Entre deux époques

Salut les petits gars,

J’aurai adoré être à une autre époque. Comprenez par là, que chaque époque à sa culture, musicale, artistique, cinématographique, et sa propre culture mode. J’ai mes périodes avec les époques. Par moment je rêve de contempler les tableaux de Rubens en fréquentant la haute société de la Renaissance Flamande, dans une robe des plus imposantes. Parfois je m’imagine dans une ferme, dans une campagne profonde dans l’univers hippie, avec des vêtements colorés, à fleurs et beaucoup trop large. Et quelques fois j’ai envie de m’habiller avec de légers chapeaux, des vêtements cintrés et élégants en fréquentant les salons parisiens des années 40… Disons que je fantasme beaucoup autour de l’univers de chacune de ses époques. Est ce que j’aurai réellement aimé y vivre? Je ne pense pas, c’est plus tout ce qu’il y a autour des époques qui m’attire.

Alors je me contente de revêtir les vêtements de différentes époques, en les remixant à ma sauce, à mes envies. Le tout, en engloutissant le plus de culture possible sur l’époque en question. Je crois que c’est comme ça que je suis tombée amoureuse des peintures de Rubens, ou des sculptures de Zadkine. C’est aussi pour ça je pense que le film Midnight in Paris de Woody Allen, m’a tant touché. Si vous êtes un voyageur d’époque vous aussi, il faut que vous voyez ce film ! Sortir de son ère, parfois ça fait du bien.

Et aujourd’hui, c’est entre deux époques que je vous emmène, entre l’air hippie et les années disco, soit les années 75, où la géométrie faisait fureur !

J’adore toujours autant flanner en friperie, et trouver des pièces d’un autre temps. Petit plus: personne ne peut avoir la même chose que vous. Et il y a des pièces qui recommence à sortir en magasin aussi ! Parce que c’est ce qu’il y a de bien avec la mode: elle ne se démode jamais. C’est un perpétuel recommencement. Alors si vous aimez une époque, et que vous ne trouvez rien de celle ci, ne paniquez pas, dans 1, 5 ou 10 ans, elle sera de retour dans vos magasins préférés. En attendant, vive les friperies !