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Test du mini drone « Mambo » de Parrot

Publié le 24 octobre 2016 par Taytay92i @taytay92i

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Bonjour à tous,

Nous avions eu le plaisir d’être invité au lancement de la nouvelle gamme de mini drones de Parrot. Nous avons eu aussi la chance de pouvoir tester le « Mambo », la plus polyvalente des dernières créations du leader du marché. Et nous nous sommes bien amusés.

Tester un drone de Parrot, c’est forcément une expérience unique. Et le « Mambo » ne déroge pas à la règle. Le dernier petit bijoux du spécialiste des drones est à la fois un jouet qui offre un grand nombre de possibilités de jeux et un véritable concentré de technologie. Le « Mambo », ce n’est plus simplement du pilotage en enchaînant les figures complexes, c’est aussi, au choix, un mini canon à billes ou une pince qui permet d’attraper des objets en vols. Voilà autant de défis qui mettront votre dextérité à rude épreuve.

Le « Mambo » se présente comme ses prédécesseurs : un fuselage qui accueille la batterie et un discret bouton marche/arrêt sous le ventre, le tout étant rehaussé de deux « yeux » en LED. Quatre pylones y sont fixés et supportent les hélices. Des galènes de protection amovibles sont incluses. Celles-ci ont été améliorées depuis la précédente série, et elles offrent une meilleure protection aux hélices.

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La prise en main du « Mambo » n’est pas très différente de ses prédécesseurs. Une fois la batterie insérée et chargé (environ 45mn), il faut connecter le mini-drone et le smartphone via l’appli « Freeflight mini ». Celle ci a également été améliorée (nous y reviendrons). L’opération prend quelques secondes, une fois les led en vert fixe, le mini-drone est prêt à prendre son envol.

La vraie grande nouveauté du Mambo est le pilote automatique. Grâce à ses multiples capteurs, le mini-drone de Parrot peut se stabiliser de manière parfaite en quelques secondes et sans intervention du pilote. Une option permet même de l’activer en le lançant en l’air. Effet garanti auprès de l’assistance 😉 . Pour le pilotage, le joueur pourra utiliser la manette virtuelle de l’application, ou connecter la nouvelle manette physique »Flypad ». Un grand nombre de réglages sont disponibles. Si le vol en intérieur est assez facile à appréhender, il n’en va pas de même en extérieur. Malgré les capteurs, le « Mambo » apprécie assez mal les rafales de vents.

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Le « Mambo » offre également de nouvelles fonctions de jeu, grâce à ses deux accessoires inclus. Il s’agit d’un mini canon à bille et d’une pince télécommandable. Leur mise en place s’effectue en quelques secondes grâce à l’astucieux système mis au point par Parrot : un plot façon Lego posté sur le dessus du fuselage se révèle être en fait une connectique usb.

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Il va ainsi permettre de fixer l’accessoire et de le mettre sous tension. Le mini canon se charge avec les billes incluses. Il nécessite un peu de dextérité à cause d’un petit temps de latence dans le déclenchement. Il va donc falloir faire preuve de talent de pilote hors pair. La pince est bien pensée, et peut s’activer en vol : une fois le « Mambo » stabilisé, il suffit de lui présenter un objet et la pince se referme dessus. Évidemment, on parle ici de petits objets. Et bien sûr, le « Mambo » a conservé le classique objectif qui va permettre de réaliser des clichés de bonnes qualités. Ce dernier point est aussi à mettre au crédit du pilotage automatique qui offre une excellente stabilisation de l’appareil. La preuve avec les 2 images ci dessous, prises en extérieur avec un léger vent tournant.

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L’application « Freeflight mini » est donc indispensable à l’utilisation du « Mambo ». Celle ci est toujours aussi intuitive et simple à utiliser. Plusieurs modes de pilotages sont disponibles, et elle intègre aussi des améliorations intéressantes, comme les statistiques de vol. Les accessoires sont téléguidables directement depuis la manette virtuelle, dans laquelle ont retrouve aussi toutes les informations de vol en temps réel. « Freeflight mini » permet enfin de télécharger les photos réalisées par le « Mambo ».

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Un dernier mot pour évoquer la batterie. C’est évident un point essentiel dans ce type de produit, et malgré des développements de Parrot, on est déçu de ne pas dépasser les 7-8 minutes de vol au mieux. La recharge n’est pas trop longue, et on conseillera d’investir dans une seconde batterie pour prolonger le plaisir de jeu.

En conclusion, le « Mambo » est un superbe objet qui ravira les fans de mini-drones. En plus du plaisir du pilotage, les accessoires offrent un champ de jeu encore plus grand. Et les améliorations comme le pilote automatique sont un vrai point fort, notamment dans la réalisation des clichés. Seul petit bémol, une batterie encore trop faible.

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