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Compulsion, Keith Ablow

Par Maliae

Compulsion, Keith AblowRésumé : Mauvaise publicité pour le milliardaire Darwin Bishop : un fait divers impliquant sa famille fait la une des journaux. Brooke, sa fille de cinq mois, vient d’être sauvagement assassinée. Son fils adoptif, Billy, adolescent présentant toutes les caractéristiques d’un psychopathe en puissance, est accusé du meurtre. Mais ce coupable idéal ne satisfait pas le chef de la police locale. Son ami, le psychiatre Frank Clevenger, vient enquêter sur cette affaire. Frank s’aperçoit rapidement que, sous la coupe de Darwin, les Bishop vivent dans une atmosphère étouffante d’oppression et de violence. La famille est traversée de conflits si aigus que n’importe quel membre pourrait avoir tué Brooke. Plongeant au cœur des névroses de chacun, Frank va devoir rouvrir toutes les blessures, y compris les siennes…

Avis : Frank Clevenger, malgré sa réticence, va accepter d’aider son ami North sur une enquête où les choses sont pas claires. Un bébé de cinq mois a été assassiné et tout le monde semble persuadé que le coupable est Billy, le frère adoptif du bébé. Parce qu’il a des caractéristiques d’un psychopathe. Mais North et Frank doutent et mènent l’enquête. Peut-être que ce n’est pas aussi simple que ça.

J’ai trouvé le début longuet, j’ai même failli arrêter ma lecture tant j’avais du mal à rentrer dedans. Et puis vers la 150ème page j’ai finalement commencé à m’y intéresser vraiment et les pages se sont tournées bien plus facilement. J’étais assez peu intéressée par les états d’âme de Frank et encore moins par l’histoire d’amour qui se met en place. Ce qui m’intéressait c’était d’en apprendre plus sur la famille Bishop et de comprendre ce qu’il se passait dans cette maison.

Je ne faisais confiance à personne, et ça m’énervait que Frank reste fixé sur ses idées sans trop remettre en question ses propres pensées. Bizarrement, je me suis attachée à Billy mais à personne d’autre. Julia m’agaçait, Gareth était trop effacé, Claire la gouvernante paraissait aussi avoir des trucs à cacher. Et bien sur Darwin était détestable. On se fait pas mal balader dans la bouquin, même si je me doutais que ça paraissait parfois trop facile pour que ce soit ça la réponse, je n’avais pas totalement deviné la personne derrière tout ça, mais disons que j’avais des doutes.

Je regrette pas mal le côté sexiste de l’histoire, certains propos m’ont même plutôt choqué.

À part ça c’était une lecture sympathique, même si j’aurais aimé des personnages encore plus torturé et que ça démarre plus vite. J’ai quand même bien aimé finalement, c’est ce qui compte.

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