle car nous avons beaucoup de points communs, notamment dans le genre littéraire. Lorsqu'elle est venu me parler d'Habeas Corpus en me disant qu'il allait me plaire et que Victor Boissel serait ravi d'en avoir mon avis ... Comment résister ? Après quelques mots échangés avec Victor Boissel, je me suis laissé guidé dans son roman et je rejoins l'avis de tous : Quelle claque !


Avec un démarrage un peu long, il m'a fallu bien cerner l'univers, proche de la dystopie. Un idéal qui fait presque frissonner, mais qui sera perturbé par l'un des crimes peut répendu : Un meurtre. Si cet acte chamboule la vie d'Edgaar, ce dernier est chargé d'en découvrir plus et ainsi plonger dans le côté obscur de cette vie merveilleuse. 
C'est donc avec lui que nous nous laissons entraîner dans cet univers qui ne ressemble à aucun autre. J'ai beau chercher, rien égal une telle lecture.
Edgaar n'est évidemment pas le seul personnage de l'histoire, une belle troupe lui tient compagnie, mais c'est celui qui m'a le plus marquer. Face à une situation inconnue, il reste lui-même, calme. 

Dans cette histoire, j'ai tout de suite vu la touche de l'auteur, cette façon de parler d'un sujet commun en employant des mots parfaitement bien choisit pour faire rêver et une touche de poésie. La lecture se transforme donc en douce mélancolie, tout en gardant en tête cette recherche du meurtrier et, sans autre mot, ce casse-tête que l'on cherche à démenteler. 

Dans son ensemble, on ne peut que remarquer un travail incroyable quant à la réalisation de l'histoire, le développement de tous ces personnages que l'on rencontre et ce chemin vers une fin qui chamboule le lecteur.


En résumé, je me range du côté de celles et ceux qui ont adorés, voire plus. Je suis des plus heureuses d'avoir eu la chance de lire cette histoire, car avec le recul, passer à côté aurait été une grosse erreur. Plusieurs jours après ma lecture, j'en reste perturbée pendant l'écriture de cette chronique. Le travail et le talent de Victor Boissel sont à découvrir, sans aucune modération, donc, sincèrement, si vous avez l'occasion ou la volonté de plonger à votre tour dans Habeas Corpus, je ne peux que vous pousser à le faire. 


Habeas Corpus

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