Lui, c'est Adrien (Vincente Elbaz), quadra immature, et complètement barré. Elle, c'est Maud (Laurence Arné), une dessinatrice de bande-dessinée que le succès a peu à peu assagie. Alors quand Maud envisage de fonder une famille, elle ne peut imaginer Adrien endossé le rôle du père. Pour tenter de reconquérir l'amour de sa vie, Adrien décide de monter dans le futur ex-appartement conjugal : une crèche à domicile.
Pour son deuxième fi lm, Daddy Cool (après Toute première fois, coréalisé avec Noémie Saglio), Maxime Govare propose une comédie qui oscillent entre comédie et émotion " je voulais que mon film oscille entre des moments de vraie comédie, même trash, et de vrais passages plus émouvants. On voit souvent de purs drames, ou au contraire des comédies jamais empreintes de gravité : je pense qu'il est possible d'amalgamer des émotions contradictoires, qui sont celles du quotidien de millions de gens ".
Visionné en avant première lors du Showeb de rentrée, Daddy Cool tient toutes ses promesses, du rire, du rire, surtout la première heure avec un Vincent Elbaz délicieusement odieux qui n'hésite pas à fumer au milieu des enfants, à mixer du Mac Donald pour nourrir un bébé... Quant aux gamins ils sont tout simplement géniaux, notamment le petit Maxence déconcertant de naturel face à la caméra. Plus axées sur la relation entre Adrien et Maud, les dernières 20 minutes perdent forcément en rythme, avec cependant une interprétation touchante de La Chanson des Vieux Amants de Jacques Brel par Michel Leeb. Une vraie belle surprise que ce Daddy Cool et un duo Elbaz/Arné qui fonctionne super bien !.
Jeu de briques
Snake
Pacman
Bubble