La religion

De tout temps les hommes ont cherché le « savoir », la « connaissance », la « vérité » qui mène à Dieu ou tout du moins au monde divin.

Les théologiens ont déversé des litres d’encre pour prouver l’existence de Dieu et appliquer des dogmes, inventant des histoires « saintes » pour, enfin de compte, créer de toute pièce une religion qui enferme l’homme dans une machinerie infernale, je veux parler ici du péché, des interdis, des tabous. Enfermant ainsi l’homme dans un carcan illusoire, mais combien néfaste, faisant croire que la désobéissance aux lois divines (créées par l’homme), trace un chemin vers l’enfer. Rendant l’homme dépendant des prêtres, des religieux, et lui donnant un sentiment perpétuel de culpabilité.

L’homme est libre, libre de penser pas lui-même, de s’imposer ses propres limites en ce qui concerne « le bien et le mal » selon sa moralité. Il fixe lui-même ses tabous ou au contraire s’en libère.

La religion n’a aucun droit sur l’homme, l’homme ne doit tolérer aucun serment ou dogme qui soit contraire à la nature humaine.

Là où il y a contrainte, il y a forcement esclavage face aux péchés inventés qui enferment l’homme dans le piège du « pardon ».

La peur de « faire mal » vient de la religion.

L’homme, lui, et sans tabou, il est l’animal qu’il a toujours été avec ses instincts et ses mœurs.

Au nom de la religion, qu’importe le nom qu’on lui donne, des millions de personnes ont été tuées, martyrisées et le sont encore aujourd’hui. Toute religion qui impose sa volonté par des dogmes ou des interdis est liée au fanatisme des théologiens et des religieux !

Ce qui prouve que l’homme doit lui-même trouver son cheminement spirituel, sans que personne ne vienne influencer son parcours ou lui imposer « son Dieu », son « livre saint »…

Istvan de Souabe