Se faire avoir par sa compagnie de cellulaire (2e partie)

Suite à mon dernier appel chez Fido où on m’avait suggéré de rappeler le 24 juillet... me voilà ce matin avec monsieur «je ne peux rien faire» au bout de la ligne.

- Monsieur, vous serez admissible à un rehaussement le 17 octobre 2008 moyennant des frais administratifs de 110$.

- Et, si je veux acheter maintenant (j’ai plein de Fido dollars de toute façon) ?

- Je ne peux rien faire... vous avez un contrat.

- Contrat qu’on m’a refilé sans m’en parler... oui, je sais. Il n’y a pas d’autres options ?

- Oui, casser votre contrat pour 400$

- Quoi ? Payer 400$ pour acheter un téléphone à 199$ et reprendre un contrat de 3 ans avec vous ? Vous me prenez pour un imbécile ?

- Je ne peux rien faire, Monsieur... c’est comme ça que ça fonctionne.

- Mais, c’est totalement ridicule. Vous me l’avez passé en douce, votre contrat ! Et je m’en fous du contrat, je ne veux pas le casser... je veux seulement acheter un téléphone et vous payer des frais à tous les $#@$% de mois ! Je vous rappelle que je n’ai jamais obtenu d’appareil de Fido... ni à rabais, ni au plein prix.

- Mais, vous avez eu des minutes gratuites !

- Vous avez juste en ne pas m’en redonner d’autres ! C’est foutues minutes, on ne les a jamais utilisés... de toute façon.

- Est-ce que je peux faire quelque chose d’autre pour vous aujourd’hui ?

- Oui, écrivez dans mon dossier que le jour où je paierai 400$ pour annuler un contrat, ce ne sera certainement pas pour un signer un identique aussitôt ! Bande de caves !

- Bonne journée

- C’est ça...

Dans le fin fond des choses, je m’en fous un peu de ne pas avoir le dernier modèle. J’ai déjà un iPhone qui pourra sans doute bientôt être mis à jour à la version 2.0 et qui fonctionne très bien. Ce qui m’enrage, c’est de m’être fait refiler un contrat à mon insu. Je savais qu’il y aurait un contrat sur la ligne de Sophie... mais sur la mienne aussi, c’est fort en maudit ! En changeant de forfait, on ne s’attend pas à prendre un engagement de 3 ans. Ce genre de politiques d’entreprise me met le feu au cul.