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#2020RacontePasTaVie - jour 35, le livre du mardi : Concerto pour quatre consonnes sans voyelles de Marc-Alain Ouaknin

Publié le 04 février 2020 par Aymeric

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Je ne sais plus si je vous en ai déjà parlé mais la lecture occupe quelque place dans ma vie. A l'intérieur de cette place trônent en majesté une cinquantaine de livres. Et parmi ceux-ci, Concerto pour quatre consonnes sans voyelles de Marc-Alain Ouaknin.

Acheté dans la même librairie que le livre de la semaine dernière – L'Arbre du Voyageur sise au numéro 55 de la rue Mouffetard, 75005 Paris – et sensiblement à la même, période voilà un livre qui m’a ouvert un, voire même des mondes.
Alors que c’est le hasard qui l’a mis entre mes mains.
Enfin pas tout à fait. Par le titre et la quatrième de couverture alléché je l’ai mis dans ma besace – après paiement bien entendu, vous me prenez pour qui ? – en lieu et place d’un livre pour lequel j’étais venu et dont je n’arrive pas à me rappeler le titre.
Petite variation autour du principe – que j’affectionne – dit de Warburg ou du bon voisin selon lequel : « Quand vous allez prendre un livre dans les rayons, celui dont vous avez réellement besoin n’est pas celui-là mais son voisin ».

Sans connaître du tout le nom de l’auteur auparavant je fus très rapidement conquis par cette – je cite la quatrième de couverture qui m’allécha – : « méditation sur les noms divins [rencontrant] ici Heidegger, là Œdipe, ailleurs le Mur de Berlin ou le racisme de Groddeck, ou encore la théorie du jeu d’échecs ».

Le livre à peine refermé je retrouvai Marc-Alain Ouaknin cité longuement et laudativement dans un des carnets de Joann Sfar que je lisais avec avidité à l’époque (entre 2005 et 2007).
Un signe, y ai-je vu, que cet auteur tombé sur mon chemin aurait sans doute un peu d’importance dans ma vie.
Cinq livres – dont Bibliothérapie, ce titre me parle et résonne profondément en moi – plus tard, je crois pouvoir le confirmer.
D’autant qu’il fait maintenant aussi partie de mes rendez-vous de radio (enfin plutôt de podcast).
C’est étrange et amusant qu’autant de choses qui comptent pour moi commencent par ou finissent à la radio.
Cela mériterait sans doute un développement mais le temps presse et votre patience s’use.


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