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Un Lieu Incertain (Fred Vargas, 2008)

Par Ptixu

Auteur : Fred Vargas
Editeur : Viviane Hamy
Genre : Policier

couverture d'un lieu incertain dernier roman de fred vargas avec le commissaire adamsberg

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Loisirs and Co a le plaisir de vous faire découvrir le nouveau roman de Fred Vargas … ENFIN !!! On ne présente plus Madame Fred Vargas, ancienne historienne et archéozoologue qui s’est brillamment reconverti dans l’écriture de polars et qui connu mondialement pour avoir créé le personnage de Jean Baptiste Adamsberg, commissaire parisien, originaire des pyrénées et “grand pelleteur de nuages” comme l’écrit si bien Vargas.

Deux ans après l’excellent “Dans les bois éternels” qui lui même précédait le non moins excellent “Sous les vents de Neptunes“, Vargas redonne une enquète à un Adamsberg fidèle à lui même et toujours flanqué du commandant Danglard.

“Un lieu incertain” démarre en emmenant Adamsberg et Danglard à Londres suivre un colloque de police. Le séjour se gate puisque lors d’une virée nocturne et avec l’aide d’un dandy anglais très porté sur la boisson, les 2 flics vont trouver une belle collection de vieilles chaussures devant le cimetierre d’Highgate …. avec les pieds de leurs propriétaires encore dedans! Chose encore moins banale, Danglard croit reconnaître des chaussures françaises ayant appartenu à son grand-père. Laissant l’affaire aux anglais, Adamsberg est confronté en rentrant à une scène de crime peu banale : Un journaliste juridique est retrouvé assassiné à son domicile mais le corps est absent de la scène de crime ou plutot …. il est invisible puisque réduit en bouillie et disséminé aux quatres coins de la pièce.

Je ne spoilerai pas en racontant la trame principale (bien que de nombreux sites marchands ne se soient pas génés) mais je peux dire qu’on retrouve un commissaire Adamsberg toujours dans les nuages, quelquefois bien seul puisqu’un peu éloigné de son fidèle Danglard et de Camille. Vargas est toujours très douée pour nous immerger dans ses romans puisqu’une fois commencé, vous ne lacherez qu’à de rares occasions le livre  avant de l’avoir fini (et pourtant le gaillard fait presque 400 pages).

Encore une très belle réussite de Vargas qui redonne encore une fois vie à Adamsberg et qui arrive encore une fois à le rendre encore plus … vivant ! Espérant que si ce roman est adapté au cinéma (quoique je commencerai plutot par “Dans les bois éternels“), le réalisateur soit plus inspiré et surtout plus fidèle que Régis Wargnier et sa pale adaptation de “Pars vite et reviens tard“.


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