Ecrire sur les cons pré-
suppose que l’auteur, et son lecteur, n’en sont pas !Cette certitude est suspecte. Comme souvent l’est la certitude. En premier lieu pour savoir "Que faire des cons" Selon Maxime Rovère 200 pages chez Flammarion et à la librairie l’Esperluette, il faut les identifier.
Et éviter quelques écueils
Si vous lisez un livre sur la place des cons, il y a fort à parier que vous cherchiez la vôtre, de préférence hors les murs de cette sympathique confrérie.
Un indice vous aidera à penser s’il y a une place pour vous dans le club. Il suffit de comparer le résultat d'aujourd’hui avec le projet d’hier.
De ce constat mesurable, croire que la partie n’est pas terminée, c'est-à-dire conserver un peu d’espoir au réveil, est une belle connerie. On ne peut dénier à la connerie son pouvoir destructeur et dans la foulée enchaîner sur l’état des lieux après sinistre avec le devis qui va bien pour le chantier de votre résilience secondaire. Suis – je un con ? Non, ne me répondez pas de suite !
Vous risqueriez de céder à la tentation, le doute va s’installer sur l’instrument de mesure qui vous sert à étalonner votre intelligence et ma non– intelligence.
Je sens que vous allez montrer sans le vouloir un échantillon de votre connerie, à vous perso, que vous planquez comme le déodorant masque une odeur corporelle dérangeante.
Pourtant l’odeur naturelle d’une peau à l’hygiène raisonnée est souvent agréable.
Je crois qu’il en est de même pour la connerie. La dissimuler attire l’attention sur elle.
Qui n’a pas constaté qu’une petite bévue sympathique et involontaire à intervalle raisonnable …
• décontracte l’intelligence.
• permet de corriger la trajectoire
• vous repositionne dans le jeu de l’amour et du hasard
Par contre, la faute qui cache l’erreur, ça c’est une belle connerie !
Jeu de briques
Snake
Pacman
Bubble