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Le Trianon Palace Versailles expose l’artiste Charles Serruya

Publié le 15 juillet 2017 par Framboise32

Le Trianon Palace Versailles expose l’artiste Charles Serruya

S’inscrivant dans une dynamique artistique forte, le Trianon Palace Versailles propose une nouvelle exposition depuis le 4 juillet et jusqu’au 30 septembre 2017.

L’hôtel invite les parisiens, passionnés, ou collectionneurs d’art à s’imiser au cœur du travail de Charles Serruya, artiste du Fonds Culturel de l’Ermitage, présidé par Martine Boulart. Le Trianon Palace Versailles offre à l’artiste un véritable espace d’expression, un écrin pour sublimer ses œuvres. Ensemble, ils proposent un discours visuel : les sculptures sont labyrinthiques et c’est dans l’ombre reportée sur le mur que certaines formes s’éveillent, apportant à proprement parler un tout autre éclairage. Un beau voyage au cœur de la création pour le plus grand plaisir des amateurs et initiés.

Dans les jardins, 12 grandes sculptures surprendront les hôtes autour des bosquets: Diane chasseresse, Hercule, Les 3 grâces, Le minotaure, Léda, Le Flûtiste, Athéna, La nuit du chasseur, Le génie, Une femme assise, La femme libellule, Marie Antoinette Sphinx  . Dans l’hôtel, ce sont 7 bustes sur colonne qui viendront orner la Galerie, et Pégase qui étonnera les clients dès leur arrivée dans le Lobby.

A propos de Charles Serruya : Né le 10 août 1950 à Paris, Charles Serruya développe depuis le milieu des années 80 un travail graphique utilisant ombre chinoise et silhouette découpée. Photographie, film, projection et mise en lumière se déclinent au gré des réalisations et collaborations allant du défilé de mode au spectacle vivant. Charles Serruya revendique une certaine idée du baroque en évitant la surenchère. Il s’en amuse et s’exécute avec des moyens à minima mais sans minimalisme. Une poésie dépourvue de mièvrerie se dégage de ses œuvres, comme si un personnage échappé d’un vase de la Grèce
antique récitait des vers de Prévert. Un voyage qui transcende les références sans retenue l’emmène sur le chemin du nomadisme. Portraitiste à ses heures, il improvise un cabinet portrait ambulant. Le sujet est ainsi mis en scène in situ entouré de ses attributs réels ou imaginés. Point de portrait officiel ou de
commande ici, la fantaisie des personnalités s’esquisse d’un trait léger. Un trait qu’il étire jusqu’à devenir fil. Un fil de fer rudimentaire qui se sophistique et dont les effets se démultiplient selon les sujets choisis : portrait, nu ou fresque. Un fil d’allégresse que l’on suit à la trace dans son enchevêtrement maîtrisé.


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