Magazine Société

Tourne, tourne, tourne sol…

Publié le 27 juillet 2016 par Philippejandrok

download-1.jpgTOURNE, TOURNE, TOURNE SOL…

 “Mais chez la plupart des hommes, la vanité innée s’accompagne d’un besoin de bavardage et d’une malhonnêteté innée. Ils parlent avant d’avoir réfléchi, et même s’ils se rendent compte après coup que leur affirmation est fausse et qu’ils ont tort, il faut que les apparences prouvent le contraire[1].”

Cette déclaration de Schopenhauer, un des grands philosophes allemands du XIXe siècle est si juste, qu’en la lisant, j’ai immédiatement pensé aux membres de notre gouvernement et de notre exécutif, qui aujourd’hui, ne cessent de monter au créneau pour affirmer à force d’opiniâtreté « mythomaniaque » et de déclarations publiques dans la presse écrite et à la TV, que le gouvernement n’a pas fait ce que la policière municipale en charge de la vidéo surveillance de l’attentat du 14 juillet 2016 à Nice, a dit qu’il avait fait.

Tout de même, affirmer qu’un commissaire de police chargé par le ministère de l’Intérieur a persécuté une fonctionnaire de la police municipale de Nice pour la forcer à remettre un rapport modifiable sur l’absence des forces de l’ordre, en situation de Vigipirate, sur la promenade des Anglais le 14 juillet 2016, et prouvant, de facto, que l’état d’urgence sert les intérêts du gouvernement Hollande, plus que ceux de la population de notre pays, est tout de même un des pires scandales politiques de ces derniers mois.

 Déjà, nous ne pouvons oublier la liste des terroristes syriens en France offerte par le gouvernement syrien à notre pays et refusée par M. Valls, lui-même, par orgueil, vanité, bêtise ou complicité de terrorisme, puisque ces mêmes terroristes ont été identifiés lors de l’attentat du Bataclan. Alors que n’importe quel ministre après une telle bévue aurait démissionné, celui-ci, comme le reste de ses camarades qui ne cessent de commettre des erreurs aussi gravissimes que digne des plus mauvais amateurs, refuse de quitter le pouvoir et continue à littéralement emmerder le peuple français de sa présence quasi inutile et forcée, et ce peuple, malheureusement contraint d’assister, non seulement à la médiocrité, mais également aux échecs sans cesse répétés d’un gouvernement aussi inutile qu’incompétent, une honte pour notre nation.

- « Profitant de son intervention au Conseil de sécurité des Nations unies lundi 25 juillet 2016, le diplomate syrien Bachar Al-Jaafari a annoncé que le raid aérien français mené en Syrie, en représailles à l'attentat de Nice du 14 Juillet avait causé la mort de 164 villageois – soit près de deux fois le nombre de victimes de la Promenade des Anglais[2] »

Cela venge-t-il nos victimes ? Quelle preuve avions-nous que le terroriste de Nice était syrien, qu’il agissait pour le compte des Syriens ? Il était un peu musulman quand ça l’arrangeait, un peu français, un peu tunisien, un peu choucroute, en fait, il était tout et rien du tout. Alors, avait-il le moindre rapport avec la Syrie ? Pas le moindre, et le tueur n’avait même jamais mis les pieds en Syrie. Cette attaque de Nice a servi de prétexte à la France pour attaquer la Syrie, en obéissant comme un bon chien au pépère Obama, pour bombarder une population aussi innocente que la nôtre, c’est encore un crime à ajouter à la liste de notre gouvernement. Faut-il assassiner des innocents pour venger les nôtres ? Faut-il que les nôtres (toutes confessions confondues) soient assassinés pour justifier des meurtres en Syrie ?

Quelle est cette médiocrité et cette perversion de pensée du président Hollande, qui n’est plus que le président de Matignon sans être celui des Français ?

 Nous constatons que plus ce gouvernement insiste dans l’erreur de faire la guerre à une nation qui n’a jamais été notre ennemie, à massacrer notre jeunesse manifestante, à voter des lois contre nature et en détruisant 100 ans de progrès dans le code du travail, nous constatons  que plus il s’enfonce, plus il perd en crédibilité et je ne saurais trop vous recommander la lecture de « Glandouille, encore une nuit debout », disponible ici :

https://www.amazon.fr/Glandouille-encore-une-Nuit-Debout/dp/1532776314/ref=sr_1_1?ie=UTF8&qid=1469480489&sr=8-1&keywords=glandouille

Un roman satirique prémonitoire et remarquablement drôle, montrant les dérives d’un gouvernement aussi incapable que corrompu, un petit bijou de littérature contemporaine.

Admettons tout de même que nous n’avions jamais eu en France, un gouvernement dirigé par une telle mauvaise foi chronique, des complicités ou des incompétences crasses, dignes d’apprentis politicards pour veiller au destin de la France. Ils ont fait de notre pays une prostituée qui se vend au plus offrant, qui écarte les cuisses et qui se fait mettre par tous les orifices sans la moindre protection, et nous, pauvres molécules de ce corps violé, nous trouvons contaminées par toutes les chtouilles et les sidas refilés par les mauvais coucheurs qui se fichent de notre intégrité et qui nous humilient en nous crachant au visage un sperme empoisonné qui nous fait crever à petit feu. Voilà, la pourriture qui nous dirige et qui fait de notre nation, la putain de Babylone :

 - « 1. Et l'un des sept anges qui tenaient les sept coupes s'avança et me parla en ces termes : viens, je te montrerai le jugement de la grande prostituée qui réside au bord des océans.

2. Avec elle les rois de la terre se sont prostitués, et les habitants de la terre se sont enivrés du vin de sa prostitution.

3. Alors il me transporta en esprit au désert. Et je vis une femme assise sur une bête écarlate, couverte de noms blasphématoires, et qui avait sept têtes et dix cornes.

4. La femme, vêtue de pourpre et d'écarlate, étincelait d'or, de pierres précieuses et de perles. Elle tenait dans sa main une coupe d'or pleine d'abominations : les souillures de sa prostitution.

5. Sur son front un nom était écrit, mystérieux : "Babylone la grande, mère des prostituées et des abominations de la terre."

6. Et je vis la femme ivre du sang des saints et du sang des témoins de Jésus[3]. »

Les petits voyous des cités qui viennent de violer un policier semblent bien plus rusés que les membres de ce gouvernement aussi prétentieux qu’ils sont incapables. Et que va faire le ministre de l’Intérieur à présent, donner la légion d’horreur au premier flic sodomisé en banlieue par des voyous haineux et faussement musulmans ?

Mais la question s’impose, qu’est-ce que ce gouvernement cache vraiment aux citoyens de ce pays pour se comporter aussi lamentablement et aussi lâchement, en refusant la force du suffrage universelle et la voix du peuple ? Est-ce l’arrivée prochaine de Nibiru qui revient faire sa moisson d’humains ? Est-ce pour cette raison que ces félons nous empoisonnent et masquent nos cieux ? Pour que notre esprit soit si embrumé que notre raison ne puisse plus percevoir le vrai du faux ? Si c’est le cas, ces gens-là sont des criminels à tous points de vue et devront être jugés, tous sans la moindre exception.

Cette citation de Schopenhauerme fait également penser à tous les chefs d’État dans le monde qui ont en commun cette « vanité innée » qui prime sur l’honnêteté. L’honnêteté de reconnaître la vérité toute cruelle qu’elle est, et que ces chefs d’État travestissent dans leurs intérêts propres, ou sales.

Nous sommes habitués à vivre dans le mensonge depuis notre enfance, d’un côté, « on » nous donne à ingérer les textes saints en nous apprenant à faire la distinction entre le bien et le mal, « on » nous apprend le respect et l’honnêteté, « on » nous fait croire que ceux qui nous gouvernent ou qui nous soignent, en savent plus que nous, en fait, ils savent mieux que nous, et ce qu’ils font, va dans « notre intérêt », disent-ils.

Cela fait pourtant un moment que nous avons pu constater que rien ne va dans l’intérêt de notre population, c’est tout l’inverse. Ainsi, en grandissant, nous réalisons que cette illusion de protection offerte par l’État à la nation est une chimère, et que tout ce que nos avions crus, toute la confiance que nous avions donnée à nos dirigeants est en réalité fort mal placée, et bien amère.

 Si nos représentants politiques étaient côtés en bourse, 65 millions de citoyens français seraient en banqueroute ? Mais dans leur cas, même s’ils ne sont pas cotés à Wall Street, nous sommes en banqueroute morale et financière tellement ils sont fourbes et mauvais, alors, que faire avec une telle équipe de bras cassés, je vous le demande ?

Nous devons finalement accepter que notre monde soit en guerre, mais pas depuis hier, depuis toujours, deux clans s’opposent ; chez Tolkien par exemple, nous avons Gandalf, le désormais Blanc, qui se bat contre Saruman aux ordres de Sauron, la puissance la plus maléfique qui soit. La puissance des forces blanches humaines et Elfiques, contre celles des Orcs et des Gobelins, serviteurs malfaisants des forces noires du mal. Oui, nous avons l’habitude d’entendre les pseudo philosophes prétendre que la vie, ce n’est pas tout banc, tout noir, et qu’entre les deux, il y a des couleurs ; c’est vrai, mais ces couleurs se trouvent en sous-groupe des deux groupes principaux que sont le Bien et le Mal et qui se retrouvent dans toutes les civilisations jusqu’à nos jours. Devrions-nous définir le Bien du Mal ?

Un enfant en serait capable, alors pourquoi des adultes s’en montreraient-ils incapables ?

Est-ce le Bien de bombarder des villages de citoyens innocents en Syrie en réaction à l’attentat du 14 juillet 2016 à Nice ? Personnellement, il me semble que c’est le Mal qui s’exprime, pas le Bien, donc, cela confirme que François Hollande est bel et bie… bel et mal au service du Mal !

Mais les adultes se montrent incapables de déterminer le Bien du mal parce qu’ils sont influençables par des fausses vérités diffusées et contrôlées par une engeance diabolique. Il est vrai que l’on ne peut parler de diable sans évoquer Dieu, mais que pourrions-nous décrire comme référent plus proche du mal incarné, que ce démon inspiré par la fourberie, la duplicité, la colère et la méchanceté ?

Admettons que la fausse vérité soit un point de vue, ainsi, la TV nous offre un point de vue unique, elle nous force à croire à cette vérité diffuse et diffusée, mais est-elle seulement vraie ou dirigée pour influencer le spectateur ? C’est bien là tout le problème.

J’utilise souvent l’exemple de l’arbre ; si je plante une photo hyper réaliste d’un arbre grandeur nature dans un espace, celui qui la verra de face, affirmera avoir vu un arbre à l’endroit précis ou cette image aura été déposée. Mais si un autre voyait cette photo de côté ou de derrière, il se rendrait compte de la supercherie, alors que celui qui l’a vu de face continuerait à affirmer, en toute bonne foi, qu’il s’agissait bien d’un arbre, alors que ce n’en était pas un.

Dans ce cas, qui dit la vérité ? Celui qui comme saint Thomas a vu les plaies du christ :

 -   Avance ici ton doigt, et regarde mes mains ; avance aussi ta main, et mets-la dans mon côté ; et ne sois pas incrédule, mais crois.” dit le Christ et Thomas lui répondit :

-   “ Mon Seigneur et mon Dieu !

Jésus lui dit :

-   “ Parce que tu m’as vu, tu as cru. Heureux ceux qui n’ont pas vu, et qui ont cru ! ” (Jn 20, 24-29). »

Donc, celui qui a vu l’arbre dit-il la vérité ? Et celui-ci qui dit la vérité est-il un menteur si des malfaisants ont induit son jugement en erreur ?

 Comme chacun peut le constater, il dit la vérité, mais il se trompe et il ne sait pas qu’il se trompe puisqu’il a été induit en erreur par la fourberie de celui qui a placé la photo de l’arbre devant lui.

 Avant l’Euro 2016, nous avions en France de très nombreuses manifestations populaires et pacifiques, pour ceux qui vivaient en province et à l’étranger, des images étaient diffusées sur les différentes chaines de TV montrant presque exclusivement des agitateurs, se rendant coupables d’actions violentes. Étrangement, sur les réseaux sociaux nous pouvions voir les mêmes séquences complètes, montrant la brutalité policière et la provocation sordide de celle-ci, nous sommes à nouveau dans la métaphore de l’arbre et de son point de vue. D’un côté l’État considère son bon droit et sa vérité, de l’autre, le citoyen brimé découvre une autre vérité et nourrit une colère sans cesse grandissante vis-à-vis de l’État manipulateur d’image et de vérité.

 Lorsque Manuel Valls se rend dans un gymnase dans le nord de la France pour y livrer un discours socialiste, il a si peu de sympathisants que l’ancien concurrent de Martine Aubry a invité les associations de retraités de joueurs de belote et de Bingo, pour faire croire que celui-ci est admiré et entendu ; le problème c’est que les vieux ont faim et se fichent bien de Carlos Manuel Valls en tapant du doigt sur la table pour avoir la suite de ce repas rendu indigeste par ses paroles ; mais la presse manipule son intervention, et le montre au reste de la France comme un homme populaire, c’est ce que l’on appelle de la manipulation, ou de la communication et le pauvre homme est très mal à l’aise dans le mensonge, le M du mensonge s’inscrit alors sur sa face, dans son sourire, comme le M sur l’épaule de M le Maudit !

Aujourd’hui, nous assistons à tous les mensonges les plus odieux de la part des grands dirigeants de ce monde, qui s’amusent à semer la terreur sur toute la surface de cette planète qui n’a pas besoin de souffrir pour trouver l’harmonie, mais qui succombe à la malfaisance dysharmonique des puissants qui s’arrangent du chaos.

 En France, le valet du président Obama vient de perdre toute sa crédibilité auprès du peuple français depuis, non seulement l’attentat de Nice, mais la polémique qui s’en suit, concernant la volonté de détruire des preuves et des évidences de l’attentat, du jamais vu.

 Aux USA, Obama est lui-même en mauvaise posture, de plus en plus critiqué pour ses actions militaires en Syrie, en Algérie et en Tunisie, la flotte américaine est positionnée dans les eaux territoriales tunisiennes sans la moindre justification solide, en dehors d’une prochaine invasion de l’Amérique dans un pays pacifique qui refuse avec force le radicalisme musulman. Étrange que le président Obama qui prétend lutter contre le radicalisme en soit le principal instigateur et que dire de F. Hollande, l’équipementier de DAESH ?

 On dira ce que l’on voudra, mais cette dichotomie se perpétue ; d’un côté l’Amérique qui prétend être dans son droit et qui fait la guerre au monde entier depuis son indépendance, cette même Amérique qui désigne ses ennemis en les fabriquant de toutes pièces et de l’autre, son contrôle des états occidentaux et orientaux pour imposer son hégémonisme sous prétexte de destruction totale.

Aujourd’hui, les seuls capables de refuser la domination des assassins sont les Russes et les Chinois, seront-ils nos sauveurs face au diable ? Car, nous avons besoin d’un sauveur face aux forces du mal, face à cette coalition du mal qui vise à réduire l’espèce humaine à l’état d’esclave soumis.

Peut-être est-il temps de choisir son sauveur et de chasser de son trône l’usurpateur qui se prend pour notre président et ses succubes incapables.

Nous vivons une époque formidiable…


[1] Schopenhauer, L’Art d’avoir toujours raison La dialectique éristique

[2]https://francais.rt.com/international/24390-representant-syrien-lonu--frappes

[3]La Bible, Livre de l'Apocalypse chapitre 171 


Retour à La Une de Logo Paperblog

A propos de l’auteur


Philippejandrok 11422 partages Voir son profil
Voir son blog

l'auteur n'a pas encore renseigné son compte l'auteur n'a pas encore renseigné son compte

Magazine