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En jazz, il faut tenir Le Cap

Publié le 01 avril 2016 par Souillacenjazz

La musique d'Abdullah Ibrahim reflète la complexité identitaire de son pays, à travers la richesse et la diversité empruntées aux chants Malay du Cap, à la musique traditionnelle africaine, aux succès populaires de l'époque, à la musique de carnaval, aux standards de jazz afro-américain et aux musiques religieuses. S'inspirant pour cette création des mélodies et des rythmes très festifs, mais aussi de la dimension sacrée qui traverse les thèmes du grand compositeur sud-africain Dollar Brand/Abdullah Ibrahim, Didier Labbé propose un répertoire de compositions personnelles et de reprises, mariant l'art de la nuance et une fougue presque sauvage...Les thèmes se succèdent tantôt festifs, tantôt plus abstraits qui emmènent ce programme au-delà d'une rencontre entre world-music et free jazz.  En jazz, il faut tenir Le CapDidier Labbé sax alto flûte Alain Laspeyres batterie Laurent Guitton tuba Grégory Daltin accordéon
réservation : 05 65 38 29 08 tarifs 15, 12 et 5€
  Vendredi 8 avril à 20h30 / Souillac – Cinéma Le Paris
Samedi 9 avril à 20h30 / Saint Céré – Théâtre de l'usine
En jazz, il faut tenir Le Cap
photo: mamyscopitone

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