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2018 : le meilleur de cette année

Publié le 30 décembre 2018 par Happyswallow @happy_swallow_

Je n’ai pas l’habitude d’aborder ma vie privée sur le blog mais mon année 2018 a été relativement riche en événements, et pas forcément des plus heureux. Pour autant, j’ai pour philosophie de ne garder que le meilleur, même dans les moments les plus douloureux. Et ce meilleur réside en cinq points que l’on peut considérer comme étant mes favoris de l’année 2018.

Un moment

Si vous me suivez depuis quelques temps déjà, vous avez du voir passer l’information sur le blog, sur Facebook ou Instagram. J’ai participé à l’émission N’oubliez pas les Paroles ! J’avais d’ailleurs rédigé un article complet à ce sujet pour vous expliquer les secrets du casting et des tournages. Pour les personnes ayant manqué l’information, j’ai été maestro et tourné huit émissions. Je suis restée environ une semaine dans vos écrans. Et pourtant, tout s’est déroulé le lundi 5 février. Nous, petits provinciaux, sommes partis à trois affronter le froid parisien. Et autant vous dire que je n’ai jamais vu autant de neige à Lyon. J’étais si stressée que j’ai préféré prendre un Uber pour me rendre sur le plateau. Ce que je retiens du 5 février 2018 ? Un moment hors du temps. J’étais dans un état second. Euphorique. Je n’avais jamais envisagé de participer à l’émission auparavant, et je l’ai fait pour ma grand-mère et ma maman. Ma mamie était une grande fan de l’émission. Je parle d’elle à l’imparfait, car elle nous a malheureusement quitté 5 mois après le tournage. Le jour du tournage, j’étais rongée par les regrets : « j’aurais du réviser davantage », « j’aurais du m’inscrire plus tard ». Avec le recul, je ne regrette plus rien. Elle a eu l’occasion de voir sa petite-fille à la télévision, et elle en était tellement fière.

Un jeu vidéo

Je n’ai pas l’habitude d’aborder cette thématique sur le blog et pourtant, cela a marqué véritablement mon année 2018. Je l’avais déjà mentionné dans mes favoris d’octobre, mais, avec un peu de recul, il mérite d’apparaître dans mes favoris de l’année. Le jeu The Legend of Zelda : Breath of the wild a été d’un grand soutien moral à un moment assez compliqué de l’année. Je venais à la fois de perdre ma grand-mère et de quitter un emploi peu concluant. J’ai passé l’intégralité de mon mois d’août à jouer à ce jeu. Je n’ai rien fait d’autre. J’ai été complètement absorbée par l’histoire qui a été trop courte à mon goût. Les graphismes sont magnifiques, quant aux cinématiques, n’en parlons pas. Je peux vous l’affirmer, Breath of the Wild est l’un de mes jeux vidéos favoris !

Un objectif

Outre le décès de ma grand-mère, mon inactivité professionnelle n’a pas arrangé mon année 2018. Je suis restée inactive environ six mois. Ayant toujours été habituée à vivre à 100 à l’heure, j’ai assez mal vécu ces quelques mois. D’autant plus que je n’avais pas le droit au chômage ! Dans ce type de situation, on a tendance à compter toutes les dépenses et à faire l’impasse sur les choses superficielles. J’ai d’ailleurs revu drastiquement ma consommation de cosmétiques. Cette période m’a d’ailleurs inspirée pour l’écriture de cet article qui fut repris par le Huffpost. Mon objectif principal pour 2018 était de trouver un emploi et je suis très fière d’annoncer que celui-ci est atteint ! Je suis désormais Content Manager pour une société. Si j’ai sérieusement envisagé le mode de vie Freelance pendant quelques mois, je ne me sens pas suffisamment prête pour me lancer dans le grand bain de entrepreneuriat. J’ai donc opté pour le salariat. Au jour d’aujourd’hui, mon mode de consommation a, à peine, augmenté. Qu’il s’agisse de cosmétiques, de vêtements, ou autre, je fais très attention à mes dépenses bien que je dispose d’un salaire fixe.

Une façon de pensée

Je suis convaincue que ce qui permet de résister à une période difficile, c’est le mental. Le « Positive mind », autrement connu sous le nom français de « Pensée positive », a eu le vent en poupe ces deux dernières années, avant d’être démoli cette année. Beaucoup lui reprochaient d’avoir une approche de la réalité trop Bisounours. D’autres ont l’impression qu’on leur interdisait d’aller mal, ayant ainsi pour obligation de refouler ses émotions. Je crois que ces personnes n’ont pas tout à fait compris le principe de la Pensée Positive. Je suis une personne profondément cartésienne et pourtant la manière d’appréhender les événements va différer complètement en fonction du caractère d’une personne et de sa manière de penser. Je pense qu’il faut toujours s’efforcer de voir le bon, y compris dans les moments les plus sombres. Je conçois que certaines situations soient tout à fait injustes, et pourtant, la philosophie et la méditation peuvent réellement vous aider à trouver la force pour affronter les épreuves.

Une marque

Je vous en ai parlé plusieurs fois sur le blog et sur Instagram. J’ai eu, cette année, la chance de collaborer avec Oraiki Paris. Il est vrai que je consomme relativement peu de cosmétiques, mais je mets un point d’honneur à ce que ceux-ci soient de qualité. Oraiki est une marque française, cruelty-free (of course !), dont la plupart des ingrédients sont végans et d’origine naturelle. J’ai, notamment, beaucoup aimé les crèmes de jour et de nuits. Vous pourrez d’ailleurs retrouver mes tests produits ici et ici.

Malgré toutes ces belles choses et ces bons moments, j’admets que je ne suis pas mécontente que cette année se termine. Maintenant, à vous de partager, en commentaire, le meilleur de votre année 2018 !


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