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La douceur et l’adrénaline d’un road-trip aux côtés de Bear’s Towers

Publié le 23 avril 2019 par Camillegreen @camillegreen03

Bear’s Towers c’est tout d’abord une voix atypique, roque, entrainante, reconnaissable parmi des centaines et qui se marie parfaitement avec les rythmiques pop-folk de ce groupe composé de quatre amis qui se sont rencontrés au collège. Pour son deuxième album « Kyma », le groupe prend un tournant plus rock tout en conservant la force de ses mélodies folk. Après seulement quatre ans de carrière et des premières parties dans des festivals aux côtés de Ben Harper, Selah Sue, Shaka Ponk, Asaf Avidan, Talisco, Bear’s Towers continue sa montée en puissance. Cette fois-ci, le groupe nous embarque dans un road-trip où l’on alterne entre la douceur et l’adrénaline de l’aventure. Ca vaut le coup de monter le son notamment sur des titres comme Midnight Girl ou Oak.

La douceur et l’adrénaline d’un road-trip aux côtés de Bear’s Towers

©Bear's Towers


Comment avez-vous fait vos premiers pas dans la musique ? Tommy et Nathan : L’éducation musicale de notre père a beaucoup joué dans notre envie d’apprendre la guitare, dès la fin de l’école primaire. Aurélien et Olivier : C’est venu un peu plus de nul part, plus ou moins à la même période. Comment vous êtes-vous rencontrés ? On s'est rencontrés à la fin du collège, on a ensuite eu des projets musicaux ensemble, parfois séparément, mais rien de conséquent. En 2015, le groupe s’est doucement créé entre Tommy, Nathan et Aurélien. Olivier n’était pas dans le projet initialement mais il a réalisé nos premiers enregistrements, et naturellement il a intégré le groupe peu après. D'où vient le nom Bear's Towers ? L’ours, c’est Aurélien, les tours, ce sont les jumeaux. Sur scène, quand on était encore que trois, ça faisait l’ours et ses tours de part et d’autre. C’est aussi simple que ça !
La douceur et l’adrénaline d’un road-trip aux côtés de Bear’s Towers

Que raconte votre 2e album " Kyma" ? Kyma s’est écrit tout naturellement lors de la composition de l’album. Le terme Kyma vient du grec et signifie “vague”. A l’image de cet opus, entre les mouvements lancinants de l’eau et la puissance des vagues. Vous développez un seul et même récit décliné autour de quatre grands thèmes : l’errance, l’amour, la mort et la renaissance. Pourquoi faire ce choix et ne pas s'en écarter ? C’était important pour nous de parler de sujets qui nous inspirent et qui nous parlent dans la vie de tous les jours. Nos espoirs, nos peurs, nos rêves. L’idée était de faire ressentir, à travers nos expériences et notre vision du monde, les différentes émotions auxquelles on peut être confrontés.
Pourquoi avoir décidé de prendre un tournant plus rock dans cet album ? On a beaucoup d’influences différentes à nous 4, mais si il y a un univers dans lequel on se retrouve tous, c’est bien le rock. Si notre premier album « Never Alone », est plus accentué folk, « Kyma » l’est moins. Nous avons vraiment essayé de laisser une place beaucoup plus importante à nos influences, c’est donc tout naturellement qu’on y retrouve cette touche rock. De qui vous êtes-vous entourés pour le faire ? On s’est toujours entourés de personnes de confiance afin de pouvoir travailler dans les meilleures conditions. C’est pourquoi nous avons décidé d’enregistrer cet album avec Jean-Christophe Lefevre, dans les studios de notre label, Single Bel. On a également fait appel à Alexandre De Charrin pour les arrangements et Antoine Depoisier, pianiste, à qui l’on doit l’intro du titre Oak.
Vous avez fait des premières parties de grands artistes : Ben Harper, Selah Sue, Shaka Ponk, Asaf Avidan, Talisco. Est-ce qu'une rencontre durant ces premières parties a été marquante pour vous ? Difficile de n’en citer qu’une, il y en a tellement ! Néanmoins, notre rencontre avec le groupe Diva Faune fut une des plus marquantes je pense. On a eu l’occasion de partager la scène à plusieurs reprises avec eux et c’est toujours le même plaisir à chaque fois. Vous êtes plus addict à Facebook, Twitter, Snapchat ou Instagram ? Si il fallait en choisir qu’un seul, Instagram serait le gagnant. A vrai dire, on n’est pas tellement addict, on se sert essentiellement des réseaux sociaux pour communiquer avec notre public, mais comme on est encore loin d’avoir autant d’abonnés que Kim Kardashian, on peut encore profiter de la vraie vie. Vous écoutez quoi en ce moment ? ` En ce moment, on écoute essentiellement Foals, Tame Impala, Matt Corby, ou encore Kings of Leon et Mumford And Sons. Avec qui rêveriez-vous de collaborer ? Collaborer avec des artistes tels que Mumford and Sons, Matt Corby, ou encore Talisco serait vraiment fou pour nous. Quels sont vos projets ? On a pas mal d’idées en tête pour la suite. Actuellement on travaille sur un nouvel opus, un EP de quelques titres qui devrait voir le jour en fin d’année si tout se passe bien. Pour le reste, on préfère garder quelques surprises sous le coude et ne pas tout dévoiler, donc il 
faudra faire preuve d’imagination et de patience !
Concerts : 18.05.19 - Parc Floral (Paris) 17.05.19 - Les 24 heures de l'INSA 2019 (Lyon) 4.05.19 - Tremplin Guitare en Scène (Genève) 24.04.19 - Ibis Music Tour (Lyon)  Bear's Towers en ligne : Instagram Facebook Site Internet 

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Bear's Towers




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