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Ma vie (presque) sans sucres

Par Charonbellis @charonbellis

Bonjour tout le monde ! On se retrouve ce matin pour un nouveau bilan, celui de ma vie (presque) sans sucres.Alors avant de commencer, je tiens à préciser que je ne vais pas faire un cours de diététique en donnant des règles à suivre. Je ne suis pas médecin, je n’ai aucune légitimité pour vous dire ce que vous devez faire, et ce qui est bon ou pas pour vous. C’est juste un bilan sur ce que j’ai choisi de faire et les effets que je peux voir sur moi.

J’ai toujours fait attention au sucre. Quand j’étais plus jeune, mes parents m’ont appris que l’on pouvait se faire plaisir mais qu’abuser ce n’était pas bon. A la maison, il y a avait certes des gâteaux, mais très rarement des bonbons et les seules boissons sucrées étaient des jus de fruits.
Une fois chez moi, comme beaucoup d’entre nous, j’ai continué à appliquer le modèle que j’avais eu avant, et puis à force de lire certaines choses sur le sucre (que l’on trouve absolument partout et qui est tellement addictif), et notamment de voir un éventuel lien avec mes migraines, j’ai commencé regarder d’un peu plus près mon alimentation pour voir quels sucres je pouvais supprimer car ils n’étaient pas forcément utiles.

J’ai donc fait mon bilan et le constat a été assez simple puisque les seuls sucres de « plaisir » que j’avais dans mon alimentation étaient le sucre dans mon café et quelques gâteaux industriels de temps en temps (quand je cuisine, je rogne toujours sur le sucre et je me dis toujours que le « fait maison » est toujours moins sucré que le reste. Ça tombe bien car à la maison on passe beaucoup de temps derrière les fourneaux !).
Pour les gâteaux, la chose était facile, il suffisait de supprimer, pour le chocolat, c’était pareil puisque avec l’arrivée des beaux jours, on en mange plus du tout, mais pour le café, c’était une autre histoire…

J’ai rangé tout ça et puis en Mars, avec le voyage au Japon, j’ai appris à vivre sans sucres. Alors certes pendant une période limitée, mais un effet m’a sauté aux yeux : pas de migraines alors que la fatigue était bien là et qu’en temps normal, une fois le délai de 3jours passés sans bien dormir, le 4e est toujours celui d’une énorme crise.
L’autre effet qui m’a bien motivé c’est celui sur mon corps. Alors certes avec l’explosion des kilomètres de marche durant notre voyage, peau d’orange et cellulite ont été mises à rude épreuve, mais le fait de ne plus avoir de sucreries a fait la différence.

En revenant, puisque j’avais réussi à m’habituer un peu, j’ai continué à m’accrocher et j’ai supprimé les sucres des cafés, les rares gâteaux que l’on pouvait avoir et les quelques boissons sucrées que je pouvais boire. Je ne dis pas que je ne mange plus rien, bien loin de là. Je m’autorise de temps en temps des gâteaux, du coca, voir même (et on frise l’hérésie) une cuillère de Nutella en cas d’urgence extrême (et encore ça devient vraiment très rare) mais tout devient tellement « trop sucré » pour le coup que ça m’écœure.
Il y a aussi des moment où j’ai encore l’impression que mon corps me demande du sucre. Quand je rentre après une mauvaise journée et que le sucre est une petite consolation, ou quand j’ai un grand coup de stress… Dans ces moments-là, j’ai limite l’impression que je serais capable de manger du sucre en poudre ! Mais pour l’instant j’arrive à tenir et même si ce n’est pas facile. La quasi disparition de mes migraines, la perte de poids (alors je ne dis pas du tout ce que c’est dû à la suppression du sucre) puisque depuis le mois de Mars j’en suis à presque 7kg de moins sur la balance et surtout j’ai beaucoup beaucoup moins de cellulite et de peau d’orange sont de grandes motivations.
On verra ce que ça donne une fois que j’aurais les chocolats de Noël sous le nez !

Et vous les filles, vous avez quel rapport avec le sucre ?


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