Le Festival de Cannes en 2016 en dix étapes (II)

6. Bassin versant du film
Nicolas Winding Refn, l’auteur danois du lecteur et seulement Dieu pardonne, il a signé son plus fantaisiste avec le démon de néon, qui plonge dans l’univers de la mode à Los Angeles pour arracher une ville féérique, frosty, esthétiquement attrayant, que Lesley Felperin, critique de The Hollywood Reporter, il a appelé « un peu comme Next Top Model de l’America, réalisé par Dario Argento » (il y a beaucoup d’argent dans la scène où un modèle Cannibal vomit un globe oculaire). Exalté (même à moi, avec quelques réserves) et détesté à parts égales, a été le titre qui avait invité plus contrastées dans diverses enquêtes faites aux critiques qui sortent des projections du festival.

7. La concurrence
Le dernier visage de Sean Penn a enregistré le plus mauvais résultat de tous les temps (0,2) dans la grille de sondage film magazine Screen International Jury, qui reprend les cotes du onze de la critique internationale. Est un film qui ne semble même pas remarquer la spectacularization de la misère qui met en action, lorsqu’il utilise la crise humanitaire africaine pour rendre plus spectaculaire une histoire d’amour entre deux médecins travaillant pour une ONG dans les camps de réfugiés. Le prix du jumelage musical malheureux : alors que les personnages joués par Charlize Theron et Javier Bardem font l’amour, à l’aide de la position du missionnaire, on entend le refrain d’une chanson des Red Hot Chilli Peppers : l’emporter sur l’autre côté.
8. La plus belle scène
Il n’y a pas de discussion : le nu de fête dans le film de Toni Erdmann par Maren Ade. Je ne qualifierais pas il, doit être envisagée.
9. Deux films hors compétition
Je n’ai pas vu beaucoup de films, ni dans la section parallèle Un certain regard  ou sections autonomes réalisateurs et La Semaine critique, mais j’ai eu la chance de voir les deux le gagnant de la Semaine, tous les deux à l’Ucr. Le premier, Mimosas, réalisateur Français Olivier Laxe, est une intrigante chercheurs spirituels occidentaux du soufisme islamique, qui se déroule entre les montagnes de l’Atlas au Maroc. Le deuxième, le finlandais le plus beau jour dans la vie de Maki Ölli, situé dans les années 1960, démonter les clichés des sports traditionnels dans un film épique délicat youon triomphale et blanc sur un amant léger.
10. Les prix :

la Palme d’or à Ken Loach
le Grand prix à Xavier Dolan