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à vivre le chant on gagne sur l'effondrement

Publié le 02 mars 2018 par Pjjp44
à vivre le chant on gagne sur l'effondrement
DEVISE
    " Savoir partager
                         deux oeufs du matin
                         en trois parts égales,
un souci        en deux parts fraternelles,
et la liberté
en nulle part."
à vivre le chant on gagne sur l'effondrement
Alain Serres 
à vivre le chant on gagne sur l'effondrement    photo Brigitte P.
" Avec elle (la poésie), pas besoin d'argent, ni de précautions, de dictionnaire, de diplômes ou de simagrées.
ENTREZ;
ECOUTEZ.
RESPIREZ.
   Quelle différence."
à vivre le chant on gagne sur l'effondrement    Georges L.Godeau
à vivre le chant on gagne sur l'effondrement    photo Brigitte P.
"J'en appelle à la beauté qui sera front d'espoir" 
Abdellatif Laabi 
à vivre le chant on gagne sur l'effondrement
à vivre le chant on gagne sur l'effondrement

"Si quelques mots voulaient venir à son secours
peut-être traverserait-il le jour sans trop mourir
celui que le poids des choses conduit dans les vergers du silence.

Peut-être serait-il absous d'avoir été dans un même temps

l'ange et la bête
celui qui traquait des langages dans l'azur et dans la paille.


Et si

quelque parole fut-elle pauvre
aimait à le prendre en pitié
peut-être s'ouvrirait-il
au péril de vivre encore une journée
celui qui défaille
et espère."
André Schmitz
  
vivre chant gagne l'effondrement

à vivre le chant on gagne sur l'effondrement

"Ouverte en peu de mots,
comme par un remous, dans quelque mur, une embrasure,
pas même une fenêtre

   pour maintenir à bout de bras cette contrée de nuit où le chemin se perd,

à bout de forces une parole nue"

Jacques Dupin
à vivre le chant on gagne sur l'effondrement

à vivre le chant on gagne sur l'effondrement

"A vivre le chant
  on gagne  
sur l'effondrement."
Guillevic
à vivre le chant on gagne sur l'effondrement

à vivre le chant on gagne sur l'effondrement

"Il peut arriver qu'à travers de frais éboulis apparaisse en lumière vive cette trace de ce qui fut un instant la forme de la vie.
On se penche, on tarde à se reconnaître, on se détache pourtant avec soin de la roche et de la poussière, et l'on se porte avec précaution sur le bord d'une cheminée pour se contempler dans l'experte lumière et se montrer à qui veut entendre, fossile ou poème, irréfutable preuve que l'on fut cela.
Ô douce et fière soif de l'anonymat."
Gil Jouanard



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