Que dire face à tant de bêtise crasse qui ne soit vain, face à tant de clichés, tant d’à-prioris, tant d’amalgames, de fantasmes personnels ne reposant sur aucune réalité, d’essentialisation rampante ou plus admise socialement, en tous les cas un peu trop largement banalisée… Ainsi, le prétexte de l’humour, avec des sketchs à la Canteloup (comme hier Michel Leeb sur le noirs) par laquelle on prête à toute une (ou plutôt des, en l’occurrence, il est utile de le préciser) communauté(s) des caractéristiques semblables, l’essence même du racisme. Le fait est que cet imaginaire raciste tue :
(à ce sujet, j’avais écrit ce billet, il y a deux ans, à l’occasion du triste anniversaire de sa mort).