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Bienvenu chez les chtis

Publié le 13 septembre 2017 par Fabianus

BIENVENU CHEZ LES CHTIS
Edouard Philippe aimerait être un Premier Ministre en Marche mais il n’est pas encore totalement convaincu de la politique menée par celui auquel il s’est rallié, Emmanuel 1 dit le Jupitérien.
Aussi reste-t-il avec une carte « Les Républicains » quand bien même on le traite de parjure. Edouard n’en a cure et cherche à exister sans se faire passer pour un simple collaborateur de Sieur Macron Du Touquet Plage.
Alors il s’auto persuade qu’il est le meilleur, le plus grand (il est vrai qu’il l’est) et le plus fort. Il est chaudement accompagné dans cette auto suggestion par une petite ville proche de Dunkerque dont le nom est, à lui seul, un superbe dithyrambe à son égard.

Alors, pour remercier la bourgade, il s’est rendu sur place et a posé devant le photographe municipal, un contrat aidé,  qui lui a demandé quel genre de travail il pourrait exercer une fois qu’il serait rayé des listes eu égard à la politique de suppression de ces statuts quelque peu précaires.
Le grand barbu n’a rien dit car il n’aime pas les polémiques. Et, à ce propos, il est bien content de n’avoir pas accompagné son mentor dans les îles sinistrées que sont St Martin et St Barthélémy ! Si c’est pour entendre dire que le gouvernement ne fait rien, qu’il n’a pas été réactif et gnagnagna et gnagnagna, non, merci bien ! Il dit quand le travail bourre, bourre Allons, ce n’est pas grave Line Sa secrétaire en perd le cours Des idées noires qui turlupinent
Le grand costaud s’écrit : j’en barre De ces diatribes mesquines Je suis fort comme un malabar Ce Mélenchon je l’abomine !
Plutôt avoir dédain qu’air coi Dans le théâtre polémique Ni Grande sainte  ni bon aloi : S’endurcit la vie politique !
L’homme qui se sent à plat tôt doit Eviter d’être à Matignon Philippe le sait ; dans son carquois Les flèches aiguisées sont légions !
Qui lui mettra les freins coud quoi ? Si ce n’est tissu de mensonges Le grand barbu sans désarroi Passera outre ou bien l’éponge !
Si dans son discours les mots errent A l’instar d’un Spycker novice Edouard dans l’action régénère Sa belle intuition novatrice !
On s’côtoie dans son cabinet Anciens de gauche, républicains Qu’appelle la grande majorité Si ce n’est le devoir commun ?
Comme ses belles idées à suite cotent A la bourse du grand « dégagisme » Le bon Havrais coupe et rabote Les budgets d’un froid pragmatisme
Pourquoi vouloir s’encombrer d’une (*) Appréhension à cisailler ? Il suit Macron au clair de lune La nuit s’illumine à jamais… (*) Pourquoi vouloir cent cons, Bray-Dunes ?

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