Magazine Humeur

Être en affaire no 5: faire du mieux que l’on a et… foncez!

Publié le 08 avril 2016 par Raymondviger

L’entrepreneur

Réussir en affaire

Être à son compte est un choix pour certains, un manque de choix pour d’autres. Tous les vendredis, une nouvelle chronique présente un demi siècle d’expérience en entreprenariat privé et communautaire. 

Raymond Viger     Dossier Réussir en affaire

On fait du mieux que l’on peut avec ce que l’on a. On accepte les résultats et on accepte les nouvelles opportunités. Mieux vaut foncer avec des défauts que d’attendre d’être parfait et ne jamais rien faire.

Être en affaire c’est dynamique, ça bouge. Le temps joue pour ou contre nous. Si je suis propriétaire d’un immeuble qui me rapporte des revenus et qu’il est plein, le temps joue pour moi. Parce qu’à chaque mois, des locataires payent mon hypothèque et mes dépenses et qu’après 15 ans ce bloc ne m’aura rien coûté, il vaudra 4 fois plus qu’au début et toutes ses hypothèques seront payés. Le temps joue en ma faveur.

Mais si j’ai un commerce qui perd de l’argent à chaque mois. Si j’ai des dépenses que je ne peux couvrir à chaque semaine. Si j’ai des dépenses de loyer à payer et non pas des revenus de location, le temps joue contre moi. À chaque mois, je creuse un peu plus ma tombe. Il faut en être conscient et avoir un plan d’action pour survivre dans un tel scénario.

Si je vends pour un million, c’est peut-être intéressant. Mais si j’ai mis 10 ans pour le vendre, je ne vends que 100 000$ par année. Si je l’ai vendu sur une période d’une année, c’est déjà beaucoup mieux. La notion permet de changer une victoire en échec. Ce n’est pas juste le résultat qui est important. C’est en combien de temps je l’ai attends qui l’est.

Mieux vaut vendre 200 000$ par année que de vendre un million sur 10 ans! Le temps c’est de l’argent.

Autres textes sur les affaires

Publicité D’un couvert à l’autre: être un entrepreneur communautaire

D'un couvert à l'autre livre bistro le ste-cath journal de la rue Café Graffiti
Le livre retrace les 25 ans d’histoire de l’organisme Journal de la Rue, les principaux évènements que l’organisme a traversé et parle avec émotions et réalisme de la réalité de l’intervention auprès des jeunes.

Une section est dédiée au dernier projet de l’organisme, le bistro Ste-Cath, l’histoire quotidienne de ce lieu mais également la relation entre les artistes et le public, notamment Elizabeth Blouin-Brathwaite, Pascal Dufour, Sule Heitner, B.U, Davy Boisvert,…

Une co-publication entre Delphine Caubet et Raymond Viger. Photographies Georges Dutil. Une couverture de l’artiste Geneviève Lebel. Le livre est disponible en édition de luxe (30 pages en couleur) à 24,95$ ou en noir et blanc à 19,95$ (plus 4,95$ taxe et livraison). Aux Éditions TNT. (514) 256-9000.

Autres livres pouvant vous intéresser:

  • Les 25 ans du Café Graffiti et l’ouverture du Ste-Cath
  • Guide d’intervention auprès d’une personne suicidaire
  • Comment écrire un blogue pour être vu et référencé?
  • Comment intervenir auprès des jeunes, Opération graffiti?
  • LOVE in 3D
  • Québec Suicide Prevention Handbook
  • Recueil de textes à méditer
  • Liberté… Un sourire intérieur

Retour à La Une de Logo Paperblog

A propos de l’auteur


Raymondviger 8679 partages Voir son profil
Voir son blog

l'auteur n'a pas encore renseigné son compte l'auteur n'a pas encore renseigné son compte