Pour Collomb, plus que l’extrême-droite, l’extrême gauche, voilà l’ennemi

Parfois, comme cela, au hasard des lectures, on reste bloqué sur un mot… « Quelquefois ».

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je suis ravi que l’on découvre enfin que « la radicalisation n’est pas simplement islamiste« … Depuis le temps que je le martèle ici. Mais de là à découvrir qu’elle serait davantage le fait de mon propre camp politique, et que nous serions plus dangereux que ces brutes d’extrême droite qui ne cessent de terroriser la population à travers toute la fRance, commettant meurtres, tabassages en règle, saluts et drapeaux nazis en plein Paris à l’envi,  le tout sur fond de déluge de propos racistes et violents de leurs meutes de haters sur tous les réseaux sociaux sans être véritablement inquiétés, comme je l’ai déjà démontré ici, voilà qui est un peu fort  de café,  la pilule difficile à avaler. Pour le ministre de l’intérieur, l’extrême-droite n’est un problème que quelquefois, là où l’extrême gauche le serait toujours. Je comprends mieux pourquoi la No Go Zone du vieux Lyon n’était pas trop un problème pour lui, et pourquoi son laxisme à cet endroit.  Le ton est donné. J’ai la réponse à ma question, comme à celle de la compétence et des priorités de ce ministre là…

Ami(e)s militant(e)s pour plus de justice sociale, les violences policières n’ont pas fini de se multiplier… Et le sentiment d’impunité des fachos, avec ou sans uniforme,  qui tabassent nos ami(e)s des quartiers peut donc continuer de se développer dangereusement… sans être véritablement inquiété. Combien d’autres morts encore ? La liste est déjà si longue…

No justice no peace.

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