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Max | Ombre et Lumière

Publié le 14 novembre 2016 par Aragon

suze.jpgIl y a quelque temps un parangon de beaufitude avait laissé sur ma page FB un commentaire parlant de "chiennes en chaleur" à propos des Femen, aujourd’hui c’est Trump qui dit publiquement vouloir prendre les femmes par "la chatte", c’est encore, c’est toujours certains hommes qui ne comprendront jamais rien au genre humain, je ne résiste pas à la tentation de citer la Fontaine à laquelle bien des porcs pourraient se désaltérer pour essayer d’être un peu moins cons, la Fontaine avec son look de libellule, qui les encule justement ces pourceaux ne sachant rien des femmes…

Résister encore et encore et vivre. Vivre à tout prix, like a bird. Tiens, réflexion… Des femmes mystérieuses, visages / sourires / attitudes incroyablement bouleversants pour des milliers de petits mecs comme moi à l’époque qui nous demandions qui étaient ces femmes sur les pochettes de ces 33 tours cultissimes. Ces femmes, retrouvées aujourd’hui, nommées, grâce à la toute-puissance magique d’Internet. Suze, sur la pochette de Freewheelin’ le deuxième album de Dylan, Marianne sur celui de Leonard, Songs from a room. Ces femmes, inspiratrices, initiatrices, pour l’éternité.

Des femmes sont là, dans l’ombre et la lumière, des femmes sont là dans les rues, les places et les maisons et l’homme qui ne sait rien, qui tire sur sa chaîne pour remonter du plus profond de lui-même, vers une  lumière espérée, un seau lourd de ténèbres ainsi que l’écrivait René-Guy… l’homme le sait, le pressent, l’attend.

marianne.jpg


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