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ces #violencespolicieres qui n’existent pas… (mais sanctionnées de prison ferme) #Marseille #acab encore

Publié le 07 mai 2020 par Mister Gdec

Encore un épisode à inscrire au chapitre de ces violences policières qui n’existeraient pas… (selon leur hiérarchie et ce gouvernement, et même Macron himself), mais qui font pourtant l’objet ici de sanctions pénales… ( y compris des instances européennes, dans une autre affaire). Et ceux qui les signalent, ciblés et listés nommément par un syndicat de commissaires de police…. Qu’on se le dise ! CQFD.

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A la lecture de cette information, avant de se réjouir un peu trop vite des bienfaits d’une réelle « justice », on est en droit de se demander si la Police Nationale aurait enfin, comme pourrait le formuler plus succinctement que je ne saurais le faire de plus jeunes que moi, « perdu son totem d’immunité » : s’agit-il d’une peine de prison ferme, ou avec sursis, comme nous y habituent si usuellement hélas les affaires de violences policières, jusqu’aux plus immondes et insupportables ? Alors, je suis allé fureter un peu..

d’abord ici :

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… puis là :

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… Là :

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..et encore là :

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Quelles que soient les sources, les faits qui se trouvent recoupés sont les suivants :

Des caméras de vidéosurveillance ont filmé l’interpellation violente de Jamshed, un Afghan de 27 ans, porteur d’un titre de séjour (l’interpellation était donc illégale), le 12 avril sur le Vieux-Port de Marseille. Il avait été projeté contre le véhicule de police après une clé de bras, puis placé à l’intérieur. Selon l’adjointe de sécurité qui a procédé au menottage, le chef de bord, le brigadier Michel Provenzano, 46 ans, «s’est énervé à partir de là». Le jeune homme avait ensuite été transporté sur un terrain isolé à Châteauneuf-les-Martigues, à une trentaine de kilomètres de Marseille. Derrière une butte, le jeune Afghan aurait alors reçu «un coup de poing ou une gifle», selon l’adjointe de sécurité, mais ces violences sont contestées par ses deux collègues. Une fois Jamshed abandonné, Michel Provenzano lâchera : «Ça fait du bien, ça soulage», toujours selon l’adjointe de sécurité. Les deux hommes prennent alors la décision de rédiger un faux procès-verbal indiquant avoir laissé le jeune réfugié à l’Hôtel de police.

Alors, Emmanuel Macron, Laurent Nunez, Christophe Castaner, Laeticia Avia et toute la smala En Marche : les violences policières n’existent pas, vraiment ? J’attends. Je suis patient.

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