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Dear white people, la série où le racisme peut faire sourire !

Par Anneju71 @LesMotordus

Hello mes tordus,

Pour pas mal de tordus, nous avons la chance de faire un pont, que dis-je un viaduc ce week-end. Pour certains, ça sera farniente, chaise longue, mojito, plage, livres, d’autres boulot mais ceux qui n’aiment pas l’extérieur, ça sera série ! Donc pourquoi ne pas regarder cette nouvelle série proposée par Netflix ? Vous avez bien compris qu’un moment donné, vous allez craquer et vous abonner ;-).

Cette série est une pure adaptation du film du même nom par le même réalisateur (Justin Simien) : Dear White people.

Le prestigieux campus universitaire de Winchester, en proie aux rivalités, aux amours et aux crises identitaires, fait face à une nouvelle révolution. Animatrice d’une émission de radio qui suscite la polémique au sein de l’école, Sam White dénonce les injustices.

« Encore un thème d’actualité… »

Et oui, hélas ! Mais à vrai dire ce thème a toujours été d’actualité. Les films/séries sur l’esclavage, la ségrégation, le racisme sont de plus en plus récents. C’est regrettable de devoir faire des films sur ces sujets pour que les gens prennent conscience. Et si seulement ça marchait. On en a la preuve tous les jours que les gens sont vraiment cons !

Bon ça c’est dit, passons à la série. Dans mon article de la semaine dernière, je vous ai présenté brièvement cette série. On se retrouve donc sur un campus américain où la notion de « noir » et « blanc » chez les étudiants est bien là. D’ailleurs, les « noirs » dorment dans un campus et les « blancs » dans un autre. Les « blancs » organisent des fêtes où il faut se déguiser en « noir ». Bref autant de messages à faire passer surtout avec Trump comme président !

Bon vous allez me dire que ça n’a pas l’air drôle du tout. Eh bien même si c’est satirique comme série, c’est aussi une comédie. L’humour y est décapant. Et il y a des passages comme une satire de Scandal qui devrait bien vous faire rire.

L’autre bon point de cette série, ceux sont ces 10 épisodes.

« Euh Anne-Ju, tu as bu trop de mojitos !! Cela n’a rien d’exceptionnel ! »

Pfff laisses moi finir ! 10 épisodes dont chaque épisode est raconté par un des protagonistes de la série. Donc on va connaitre toute l’histoire vu par tout le monde. J’ai trouvé cette vision très intéressante surtout que derrière le racisme et la comédie, il s’agit qu’en même d’un passage à l’adulte par tous ces étudiants. Ils pensant à leur avenir avant tout.

Dernier bon point : la bande son !!! Faites vous plaisir avec ces musiques « groove ».

Vous l’avez compris, cette série est d’utilité publique « mes chers amis blancs ».


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